Notre pays est miné par un fléau particulièrement virulent et nuisible qui est le « gôchisme. »
J’appelle et j’écris cela de cette façon avec le plus grand mépris, car il ne s’agit pas d’une chose respectable, ni belle, ni bonne, ni propre, ni même d’un quelconque courant de pensée ou d’idées, ni d’une idéologie politique possédant quelque vertu pour le peuple.
Le socialisme des premiers jours qui aurait pu être une chose intéressante pour les prolétaires de tous les pays ne dura que peu de temps et se transforma très vite en sa version autoritaire et brutale de dictature avec son cortège de déviances et de privilèges de caste et de parti.
Le gôchisme est le pauvre cadavre corrompu de cette idéologie socialiste qui fut ce qu’elle fut, qui a donné de l’espoir à des milliards d’humains dans la souffrance et sous le joug des puissants et a fini par tous les trahir après en avoir asservi, exploité, pressuré, torturé et exterminé des centaines de millions sur toute la surface de la terre et dans de nombreux pays. Et ce n’est pas fini, d’ailleurs, comme en Corée du nord, en Chine, Haïti, etc.
Le gôchisme c’est depuis un siècle la culture de l’échec, c’est la trahison des peuples par leurs dirigeants, c’est la régression intellectuelle, c’est l’incompétence et la faillite en économie, c’est la répression politique des idées, c’est la corruption et le vol des biens du peuple, c’est l’injustice, la persécution des opposants, le règne de la peur, de la prison et des exécutions sommaires.
Le problème est que ce cancer des nations a la peau dure.
En France, il s’est métastasé massivement dans toute la société pendant des décennies et il faudra vraiment des traitements par chimiothérapie ou par radiothérapie très puissants pour en arriver à bout un jour, si c’est encore possible. Sinon, ce sera la mort.
De nombreux secteurs de notre société sont particulièrement contaminés.
Dans le monde associatif et paritaire, on peut dénoncer les syndicats avec leurs abus perpétuels qui ont porté des coups mortels à notre économie, notre industrie et nos services publics.
Dans l’administration globalement infectée on peut compter l’éducation nationale particulièrement touchée, ainsi que la justice.
Soyons honnêtes, il existe des enseignants qui ne se sont jamais laissé embrigader, ainsi que quelques magistrats, mais beaucoup l’ont payé cher dans leur évolution de carrière, car le gôchisme est une chose particulièrement dégueulasse qui ne supporte pas la résistance ni la contradiction…
Dans la magistrature française qui est tout sauf libre et indépendante, mais totalement soumise à l’exécutif dans un grand déni constitutionnel, on peut dire que le Syndicat de la Magistrature a bien verrouillé le truc. Il fait sa petite cuisine interne et défend son steack contre le remaillage des tribunaux et le manque de budgets, comme tout le monde pourrait-on dire.
Mais il n’en reste pas moins que la magistrature française est loin d’être parfaite et irréprochable comme elle voudrait bien nous le faire croire.
Être magistrat, juge ou procureur, c’est être dépositaire d’un pouvoir astronomique et abusif sur les gens tout en étant totalement protégé et intouchable.
Un magistrat peut briser et détruire des vies sans que personne ne puisse s’y opposer (affaire d’Outreau, par exemple).
La magistrature a même parfois osé se prétendre quasiment infaillible, à l’instar du Pape ! Elle ne peut pas se tromper et si c’est le cas elle ne le reconnaîtra jamais. Avez-vous déjà vu un juge être jugé et condamné. C’est comme les politiciens, ils s’en sortent toujours.
J’ai fait un petit peu de droit, dans ma jeunesse. J’ai connu des juges amis de ma famille et j’ai aussi assisté à pas mal d’audiences dans divers tribunaux en correctionnelle ou en grande instance. C’était toujours intéressant, parfois drôle et parfois dramatique. J’ai vu et entendu ce que je pensais être de bons juges, humains, attentifs, compréhensif et indulgents et d’autres très froids, stricts, durs et sans la moindre once d’humanité.
