Islam et République, cela ne peut pas marcher…

Cet Occident n’a pas réussi ses grandes mutations culturelles, politiques et humaines par la grâce de Dieu ! Loin s’en faut !

C’est en rompant brutalement avec la tutelle du clergé catholique qu’il a pu s’émanciper en inventant la Laïcité.

Les révolutions arabes

Les populations tunisiennes et égyptiennes auraient dû d’elles-mêmes  se rendre compte qu’il existe une étroite corrélation entre la main-mise de l’islam sur la vie des hommes et leur sous-développement chronique.

De même que leur religion les a toujours fait figurer au rang des peuples récepteurs, éternels consommateurs-dépendants. Un tel constat doit en tout état de cause se suffire à lui-même pour motiver une réaction réfléchie de remise en cause du despotisme théocratique qui les mine depuis 1432 ans.

Pourtant elles préfèrent s’enfermer dans un schéma mental réactionnaire plutôt que de se libérer de tous les freins incompatibles avec les exigences du développement humain. Le monde musulman à travers les exemples tunisiens et égyptiens apparaît quelque peu comme le miroir  du Moyen Age de l’Occident chrétien.

Il n’existe pas de modèle parfait, mais s’inspirer de l’exemple d’autrui n’est pas une honte en soi !

Tant que les populations musulmanes persistent dans la voie de la providence divine pour occulter leurs propres responsabilités dans la maîtrise de leurs vies personnelles et collectives, le gouffre entre l’Occident et l’Orient ne fera que s’accentuer, et l’obscurantisme religieux sera leur seul lot de consolation.

A l’évidence :

–         On ne peut faire le choix de Dieu aux dépens de sa patrie.

–         On ne peut faire le choix de l’archaïsme au détriment du progrès.

–         On ne fait pas des pratiques mutilatrices de l’intégrité physique des femmes un projet culturel pour la société.

Et qui plus est :

–         Ni des mariages libertins frappés du sceau du sacré.

–         Ni la pédophilie, ni les abus sexuels, ni le viol qui se transforme en purgatoire pour la victime pour sauver l’honneur de sa famille.

–         Ni la nécrophilie ou la zoophilie pratiquée au Soudan islamique.

Ne peut intégrer l’humanité !

De telles mœurs immorales et criminelles ne devraient pas constituer un modèle culturel pour les musulmans comme veut l’imposer l’organisation fasciste et félonne des frères musulmans ou d’Ennahdha en Tunisie, de la Lybie, ou de l’Egypte sous couvert de la loi inepte et inique de la Charia.

S’il y a un exemple dont les musulmans devraient s’inspirer, c’est celui des populations christianisées qui ont choisi le respect absolu des lois de la République, l’humanitaire pour soulager la souffrance d’autrui, la voie de la non-violence pour manifester leur colère ou pour condamner les offenses supposées faites à leur religion.

Les populations islamisées ont choisi la voie contraire de l’intimidation, l’anathème, l’exhibition de signes ostentatoires, l’accoutrement vestimentaire, le prosélytisme agressif, la violence morale, la culpabilisation de leurs coreligionnaires, les menaces physiques et verbales de leurs compatriotes, déversant leur haine sur tout ce qui n’est pas de leur confession ou qui n’exalte pas leur foi avec autant d’ardeur et de ferveur religieuse qu’eux, n’hésitant pas parfois de recourir à la violence terroriste pour défendre leur foi parce qu’ils la considèrent offensée et même quand elle ne l’est pas.

Peu respectueux des lois Républicaines, humaines, des biens et des personnes.

Comme si la violence était devenue leur seule relation à Dieu, donnant le sentiment que la course effrénée dans la terreur est devenue une nécessité impérieuse pour se rapprocher de Dieu afin de mériter de sa miséricorde et de ses bienfaits dans l’au-delà. Tellement conditionnés psychologiquement qu’ils perdent conscience de leur propre humanité.

Mourir pour Dieu en sacrifiant le plus grand nombre de vies humaines sur son autel est devenu pour eux un rituel salvateur et libérateur de leurs âmes tourmentées et désespérées qui ne voient pas d’autres issues à leur existence terrestre que leur propre anéantissement et celui d’autrui.

Au lieu de chercher l’apaisement dans la République, ils préfèrent le feu de l’enfer et les images apocalyptiques qu’ils projettent à leurs semblables humains.

A-t-on d’un côté un Dieu que ses enfants louent en chantant son amour de l’humain et d’un autre un Dieu dont certains de ses fidèles adorateurs dévoilent à l’excès une autre facette de sa nature anthropophage et sanguinolent ?

Il faut dire que ces derniers (les islamistes) ne font en réalité que reprendre à leur compte la culture inquisitrice ancestrale de ceux qui aujourd’hui l’enjolivent et l’apaisent.

En clair, à chacun sa période d’inquisition

Doit-on en déduire par là que l’inquisition et ses oripeaux, a encore de l’avenir devant elle et qu’elle constitue la seule perspective d’avenir possible dans la République Française, pour ces populations musulmanes anémiques et lymphatiques pour qu’en dehors de l’obscurantisme à son stade ultime, il n’y ait point de salut pour elles ?

