Dans un article paru avant-hier soir, Rue 89 accuse l’extrême droite d’être à l’origine de l’incendie du porche de la mairie de Bordeaux. Accusation qui permet à l’organe officiel de l’extrême gauche bordelaise de reparler du procès fleuve de la fausse ratonnade de Saint-Michel. Une bagarre (sans victime) survenue il y a seulement quelques mois et qui donne lieu, après une instruction express, à un procès grandiose sur 2 jours, abondamment relayé par la presse…
RUE 89 confirme son statut de presse de caniveau. L’incendie du magnifique porche XVIIIe de la mairie de Bordeaux n’était pas encore éteint que déjà le journal gauchiste accusait l’extrême droite. Une sorte de remake de l’incendie du Reichstag. Cet empressement est très compréhensible. Ce torchon gauchiste est coutumier des fake news. Ce qui surprend, c’est le grotesque de l’accusation. Comment des militants d’extrême droite auraient-ils pu se mêler à cette foule de gauchistes haineux sans être reconnus et chassés violemment ? Parce que la rue de Bordeaux est tenue par les militants gauchistes. Et ils “ne font pas de quartier”, comme ils ont l’habitude de le scander.
Cette accusation grotesque et sans aucune crédibilité a un objectif. Il s’agit d’une manœuvre pour ramener sur le devant de la scène le procès à grand spectacle qui a commencé hier, à Bordeaux, celui de 8 militants de la “Bastide bordelaise” accusés de “ratonnade”.
LE PROCÈS D’UNE FAUSSE RATONNADE
Ce procès “Big-size” se tient quelques mois après les faits alors que généralement les affaires de violence sont soit classées, soit attendent des années pour être jugées. Il a donné lieu à une double page dans Sud-Ouest et a mobilisé tellement de journalistes qu’il n’y avait plus une place libre pour le public, dans la grande salle du tribunal. Un traitement hors norme pour une triste bagarre nocturne dans le quartier Saint-Michel de Bordeaux. Un quartier du centre historique de Bordeaux, aujourd’hui connu pour le trafic de drogues et les règlements de comptes au couteau. Des militants de “Bordeaux nationaliste” sortaient d’un restaurant quand ils ont été témoins d’une agression crapuleuse (ce qui est courant). Ils ont mis en fuite les agresseurs, lesquels sont revenus avec des renforts. Normal, également. Et ces vaillants camarades ont rossé les allogènes. Une offense, un crime. C’est évident. Voilà ce qui est jugé aujourd’hui à Bordeaux. Le crime de ces jeunes, c’est de s’être défendus. C’est ce que les gauchistes appellent une ratonnade.
IL Y A DES FASCISTES À BORDEAUX
Le procès qui a commencé hier n’a qu’un objectif, faire croire qu’il y a des fascistes à Bordeaux. C’est essentiel pour justifier l’activité des antifas ; la lutte contre le fascisme est un des piliers de la mythologie gauchiste. C’est une des mamelles du gauchisme, elle façonne leurs esprits faibles, permet de justifier la violence gauchiste et de faire oublier la vacuité de l’idéologie post-communiste. C’est aussi un des moyens de faire taire les protestations contre la violence issue de l’immigration imposée. Pendant que le public est occupé par le spectacle de la lutte contre le fascisme, pendant que les journalistes traitent dans leurs articles du danger imaginaire d’un retour des heures sombres, la presse ne s’occupe pas des viols, des vols, des assassinats fait par des criminels d’importation récente. Tout bénéfice pour la gauche immigrationniste.
PAS DE BOL !
C’est ballot, le jour du procès spectacle, les manifestants contre la réforme des retraites de Macron incendient le porche de la mairie. Un incendie spectaculaire d’une porte du XVIIIe siècle. Toute l’attention est détournée par cette violence gauchiste. Pas de bol, le procès de l’extrême droite ne fait pas la une des journaux, comme attendu. La “violence” de l’extrême droite passe à la trappe, mais ce sont les violences gauchistes qui éclatent au grand jour. La manipulation capote. Les amis de Simon Barthélémy et Walid Salem se prennent la réalité en pleine poire. Un retour de bâton délicieux. Mais le culot de ces journalistes est sans borne. Ils n’hésitent pas, ils osent tout. Ils ne sont pas à une manipulation près. L’incendie n’était pas encore éteint par les pompiers que leur torchon publiait un article qui accuse “l’extrême droite” d’être à l’origine de l’incendie. Signé par “la rédaction”, un aveu sur la réelle nature de ce pseudo-journal. Une tentative piteuse de ranimer une manipulation honteuse.
Avec le spectacle de la violence qui se déchaîne en France, tout leur boulot de manipulation tombe à l’eau. Il leur reste l’espoir que les juges, eux, se laissent manipuler et qu’ils condamnent les jeunes militants… une tâche qui sera difficile tellement le dossier est vide.
François Jay
La chienlit gauchiste fait la loi dans les rues… comme le faisaient les gros bras SA et chemises brunes autrefois en Allemagne !
C’est vraiment pas bon signe…
tout ce qui arrive est d’extrêêême droate,
ils ont placé partout en ville des caméras dites du crédit social à la chinoise afin de cibler le Normie uniquement sinon ils vous diraient qui a foutu le feu à leur satanée porte.
le maire c’est un écolo il me semble….bien fait pour s’gueule !!
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Votre niveau intellectuel est vraiment très bas !!! voire inexistant !!!
Pauvre imbécile inculte le Palais Rohan fait partie du patrimoine de la ville et n’a strictement rien à voir avec la couleur politique du maire en place !!! Avant d’écrire de de pareilles âneries !!! essayez de réfléchir !!! mais voilà !!! je pense que vous n’avez pas de cervelle !!!
“patrimoine” de la ville ? sans blague, normalement quand on est à gauche ultra gauche presque gauche il faut tout déconstruire jusqu’aux patrimoines individuels beuhcause la propriétaire wargon a décidé qu’il fallait déposséder tous les Souchiens, donc, cramer le portique de la ville correspond parfaitement au volontarisme macronien de tout foutre en l’air = sans la France zizou n’aurait ni ne serait rien.