La justice n’est pas la même pour tout le monde et elle n’est pas gratuite. D’abord, en justice, il faut payer des avocats et ça peut coûter très cher, mais jamais sans la moindre garantie de résultat par rapport à la dépense. Une sorte de jeu de hasard, en somme. Même si on connaît le droit et les attendus, on ne peut jamais savoir avec certitude quel sera le verdict.
Ensuite, lorsqu’on écoute les avocats discuter entre eux, on les entend clairement reconnaître que tel juge est coulant et tel autre impitoyable. Le tout étant de tomber sur le bon…
De tout cela on peut conclure que le droit écrit n’est pas la seule chose qui préside à la justice.
Car la justice passe aussi par la coutume, la jurisprudence, des décrets, des consignes, des ordonnances et bien d’autres considérations subjectives réglementaires et administratives assez floues.
Dans mon enfance, j’ai connu plusieurs de mes anciens copains de l’école primaire et du collège qui sont devenus magistrats après leurs études de droit et d’école de magistrature.
Pour moi, ce n’étaient pas les plus sympathiques.
Je pense même que dès le départ c’étaient des personnes qui avaient des problèmes psychologiques et relationnels et un certain complexe de supériorité. Voire même le goût de faire ch… les autres.
En général, les paumés qui se cherchent font plutôt « psycho », mais pas tous.
Comme le droit nécessite beaucoup de mémoire, les mieux nantis en mémoire se lance dans le droit qui ouvre des portes vers différentes carrière juridiques assez bien rémunérées (avocats, greffiers, procureurs, juges).
Mais, contrairement à la médecine qui nécessite mémoire et intelligence mathématique pour comprendre des mécanismes complexes, le droit ne fait pas beaucoup appel à l’intelligence. Il suffit de tout apprendre par cœur.
De ce fait, un magistrat n’est donc pas forcément une personne très douée sous le rapport de l’intelligence. Il peut faire illusion devant quelques gogos, mais pas plus.
Devenir magistrat n’est pas le choix de tout le monde. Il faut bien le dire, ce sont des carrières dans lesquelles on passe sa vie à se mêler de celle des autres et à la pourrir, de préférence.
Bien sûr, il faut une justice.
Mais elle pourrait être différente, meilleure, plus éclairée, plus intelligente, plus sage, plus humaine.
Cela, on le trouve davantage dans certaines juridictions comme le droit de la famille ou bien la petite délinquance.
Oh, je suis sûr que beaucoup de magistrats sont de braves gens qui font ce qu’ils peuvent dans un système judiciaire qui, par ailleurs, est complètement explosé, inadapté et totalement archaïque, dans des tribunaux qui tombent parfois en ruine, par rapport à toutes les nécessités et contraintes de notre époque.
Mais je trouve particulièrement odieux et choquant que la magistrature française se déclare ouvertement « de gauche », car elle en est automatiquement entachée et inéquitable en terme d’application du droit. Qu’un magistrat ait des opinions politiques personnelles est son droit le plus légitime, mais que l’institution judiciaire tout entière se réclame ouvertement d’une idéologie politique est une hérésie constitutionnelle.
Cela signifie que tous les justiciables qui ne sont pas de gauche seront pénalisés par la justice et que ceux qui sont de gauche seront favorisés. Et c’est ce qui arrive dans les faits.
C’est inacceptable et cela suffit à désavouer et à condamner la magistrature.
Et puis, on voit des magistrats qui se battent essentiellement pour faire une carrière dans un milieu où politique et justice se côtoient et sont étroitement imbriquées. Ceux-là ont un tout autre esprit.
Peu leur importe les rituels de cour. Ils doivent plaire à leurs pairs et les flatter à tout instant pour avancer. Ils doivent faire du chiffre.
C’est dans ce milieu-là que l’on trouve pas mal de psychotiques et de coupeurs de têtes.
C’est dans ce vivier-là que sont choisis par l’état ceux qui vont devenir les exécuteurs des hautes œuvres du pouvoir et passer leur temps à condamner les citoyens qui se font remarquer par leurs comportement « dangereux, activistes subversifs et terroristes intellectuels », comme des patriotes, des identitaires, des amoureux de leur pays, des pacifistes et de grands progressistes qui présentent des risques de contamination des masses face aux décisions et aux actions d’un pouvoir en déliquescence.
