J’accuse tous les traîtres qui favorisent l’agression des Français de souche

« Si une société n’est pas acceptée c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint du racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs… »                                               (Charles de Gaulle)

Faut-il que je sois en colère, écœuré ou déprimé pour commencer un article par une citation du « Grand Charles » ?  Je dois pourtant reconnaître, honnêtement, que même si je conteste TOUTE son action politique (1), il avait souvent des analyses pertinentes et des propos intelligents.

Le problème avec de Gaulle, c’est que ses actes contredisaient presque toujours ses écrits.

À peine sortis du confinement, nous vivons un nouveau tournant de notre histoire.

La communauté noire et ses « idiots utiles » blancs ont mené des manifestations violentes pendant plus d’une semaine. Des manifestations interdites mais tolérées par Christophe Castaner.

Quelques jeunes Identitaires ont, courageusement, osé déplier une banderole dénonçant le « Racisme anti-Blancs » et, aussitôt, toute la presse aux ordres a crié au fascisme.

Dans la foulée, nous avons eu droit, à Dijon, à quatre nuits d’émeutes (avec armes) entre des Maghrébins et des Tchétchènes. Le différent s’est réglé… à la mosquée, entre un imam local et un autre imam – pro-Tchétchènes – venu, sauf erreur, de la région parisienne.

Les policiers ne sont pas intervenus, par manque d’effectifs (ou par peur des sanctions ?).

Nous sommes au bord d’une guerre civile, et Jean Raspail, dont le roman prémonitoire « Le Camp de Saints » nous mettait en garde dès 1973, s’est éteint  avant l’explosion.

L’immigration-invasion et la « diversité » – ces « Français de papiers » qui doivent leur naturalisation au Jus Solis – menacent la sécurité, la tranquillité et la survie des Gaulois réfractaires que Macron déteste. Le Français de souche n’est plus chez lui en France et il ne se passe pas un jour sans qu’il soit insulté, critiqué, culpabilisé, humilié, blessé dans ses croyances, par une faune allogène qui lui reproche son histoire, son épopée coloniale et son passé esclavagiste.

La 13 janvier 1898, dans le journal « l’Aurore », Émile Zola, ce grand bourgeois qui parlait si bien d’un prolétariat ouvrier qu’il se gardait bien de côtoyer – en quelque sorte l’ancêtre de la « gauche-caviar » –  adressait une lettre ouverte au Président Félix Faure, pour prendre la défense du capitaine Dreyfus. Son article, qui pointait du doigt dix personnes, s’intitulait  « J’accuse… ! ».

Nous sommes en juin 2020, je ne suis pas Zola, mais à mon tour d’accuser :

J’accuse Emmanuel Macron, président de la République, de laisser s’installer sur notre sol un climat insurrectionnel qui sert ses desseins, ceux des européistes et du « Nouvel Ordre Mondial » à savoir la fin de l’Occident, en favorisant la haine du Blanc.

J’accuse « La République en marche », le parti du Président, d’avoir soufflé sur les braises en s’associant à l’hommage international au délinquant noir mort à Minneapolis alors qu’elle ne s’offusque JAMAIS  quand des Blancs – policiers ou civils – sont agressés par la « diversité ».

J’accuse l’extrême-gauche – et ses nombreux relais – d’avoir mis à profit  la mort d’un Noir américain à Minneapolis pour fomenter des manifestations raciales en France (au nom du collectif « Justice pour Adama Traoré »).

J’accuse des médias vendus d’avoir caché que l’équipe de policiers qui a appréhendé le délinquant George Floyd était une belle illustration du « multiculturalisme » puisqu’elle comprenait un  « toubab »  à peau blanche, un Asiatique et un Noir (2).

J’accuse les instituts de sondages et les statisticiens  qui pérorent sur les plateaux télé de ne pas oser dire aux Français que la population noire des USA représente 13,4 % de la population totale, mais qu’elle est à l’origine de 49,4 % des actes criminels.

Donc, d’avoir occulté le fait que la surreprésentation des Noirs victimes de bavures policières est proportionnelle à leur implication dans la délinquance.

J’accuse les médias d’avoir invité à moult reprises Assa Traoré à s’exprimer devant leurs micros, sans la contredire, et d’avoir laissé cette passionaria noire déverser sa haine de la France sans jamais lui demander de quelles subventions vivait son association ?

Et sans jamais évoquer devant elle le casier judiciaire « chargé » de certains membres de sa famille.  Ils auraient pu également lui demander pourquoi de jeunes Maliens manifestaient en France alors que des soldats français se font tuer au Mali ?

J’accuse Christophe Castaner, incompétent ministre de l’Intérieur, d’avoir validé la thèse d’un prétendu racisme policier en désignant ses propres troupes à la vindicte populaire. La police était pourtant en droit d’attendre un soutien de la part de son ministère de tutelle.

J’accuse les divers commentateurs des émeutes raciales en France de ne jamais chercher les liens entre l’association « Justice pour Adama Traoré » et l’ « Open Society » de Georges Soros.

J’accuse donc le milliardaire Soros de financer en sous-main tous les mouvements subversifs qui œuvrent à tuer les nations.

J’accuse les militants d’extrême-gauche, « antifas », antiracistes, indigénistes, racialistes etc. etc. et la famille Traoré de nous faire une démonstration flagrante que le « vivre-ensemble » est une utopie, un leurre, un fantasme dénué de réalité.  En cela, je les remercie. En effet, dans tous les pays où il y a diversité ethnique, il y a des affrontements et une forte délinquance.

Et moins les minorités sont minoritaires, moins l’intégration fonctionne.

Après un bon demi-siècle d’immigration débridée (3) la France est arrivée à un point de non-retour. Le spectre d’une guerre entre les diverses populations qui « cohabitent » sur notre sol est presque inévitable. Circonstance aggravante, notre pays est confronté à une population musulmane qui a toujours démontré une incapacité totale – tant culturelle que religieuse – à s’intégrer à une culture différente de la sienne. Pour l’islam, hors de la charia, point de salut !

Les mondialistes et la finance apatride – qui tirent les ficelles de la marionnette Macron – savent tout cela aussi bien que nous, mais pour eux la disparition des nations va dans le sens de l’histoire. On pense à la citation du colonel Bastien-Thiry (4) :

« Il n’y a pas de sens de l’histoire. Ce qui fait l’histoire, c’est la volonté des hommes. Ce sont leurs intentions bonnes ou mauvaises… ».

                Les nôtres sont bonnes, les leurs sont mauvaises. On ne risque pas de s’entendre !

Éric de Verdelhan 

1) Beaucoup se contentent de lui reprocher l’abandon de l’Algérie

2) Et j’accuse les mêmes d’avoir, par la même occasion, omis de nous dire que le chef de la police de Minneapolis, donc le responsable, est lui-même un démocrate noir

3) Le processus s’est accéléré avec le « regroupement familial » de Giscard d’Estaing

4) Fomenteur de l’attentat du Petit-Clamart, contre de Gaulle, le 22 août 1962.