Perrichon n’a jamais perdu un membre de sa famille dans un accident
Chantal Perrichon et la Ligue contre la Violence Routière, c’est une double imposture. Ce machin créé en 1983 par la gauche, ne compte guère d’adhérents, et n’existe que parce que l’Etat le gave de subventions, et lui donne, par des fonctionnaires détachés, les moyens de fonctionner.
Meilleur exemple, l’ineffable horrible mégère Perrichon (l’expression est de Jean-Luc Nobleaux) ose se prétendre bénévole. Trop facile. Cette ancienne militante du MLF des années 68, étudiante en psycho (bref, un truc inutile, comme l’Histoire de l’Art, avec nombre de bons à rien que l’Etat à dû nourrir) était bien planquée au CNRS et a été bombardée présidente de la Sécurité routière. Facile de se dire bénévole, quand on a le salaire assuré chaque mois par nos impôts, et qu’on vient donner des leçons à la terre entière.
Autre arnaque, encore plus grosse, beaucoup de personnes sont convaincues que la malheureuse a perdu sa fille dans un accident de voiture, ce qui expliquerait sa haine des automobilistes et son air souffreteux. Sauf que là encore c’est une imposture, que Perrichon n’a d’ailleurs jamais démentie, car cela servait sa cause. En fait c’est Geneviève Jurgensen, la première présidente de la LCVR, qui a perdu 2 filles dans un accident de la route. Elle fut remplacée par l’ineffable Chantal Perrichon en 2002.
En fait, cette dernière a eu le pied à l’étrier en travaillant pour Jean-Paul Benzecri, célèbre statisticien qui perdit son épouse dans un accident de la route. Persuadée que l’automobile est la cause de tous les maux, que la vitesse est assassine et que les conducteurs sont de vilains méchants malveillants, cette caricature de féministe se perd dans des envolées démagogiques dès qu’on lui donne la parole, et c’est souvent.
Dans ce cortège de donneurs de leçons (au fait, combien font-ils de kilomètres par an, ces vertueux ?), elle était en bonne compagnie, dans les années 2000 : Christian Gérondeau, Monsieur Sécurité à ses heures, célèbre initiateur de la limitation de vitesse généralisée et toujours persuadé que sans lui, le monde irait beaucoup moins bien, Jean-Claude Gayssot, meilleur combattant du négationnisme qu’artisan de l’éducation routière ou plus proche de nous, Michèle Merli, femme flic devant marquer les esprits à grands coups de propagande chiffrée à défaut de prodiguer des solutions efficaces tout en s’entourant de grands penseurs au détour de multiples missions et de commissions stériles onéreuses.
Dépourvu de tout humour, elle a réussi à cristalliser contre elle la haine de millions d’automobilistes, qui ne la supportent plus dès qu’ils la voient apparaître sur un plateau de télévision. Certains ont même créé une page “Pour écraser Chantal Perrichon” qui se voulait plus humoristique que méchante. Mais la bougresse a déposé plainte, et est venue pleurnicher sur les plateaux de télévision.
Un de ses grands moments sera son invitation aux Grandes Gueules et sa prise de bec (normal pour celle qu’on surnomme La Perruche) avec Chantal O’Petit, qui, ce jour-là, ne disait pas que des bêtises, même si elle en disait… Quelle tête à claques, la Perrichon !
Si vous avez envie de savourer les interventions du personnage, vous allez vous régaler.
2012 : Perrichon exulte, nouveau record pour les radars, 700 millions d’euros (on en est à 950 en 2017).
Elle s’en prend à ceux qui utilisent le portable au volant, sans préciser que ce n’est pas la même chose de le faire à l’arrêt à un feu rouge et sur la place de l’Etoile, à 18 heures. Toujours un orgasme de sa part dès qu’on utilise le mot répression !
Cette fois, elle a décidé de faire chier les motards !
Une autre fois, elle fait la leçon aux politiques, coupables de ne pas être assez répressifs !
Perrichon explique que les lignes droites qui ne paraissent pas représenter du danger sont les plus dangereuses, et donc qu’il faut encore baisser la vitesse ! On peut lui faire confiance, à peine les 80 km/h obtenus, pour demander le 70, comme sur le périphérique parisien !
Et pour finir, un ballon d’oxygène, avec Bernard Darniche, qui parle de modèle totalitaire sur la Sécurité routière, bref tout le total du discours répressif de la mégère.
A bas Perrichon, vive Darniche !
Martine Chapouton
Sources : https://realitesroutieres.fr/chantal-perrichon-quelle-liberte-1293/