Intolérable : les intégristes Egyptiens utilisent la France comme base arrière

mosquéetournon3 MosqueeTournon1En visionnaire, le Président de la République Charles de Gaulle redoutait, dans les années 60, que sa commune de résidence Colombey-les-deux-Eglises ne devienne un jour “Colombey-les-deux-mosquées”. Le grand homme a vu juste et s’est seulement trompé de lieu, avec la prolifération des mosquées et centres islamistes intégristes dans le Nord Ardèche ou dans les banlieues des grandes villes. Le fondateur de la V ème République doit se retourner dans sa tombe en observant le comportement des représentants locaux de cette même République, favorisant, ici ou là, l’implantation d’islamistes intégristes, réfugiés politiques, ayant cherché à renverser les “Républiques Arabes ” de leurs pays d’origine. Au moment où l’Egypte vacille (TV5MONDE  actualites : Egypte: 10 soldats tués dans un attentat dans le Sinaï) sous les attentats islamistes (http://fr.timesofisrael.com/egypte-attentat-a-la-bombe-au-centre-du-caire-au-moins-12-blesses/), la police Egyptienne confirme la dangerosité des islamistes intégristes de Strasbourg et de Saint Alban d’Ay (http://gruzelle.blog.fr/2014/10/17/la-police-egyptienne-confirme-la-dangerosite-des-islamistes-integristes-de-strasbourg-et-de-saint-alban-d-ay-19578813/), et on découvre que le principal initiateur du projet de centre islamiste à Saint Alban d’Ay (Ardèche), Omar Erkat, entendu le 9 septembre 2014 par les policiers de Strasbourg, est activement recherché par les services de sécurité Egyptiens. Le “barbu” a d’ailleurs expliqué  aux policiers Français « qu’il était sans papier, demandeur d’asile, recherché par la police égyptienne, médecin spécialiste à son compte, sans aucune ressource…. ».

La France transformée en base arrière des guérilleros islamistes Egyptiens

Depuis la destitution d’Hosni Moubarak (http://suite101.fr/article/egypte–le-general-omar-souleimane-prend-les-commandes-a24247), et le renversement de Mohamed Morsi (http://suite101.fr/article/egypte–mohammed-morsi-elu-president-face-aux-militaires-a34863), les terroristes Islamistes mènent la vie dure aux autorités Egyptiennes. Comme le révèlent ce 24 octobre, Reuters, l’AFP et TV5 Monde, “Dix soldats égyptiens ont été tués et 27 blessés vendredi 24 octobre dans un attentat à la voiture piégée visant un barrage de l’armée dans le nord de la péninsule du Sinaï, ont indiqué des responsables de la sécurité. Un premier bilan avait fait état de cinq morts et 16 blessés.

“L’attaque visait un barrage de l’armée situé au nord-ouest de la ville d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï, selon des responsables des forces de l’ordre s’exprimant sous le couvert de l’anonymat. Depuis que l’ex-chef de l’armée et actuel président Abdel Fattah al-Sissi a destitué l’islamiste Mohamed Morsi en juillet 2013, des groupes jihadistes ont multiplié les attentats contre les forces de l’ordre. Ils affirment agir en représailles à la sanglante répression qui s’est abattue sur les partisans de M. Morsi depuis son éviction.

“D’abord cantonnées au nord du Sinaï, région montagneuse et désertique jouxtant Israël et la bande de Gaza palestinienne, les attaques jihadistes ont gagné le delta du Nil et la capitale égyptienne. Mercredi, au moins six policiers et trois passants ont ainsi été blessés par l’explosion d’une bombe devant l’entrée de l’université du Caire. Cet attentat a été revendiqué par le groupe jihadiste Ajnad Misr.

“Et en début de semaine, sept soldats égyptiens ont été tués dans l’explosion d’une bombe au passage de leur véhicule au sud d’Al-Arich, dans le nord du Sinaï. Un autre groupe jihadiste basé dans le nord du Sinaï, Ansar Beït al-Maqdess (Les Partisans de Jérusalem, en arabe), a revendiqué la plupart des attentats visant les forces de sécurité depuis l’été 2013.

Après la destitution de M. Morsi, plus de 1.400 de ses partisans ont été tués notamment lors de la répression de manifestations. Des centaines de pro-Morsi ont été condamnés à mort dans des procès de masse expédiés en quelques minutes, tandis que 15.000 autres ont été emprisonnés….”.

Lorsque de Gaulle était aux manettes, les “guérilleros Egyptiens” neutralisés en 10 minutes

Les pseudos réfugiés politiques Egyptiens de Strasbourg et de Saint Alban d’Ay auraient été neutralisés en dix minutes, à l’époque du Général de Gaulle et renvoyés manu militari dans leur pays. C’était la vision gaullienne de la sécurité nationale du territoire. Nous avons contacté les autorités Egyptiennes qui confirment que “Les individus de Strasbourg et de Saint Alban d’Ay, Omar Erkat et consorts intégristes sont activement recherchés en Egypte, suite à des activités mettant en péril la sécurité de l’Etat…”.

Selon les renseignements fournis par les autorités Egyptiennes, Omar Erkat, islamiste intégriste, proche des frères musulmans, est né le 14 octobre 1955 au Caire (Egypte). Il est le fils de Kalil Erkat et de Soad Elssa. Omar Erkat revendique être titulaire d’un Master, et n’a pas de permis de conduire un véhicule.

La fiche de police Egyptienne d’Isabelle Mikhael, épouse Erkat depuis 2003, est tout aussi éloquente et chargée. Isabelle Mikhael est née le 23 mars 1962 au Caire en Egypte. Elle a épousé Omar Erkat au Caire le 1er novembre 2003. Elle avait d’ailleurs expliqué aux enquêteurs de la police de Strasbourg « Mon mari et moi, nous sommes en France depuis 2008. Nous sommes demandeurs d’asile suite à des problèmes politiques avec l’ancien président Moubarak, notamment avec des peines d’emprisonnement. Il était propriétaire d’un hôpital psychiatrique et d’un cabinet. J’étais directrice de l’hôpital…. ».

Selon la police Egyptienne, Omar Erkat a quatre enfants, respectivement âgés de 25, 24, 23 et 21 ans. Trois des enfants ont fui à Dubai et au Canada. Un seul se trouve actuellement en Egypte.

Avant 2008, les Erkat, nouveaux associés de l’universitaire strasbourgeoise (Unistra) Nathalie Gettliffe (condamnée à 16 mois de prison ferme au Canada), ont expliqué aux policiers Strasbourgeois avoir transité par Karachi et Abou Dabi, puis avoir séjourné à Paris et Lyon, et être arrivés à Strasbourg en juin 2010.

Les policiers anti terroristes Egyptiens, engagés dans une lutte de tous les jours contre les islamistes intégristes préparant au djihad, contre les frères musulmans qui tentent de détruire l’Etat, se posent une question : ” Pourquoi le gouvernement Français protège-t-il des islamistes notoires, recherchés par la police égyptienne ?”

Et il semble désormais plus facile aux autorités Egyptiennes de s’entendre et de coopérer avec Israël plutôt qu’avec la France en matière de lutte anti-terroriste. Cherchez l’erreur…..

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

 

 

 

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