Je n’ai aucun doute : Trump sera réélu !


Les médias occidentaux se gargarisent de mots avec délectation pour décrire la situation dans laquelle se trouve les Etats-Unis suite à la mort au cours de son interpellation d’un repris de justice Afro-Américain selon la terminologie désormais en vigueur. Au poids des mots s’ajoutent des images sélectionnées pour faire croire que l’Amérique est à feu et à sang, et que le coupable n’est autre que le Président Trump. Bien essayé mais cela restera une immense escroquerie politique. Il apparaîtrait que seules les grandes agglomérations américaines dirigées par des opportunistes qui n’ont de démocrate que le nom soient concernées, celles où la garde nationale a été empêchée d’intervenir par leurs dirigeants politiques pour laisser libre cours aux émeutiers et aux pillards afin d’alimenter la dialectique anti-Trump, ce diable indéboulonnable responsable de tous les soubresauts que connaît la planète depuis 2016.

Ne vous y trompez pas, les manifestants sont les mêmes que ceux qui dans les années 1960 conspuaient et crachaient sur ces GI éreintés rentrant du Vietnam. Ils sont dans leur ensemble issus de cette ultra gauche biberonnée à la marie jeanne depuis leur entrée dans l’adolescence, ils sont également les minorités visibles frustrées de n’avoir pas réussi à se faire la place qu’ils estiment être la leur, des « pue la pisse », des punks à chiens, des repris de justice et des malfaiteurs opportunistes, des idiots utiles manipulés par les grands médias tous soudés par leur haine viscérale à l’endroit de ce Président qui n’a de cesse de les renvoyer dans les cordes.

C’est encore la communauté LGBT+++, les féministes hystériques, les pacifistes fragiles, l’armée des cheveux violets et oranges aux genres non identifiés qui défilent, le mouvement racialiste « Black Lives matter » qui se réveille et donne de la voix avant chaque élection présidentielle appuyé, financé et piloté par cette caste démocrate déconnectée prête à toutes les compromissions intenables et concessions folles comme celle de démanteler les polices de leurs villes. Ajoutez à toute cette chienlit, les anarchistes mercenaires de tout poil, les antifas de bac à sable dont les parents viennent de CSP+, les activistes spécialisés dans l’agitprop, l’Etat profond, Soros et la participation univoque de Twitter dans cette contestation en carton-pâte et vous aurez un tableau d’ensemble assez proche de la réalité.

Oui, tout cela procure assurément de belles images pour les médias et permet de faire croire à un immense chaos, en fait parfaitement orchestré par des groupes structurés et pour le moment protégés car servant la « cause » progressiste du nouvel ordre mondial. Cela peut effectivement représenter quelques millions de personnes, (et encore cela reste à démontrer) qui défilent bruyamment et visiblement grâce à la couverture médiatique, galvanisées par une police municipale tétanisée (à laquelle il a été demandé de rester en retrait) sur une population qui en compte 328 millions. La majorité est toujours silencieuse.
Toute cette histoire n’est qu’une supercherie grandiose après celle non moins exceptionnelle de cette pandémie dont la gestion n’a pas fini de susciter des interrogations.

Dans cette Amérique dite profonde que sont les campagnes, les villes de petite et moyenne importance, les bourgades, dans ces Etats des grands lacs, des immenses prairies, des grands espaces, la vie ne s’est jamais arrêtée et n’a jamais été suspendue à la mort cruelle de George Flyod. Le parti démocrate toujours à la manœuvre qui a, une fois n’est pas coutume, depuis l’élection de Trump voulu jouer sa partition préférée à savoir celle de la manipulation de l’opinion publique avec la complicité des médias sans lesquels rien ne serait possible. Il fallait bien se remettre en selle après leur Bérézina avec leur tentative désespérée à vouloir destituer, coute que coute et vaille que vaille, l’ignoble Trump et surtout contre-attaquer face à l’Obama-Gate, qui menaçait d’envoyer les plus fidèles « obamistes » en prison pour parjure et/ou trahison.

La mort de George Floyd lors de son arrestation par quatre policiers blancs était l’occasion inespérée après le ralentissement constatée de la pandémie COVID-19 (sur laquelle beaucoup avait misé pour démolir les succès économiques sous la mandature Trump) pour renverser la vapeur d’une élection présidentielle qui sentait le sapin pour Joe Biden.

https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/presidentielle-americaine-pour-joe-biden-un-noir-n-est-pas-noir-s-il-pense-voter-donald-trump-6843377

Joe Biden et à travers lui le parti démocrate va payer au prix fort l’addition de ses lâchetés et de son hypocrisie légendaire. En lieu et place de faire supposément ouvrir les yeux sur la façon inique dont la Police traiterait la communauté noire de ce pays en grossissant à outrance les violences policières sur lesquelles s’est bâti ce pays jeune au regard de son histoire, le Parti démocrate, n’a contribué qu’à faire monter la peur d’un cran. Une population effrayée de constater que cette violence était légitimée par un discours victimaire alors qu’en même temps la justice montrait qu’elle était au rendez-vous et qu’elle suivait son cours normal et plutôt rapidement avec le limogeage des policiers incriminés suivi de leur incarcération dans l’attente d’un procès.

Cette même population aimant son pays, sa Police et ses sheriffs, laquelle, n’en déplaisent aux médias, est encore, pour l’instant, majoritaire. Il n’y a qu’à voir le chiffre effarant des ventes d’armes enregistré ces deux derniers mois dans un pays qui compte déjà plus d’armes en circulation que d’habitants pour comprendre que l’Amérique se prépare plus que jamais à faire la guerre pour vivre en paix. Je n’ai aucun doute sur le fait que Trump sera réélu si les modalités de cette élection ne sont pas tronquées par des artifices électroniques.

Dudley Smith

image_pdfimage_print