Lorsque la magistrature se comporte en exécutrice au service de la politique politicienne et idéologique, elle se ravale et s’avilit au même rang que celui de n’importe quelle dictature sanglante et elle devient juste une magistrature de la boue, de la fange, de la crasse, mais en aucun cas l’expression d’une quelconque forme de « justice. »
C’est ce que fait, en France, la 17e chambre correctionnelle avec ses juges vendus aux ennemis de notre pays.
Je n’ai plus aucune confiance, aujourd’hui, dans la justice de la France et je ne la respecte pas car le respect est une chose qui se gagne et se mérite, ce qui n’est pas son cas.
Pour comprendre les ramifications du pouvoir global qui est en jeu et contesté : Anne Lauwaert : « Pourquoi le système ne supporte plus Pierre Cassen et Christine Tasin »
https://ripostelaique.com/pourquoi-le-systeme-ne-supporte-plus-pierre-cassen-et-christine-tasin.html
https://ripostelaique.com/que-la-republique-foute-la-paix-a-christine-tasin-et-pierre-cassen.html
Pierre Cassen sur Radio Liberté (27 février 2018), condamné à 3 mois de prison avec sursis par la 17e chambre correctionnelle de Paris sur « suppositions » d’être encore le directeur de publication de Riposte Laïque, alors qu’il ne l’est plus depuis longtemps, et sur d’autres supputations arbitraires démontrant clairement la confusion et les errements d’une magistrature française déconnectée des réalités du monde et pataugeant honteusement dans le marigot putride de ses contradictions et de ses incompétences, sans parler de sa trahison coutumière de la France et de son peuple.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=52&v=1V625xHtxek
La 17e chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris est spécialisée dans les affaires de presse.
Elle est composée de magistrats spécialisés (c’est donc un tribunal d’exception !), chargés de faire respecter la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 et les principes de la diffamation en droit français, permettant de trouver un « compromis » entre la défense de la liberté de la presse et le respect de la personne.
A la loi de 1881, il faut ajouter la loi Pléven, la loi Gayssot et les lois Taubira qui sont toutes antifrançaises, car en matière de « races », la 17ème chambre ne connaît de racisme que ce qui est racisme envers les noirs, les arabes et les musulmans (qui sont une race !) mais rejette systématiquement toute affaire de racisme envers les juifs, les blancs ou les jaunes…
Le problème et le vice de cette juridiction est qu’elle est aussi appelée à statuer sur des affaires ayant une portée politique beaucoup plus étendue que de simples affaires de liberté de la presse. Elle traite notamment de ce qui est ou n’est pas à caractère raciste, alors que la loi ne le précise pas et ignore même la notion de race. Elle traite de ce qui est religieux ou non alors, que la législation française ne précise pas ce qui est religieux ou ce qui ne l’est pas.
Ainsi, la 17e chambre, qui est la seule à connaître de ce genre d’affaires, est-elle avant tout une arme politique au service du pouvoir exécutif, visant à poursuivre et à condamner toute personne qui serait opposée à la politique du gouvernement, donc tout opposant au régime.
Le spectacle affligeant de l’état de santé moral et éthique de la magistrature française, nous révèle clairement le mal profond qui la taraude et qui nous prouve bien que ces salariés de l’état ne sont ni meilleurs, ni plus inspirés, ni plus intelligents que n’importe quel salarié de base. Porter la robe rouge ou la noire n’améliore aucunement le QI.
Laurent Droit
Bravo et merci pour cet article. Après 35 ans d’enseignement j’ai été victime de burn-out pour avoir refusé la bien-pensance de gôche qui m’ordonnait de ne plus rien apprendre aux élèves pour les laisser “s’épanouir ” comme s’il s’agissait de choux-fleurs, et de les laisser faire n’importe quoi, entre autres insulter leurs profs à longueur de journée.
En route vers la putride Societe des Bobos – Gochistes ! Dictature de l Horreur !