A se demander si elles ne sont pas plus sensibles et réceptives à ce type de discours exaltant et glorifiant du retour aux sources, à cette façon d’avancer à contre-courant de l’histoire et qui s’inscrit par conséquent dans la logique de la culture irrationnelle,  insensée, illogique et ultraréactionnaire véhiculée par l’islamisme conquérant !?

Jamais dans l’histoire de la République et de la démocratie Française en 2012, on n’a fait autant de confusion induisant une culpabilisation chez l’électeur-musulman, assimilant un acte politique citoyen à un acte de défiance vis-à-vis de Dieu.

Tout choix qui n’est pas porté sur Lui sera porté contre Lui, tel est le sens du slogan politique distillé par ces mouvements socialistes et sectaires.

Comme si les élections de 2012, censées dessiner le futur d’un projet de vie pour ces populations en sous-développement, quantitatif et qualitatif pathologique, marquaient  un nouveau choix de société, pour eux, qui s’avèrent in fine un référendum dédié à Dieu.

Voter, pour les musulmans de France, est devenu un moyen d’expression de son adhésion à Dieu.

Un vote identitaire ! On l’a vu à Marseille il y a 15 jours !

Etre musulman en France c’est voter pour celui qui défend l’Islam et voter pour celui qu’il ne l’est pas, c’est voter contre l’Islam.

La gauche depuis bien longtemps a compris ce mouvement, contrairement à la droite !

Le bulletin de vote, cet instrument juridique qui confère à son détenteur sa capacité d’exercer sa citoyenneté en toute responsabilité, est devenue une sorte d’offrande qu’on dépose dans les troncs des églises (des mosquées) et dans le cas d’espèces, dans les tirelires exposées dans les commerces ethniques pour collecter des fonds pour la construction des lieux de prière musulmane.

Les partis de la religion dans un environnement qui fait du changement sociétal une hérésie, exposant le contrevenant aux feux de l’enfer, ont tout le loisir de surfer sur les peurs et les angoisses névrotiques chez les croyants qui font du paradis islamique l’objectif suprême de leur passage sur terre.

Seul le salut de l’âme importe chez l’électeur-musulman

En aucun cas, il ne se laisserait séduire par des promesses qui lui font miroiter l’espoir d’une vie meilleure sur terre. Il a rarement le souci d’œuvrer pour le bien commun et l’amélioration de ses conditions d’existence. L’important est moins son investissement politique ou patriotique que l’investissement et les sacrifices consentis pour atteindre la voie de la félicité.

Toutes les injustices et les privations qui ne sont pas de l’ordre de la fatalité et qui ne sont donc pas irréversibles se trouvent immuables et perçues comme une manifestation de la volonté de Dieu. On ne change pas ce que Dieu seul est capable de changer.

Le monde islamisé tant qu’il refuse de s’inscrire dans une dynamique d’avenir et d’exhorter ses populations à faire de l’avenir leur projet de vie politique continuera à naviguer dans le creux de la houle inquisitrice qui a été vaincue par l’occident des Lumières.

En d’autres termes, le monde musulman, s’il ne fait pas son autocritique en acceptant de se regarder dans le miroir de l’histoire et purifie son corps social de tous ces parasites qui le rongent, est condamné d’être synonyme de barbarie humaine et de régression.

En définitive, tant que le sectarisme religieux et son corollaire l’aversion de la modernité où l’on fait de l’islam un modèle de vie pour les hommes, il n’y a pas de doute que ces révolutions accoucheraient d’un modèle de société qui fera regretter à ces populations leurs vies passées.

Des morts et des blessés pour servir la cause des ennemis du progrès humain. Des nostalgiques de la splendeur passée de l’islam comme si l’on peut faire renaître ce passé si glorieux soit-il de ses cendres, alors qu’il est plutôt halluciné.

Ces marchands du temple islamique instrumentalisent la religion à leurs fins personnelles et pour assouvir des desseins criminels et mafieux. Ils se servent d’elle pour manipuler et endoctriner.

Tels les nazis et leur culte du passé aryen et de la pureté de la race, les nostalgiques et faux prophètes font des dogmes islamiques leur fonds de commerce pour scléroser ces masses défavorisées et annihiler leur volonté, altérer leurs facultés de discernement et les enfermer dans des schémas initiatiques exaltant le passé. Rendant toute rupture avec le passé impossible assimilée à un sacrilège. Créant ainsi une véritable phobie chez les fidèles-électeurs.

Le passé se trouve revêtu du sceau du sacré, le rompre est une apostasie tel est le sens de la névrose dogmatique inhibitrice de la pensée humaine. On ne peut faire du passé un projet de vie d’avenir, ni faire du vivre ensemble le présent dans le passé.

Seule une coupure nette et radicale avec facteur de changements en profondeur et un levier catalyseur et libérateur des énergies créatrices. Tant que ces freins culturels inhibiteurs persistent, il est illusoire d’espérer l’émergence d’une intégration dans la République.

André GALILEO

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