Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État. On a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires.
Après Air France et Renault, la SNCF, l’État vole au secours des radios et télévisions et débloque plusieurs milliards d’euros. Quelle forme prend cette aide exceptionnelle et avec quelles contreparties ?
L’audiovisuel public reçoit environ 3,8 milliards d’euros de taxe et d’aides publiques
Ce qui représente environ 85 % de son budget. Pour l’essentiel, il s’agit de la redevance audiovisuelle, taxe qui a rapporté 3,5 milliards lors des précédents exercices. À cette manne s’ajoutent 292 millions de subventions, en compensation de l’arrêt de la publicité après 20 heures sur les chaînes publiques.
Les deux tiers de cette redevance financent France Télévisions (10 000 salariés), un cinquième Radio France (4 600), le reste la chaîne Arte, France Médias Monde et l’INA.
https://fr.novopress.info/194348/scandale-subventions-aux-medias-propagande/
Ce titre résume à lui seul l’état des médias français !
À cela s’ajoutent encore un financement public (via les budgets du gouvernement) de l’audiovisuel public (497,9 M€), de l’audiovisuel extérieur (RFI, France 24 et TV5 Monde) à hauteur de 199,1 M€, de soutien aux radios locales avec 29 M€ versés via le fonds de soutien à l’expression radiophonique, et les deux chaînes parlementaires (Public Sénat et la Chaîne parlementaire perçoivent 31,6 M€.
Par ailleurs, l’État français a versé 1,2 milliard d’aides directes (70 millions d’euros d’aides au développement du portage, abonnements à l’AFP, 250 millions d’aides versées pour la restructuration de Presstalis) et indirectes aux médias, ce qui représente 11 % du chiffre d’affaires du secteur qui est évalué à près de 10 milliards d’euros.
Ces aides publiques tombent souvent dans l’escarcelle de grands groupes industriels ou financiers qui possèdent ces médias. Pour eux, l’État est devenu une vache à lait !
Les consommateurs de télévision, radios, journaux ont-ils la main verte ?
Pourquoi s’arrêter là ?
Alors que les aides à la presse écrite sont concentrées sur les titres papiers, la Cour des comptes recommande “une réforme tournée vers le numérique. L’institution propose également d’instaurer une politique de la demande pour attirer un lectorat plus jeune.” Ben voyons.
Il existe néanmoins quelques journaux régionaux, notamment en Corse, qui informent avec objectivité.
Qui paie commande
Tout le monde connaît le vieil adage “Qui paie commande”. La contrepartie de cette manne financière impose aux médias de télévision, de radio, de presse écrite une obéissance servile à l’appareil d’État.
Dès 1958, en revenant aux manettes, Charles de Gaulle avait compris l’importance du contrôle des médias. Il avait alors nommé un compagnon de la libération, Pierre Lefranc, ministre de l’Information.
Idem pour François Mitterrand qui avait nommé un très proche, Georges Fillioud, ministre de l’Information, alors que ce dernier, maire PS de Romans, dans la Drôme, n’avait aucune expérience des journaux et des médias.
Tous ces médias sous perfusion déclinent, régressent, car ils ont perdu la confiance des Français. Ainsi, la télévision a vu son taux d’audience sombrer à 38 %, la presse écrite est tombée à 44 % au niveau de son audience et la radio à 50 %.
C’est du jamais vu depuis plus de 30 ans !
Et pour cause ! Entre les enquêtes bâclées, les entretiens biaisés, les copiés-collés de dépêches AFP et les « articles » écrits dans l’urgence sans vérification, ou même réécrits en douce pour éviter le scandale, on est tombé bien bas, très bas.
Autrefois qualifiée de 5e ou de 4e pouvoir, la presse est devenue le supplétif d’un pouvoir qui censure, qui réprime les Gilets jaunes, qui interdit de manifester, qui détruit la biodiversité, qui affaiblit le pouvoir d’achat des retraités, qui favorise l’immigration de masse, qui, en résumé, “macronise” tout un pays !
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Chut! Not disturb …je regarde cnews et j écoute
‘ Radio. Rassemblement National…
Nb…Radio Courtoisie…..
Qu’est-ce que c’est que ce cirque!
On nous rabat les oreilles que les médias Français appartiennent à des milliardaires, mais j’en doute, à voir comment les centaines de millions d’euros sont distribués si généreusement par l’état en puisant dans la poche des contribuables pour financer ces torchons.
En tout état de cause, il est prouvé que l’on entretient des propagandistes qui n’ont rien de “journalistes” à la solde des gouvernements en place .
irregardable !
De plus , la télé est irreardable tant les programmes y sont nullissimes : culture absente , jeux de niveau Hanouna (lobotomisator) , séries télé à la con, débats truqués , gauchiotterie omniprésente : poubellisation de la télé !
Micron au combat laissez moi rire
C’est pas demain la veille former le bien d’abord 😄😄😄😄😄😄😄😄😄😄
en même temps, “C’est du jamais vu depuis plus de 30 ans !” il y a la création d’une école pour imams, !!! imaginez un instant que la formation de curés soit aussi subventionnée voire dirigée par le gouvernement, quel tollé chez les “progressistes” et la fachosphère-islamo-gauchiste
Une presse d’Etat n’est plus la presse et l’État qui paye la presse plus la République.
Ce n’est plus un état de droit, car ce pays qui confond les pouvoirs, depuis Montesquieu, n’a plus de constitution.
Il faut exiger la privatisation de toutes les chaines et l’interdiction à toutes les collectivités publiques de subventionner tout media ou société de pensée.
Ou renoncer à l’article 10 de D.D.H.
Les propriétés d’Etat de France Inter et des chaines télé, sont illégales
les subventions publiques aux associations du Crif ou SOSO racisme également
Ce qui n’est pas technique mais seulement ou principalement idéologique n’est pas subventionnable
Donc surtout pas les medias.
Le pire étant peut-être le pouvoir de l’État concernant les autres média, via le CSA qui n’hésite pas à taper et remettre dans le “gauche chemin” la voix divergente de la bien pensance du ministre de la vérité vraie (ref à Orwell)
CSA : ce n’est qu’un “organisme” crée par Mitterand pour donner une impression de …..une censure déguisée. Et surtout, un magnifique “fromage” pour planqués en tout genre. De quoi ce faire, non pas des amis, mais un réseau et un bon…Ce qu’on appelait “des amitiés bien réparties. Michèle Cotta en sait quelque chose, elle a été la 1ère présidente du CSA……sous la Mythe !!!!