Oui, Lisianthus, je suis sûr que vous savez de quoi vous parlez.
Je suis moi-même marié à une enseignante (non gôchiste!).
C’est l’effondrement de nos valeurs qui entraîne la chute de notre société.
Nous sommes très mal partis…
Vous n’avez tort que sur un point, Laurent Droit, c’est de croire que la “gôche” a pu être un jour porteuse d’espoir. Quand une idéologie prône la punition de l’effort efficace des entrepreneurs par la spoliation, au profit d’une masse de suiveurs qui, honorables ou non, sont dispensés d’une obligation de résultat, c’est la société entière qui s’appauvrit, c’est mathématique. Que la corruption, l’opportunisme, et la trahison des élites de “gôche” ait renforcé et accéléré cela, c’est certain, mais ça n’est que le prolongement inéluctable d’un vice idéologique, qui fonde son clientélisme sur la flatterie des plus bas instincts des humains, au premier chef le péché d’envie et la haine de la réussite
Vous avez raison, Sylvie, et merci de le dire.
Bien sûr, je puis aussi être dans l’erreur, parfois.
L’affaire Cahuzac m’a fait bien rire. Le politique pris à son propre piège…
Un juge “mur des cons” ou un juge vendu aux ennemis de notre pays, égorgé à la sortie d’une gare par exemple ne m’arracherait aucune larme et prêterait même à sourire…
Cela s’appelle du fatalisme !
Très bon texte, des vérités qui pleuvent, tant pis pour les feignants qui ne lisent pas car c’est long; pour savoir il faut chercher. Pour y ajouter, ces juges gauchistes sont francs-maçons, c’est pour ça qu’ils sont choisis par les autres francs-maçons qui verrouillent tout ce qui est état, presse, télé, radio, éducation, justice, même le vatican.
J’aurais bien ajouter la magnifique symphonie de Rameau : “Vive la race de nos rois”, pour illustrer l’inversion de cette “justice” maintenant rendue au nom des francs-maçons et autres gauchistes et plus au nom du peuple (bien que celui-ci change très vite, ceci expliquant sans doute cela, quelle traîtrise!).
En plus court ?
La Cause et l’Effet ! Encore et toujours ! C”est la Formation !
Magistrats ? Ecole de la magistrature ! Bordeaux.
Fonctionnaires ? ENA ! Strasbourg.
Journalistes ? Ecoles de journalistes ! Des tas.
Enseignants ? Anciens UEFM !
Vous rajoutez le Syndicalisme ? La Coupe est pleine ! Prost !!
Quand vous dites que la ”justice” est plus éclairée, plus humaine, plus sage dans certains domaines dont le droit à la famille, vous dites une bien belle bêtise. Renseignez vous un peu et vous constaterez que dans ce domaine là, elle est des plus sectaire et dogmatique, servies par des juges aux affaires familiales formés dès l’ENM de Bordeaux à une certaine pensée maçonnique d’où l’exclusion d’un des parents, a savoir le père est quasi systématique. Quitte à arranger les jugements
Merci bourguignon. En effet, je suis peut-être un peu optimiste. Mais je dirai que là on se trouve plus face à la personne même du juge. Certains sont plus à l’écoute et plus humains. Je l’ai d’ailleurs vécu moi-même dans le cadre des droits parentaux. Et j’ai eu affaire à quelques juges plutôt honnêtes et d’autres complètement à la masse…!
Excellent article. J’approuve totalement. D’une façon générale, l’intelligence est bien la dernière chose que l’on risque de croiser dans la magistrature (tout comme le courage). La magistrature tient sa crédibilité uniquement dans le fait qu’elle a la possibilité de distribuer peines de prison, peines d’amendes et autres “punitions”. Ce sont juste des chiens de garde, catégorie roquets, qui obéissent servilement à leurs maîtres.
“Ancien militaire et patriote” ou “Patriote et ancien militaire”? Évidemment, patriote, il faut souvent se faire violence pour le rester quand on voit ce que devient ce pays que nous avons défendu…
Comme Hargott, mon petit côté anar me donne envie de fuir cette “justice”, versée dans le gauchisme et finalement, l’injustice.
Bravo à Laurent Droit pour cet article bien écrit.
pour corriger ces dérapages idéologiques il suffit d’instaurer la responsabilité individuelle des magistrats puisque l’indépendance doit s’accompagner de la responsabilité comme pour tous les professionnels
Idem pour moi. Aucune confiance dans cette justice. Nulle et aucune légitimité
“Être magistrat, juge ou procureur, c’est être dépositaire d’un pouvoir astronomique et abusif sur les gens tout en étant totalement protégé et intouchable”; pour moi, qui ai certaines tendances à l’anarchisme, tout est dit : rien que cela, qui est un fait, et j’ai déjà envie de vomir. Pour vous dire que je suis loin de seulement être capable de “m’intégrer” à ce monde à l’envers.
§Comment faire confiance a la justice si vous n’êtes pas Francs massons (pas si francs que cela) J’ai refusé d’en être on m’a ruiné Je suis mal tombé,justement sur des F M , ,
D’accord ou pas d’accord avec vous, dites au moins “francs maçons”, cela vous aidera peut-être à comprendre ce que cela veut dire.
Comme souvent les “bons postes” où l’argent des français pleut, et où la compétence est reconnue à son appartenance à la loge ou copains/coquins des grandes “écoles”. Un récent rapport sur L’ENA établit la pensée unique et gauchiste des candidats qui n’ont pas d’idées mais répètent. Ils sont façonnés gauchistes car peureux d’oser être politiquement incorrect, ils s’auto-censurent pour réussir le concours. Ces candidats sont les mêmes que ceux que nous avons au pouvoir, qui ont réussis, ils étaient les pires gauchistes. Ambitieux et hypocrites, ils ne se frottent pas à la réalité et jouent dans le sens du vent médiatique maçonnique pour exister sans rien branler (cf : justice, associations subventionnées, bons postes de fonctionnaires, politiques, journalistes), dans le privé aussi ?
cher Laurent , que vous vous avez raison, mais ce n’est pas ici que je m’étendrais , mais vous savez ou ,des que j’ai une minute en tant qu’ancien juge ( au commerce heureusement) je vous en glisserai quelques unes qui sont pas mal.
Moralisation de la Justice :
Trouvez-vous légitime que les Magistrats qui commettent, délibérément, des fautes, dans leur jugement, soient, les seuls, parmi les citoyens de notre pays, à être quasiment dispensés de les réparer ?
C’est contrevenant au principe de l’égalité en droit de notre République.
C’est contrevenant à notre démocratie qui s’oppose à tout pouvoir absolu, qui implique que tout pouvoir implique un contre pouvoir
Si les magistrats réparaient leurs fautes, cela ne pourrait compromettre l’indépendance de la Justice, mais, au contraire, la conforterait.
La Justice de notre pays est rendue au nom du peuple qui ne saurait agréer aucun passe droit Parrtager la pétition :
https://www.mesopinions.com/petition/justice/suppression-immunite-juges/28468
Pour être respecté, il faut être respectable et la justice “mur des cons” a perdu sa respectabilité depuis longtemps…
J ai eu confiance en la justice mais ça fait bien longtemps que c est fini , c est vraiment une loterie ou nombreux de ses juges sont pourris par leur idéologie guauchiasse et leur manque de logique . Je pense que le pire c est le tribunal administratif , l état qui juge l état en faite .
moi non plus,aucune confiance,pour moi la justice maintenant est devenue une loterie gerer par des gens qui pensent politique avant justice.
Pardon d’ergoter, mais ce n’est pas une loterie.
Dans une loterie on a un petite chance de gagner.
Tandis qu’avec eux, même quand, exceptionnellement, vous gagnez un peu (pas tout hein !), vous perdez quand même !
oui c’est bien ce que je dit….une loterie car vous avez trés peu de chances que vous gagner,meme avec un meme cas pour 2 personnes différantes selon votre nationalité ou ethnie vous serez soit puni soit vous passerez a travers,rien de logique.
Tout à fait !!