« La crainte de nourrir le nationalisme ne doit pas faire de l’enseignement de l’histoire une guerre contre l’idée de nation. » (Henri Guaino).
Nous venons – encore ! – de vivre une magnifique démonstration de l’inversion des valeurs, de la mauvaise foi partisane, du « deux poids deux mesures », de l’indignation à géométrie variable, qui sont devenus la règle depuis que ce pays est aux mains des gauches, avouées ou larvées.
À Annecy, une quarantaine de militants « d’extrême droite » (qui ne manquent certainement pas d’humour puisqu’ils se sont baptisés « Syndicat des fleuristes ») ont défilé derrière des drapeaux français et savoyards, mais aussi des bannières à croix celtique, en chantant « La Marseillaise » et « Les Lansquenets ». Aussitôt le ban et l’arrière-ban de la bien-pensance, le ministricule Darmanin, les médias, tous les partis politiques ont poussé des cris d’orfraie en criant au loup : la Bête immonde, la peste brune, le nazisme, étaient à nos portes ; le pays allait revivre « les heures les plus sombres de (son) histoire ». Sur les plateaux-télé, à la radio, des spécialistes autoproclamés venaient nous parler de la résurgence du fascisme qui, comme chacun sait, est LE véritable danger pour la démocratie.
Pour l’occasion, on nous a ressorti quelques vieux poncifs éculés qui font toujours recette : « Le nationalisme c’est la guerre », tirade de François Mitterrand, ou « le nationalisme c’est la haine de l’autre » de Romain Gary, ou encore « Le patriotisme, c’est aimer son pays. Le nationalisme, c’est détester celui des autres. » de Charles de Gaulle. Le discours, stupide, est toujours le même !
Permettez-moi de préférer la citation de Jacques Bainville, « Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État. », qui, bien qu’elle date des années 30, me semble mieux adapté à l’état de délitement et de délabrement de notre pauvre pays.
Je regarde peu la télévision mais les rares commentaires intelligents que j’ai entendus sur ce non-évènement émanaient de trois femmes, Marion Maréchal, soumise aux questions fielleuses d’un roquet sur BFM TV, puis Élisabeth Lévy et Véronique Jacquier, sur CNews. Il y en a certainement eu d’autres mais très peu car, au pays « des droits de l’homme et des libertés », on se doit de dénoncer avec fermeté toute forme de fascisme, vraie ou supposée. D’ailleurs toutes les belles consciences de la droite tiède, du centre mou, de la « gauche-caviar » et de l’extrême gauche révolutionnaire ont exprimé leur indignation. La palme de l’éructation violente et des vociférations stupides revenant incontestablement à Marine Tondelier, la patronne des « Khmers verts », nouvelle coqueluche des médias, et qui finira par supplanter Sandrine Rousseau en matière de délires verbaux.
Mais revenons aux « fachos » savoyards. Ils ont participé à une manifestation interdite par la préfecture de Haute-Savoie, c’est un fait indéniable, mais pour le reste, que peut-on leur reprocher ? Ont-ils cassé des vitrines ? Ont-ils brûlé des voitures ? Ont-ils eu maille à partir avec des passants ? Ont-ils bastonné les forces de l’ordre ? Bref, ont-ils mis la belle ville d’Annecy à feu et à sang comme le font, assez régulièrement, dans d’autres villes ou « Zones à défendre », les Blacks-Blocs ou les « Zadistes » d’extrême gauche ? Ont-ils la moindre responsabilité dans les attentats meurtriers qui ensanglantent la France depuis 20 ans et plus ? Font-ils régner leur loi dans des banlieues où les flics ne peuvent plus entrer ? Alimentent-ils les trafics de poudre blanche que les « bobos » sniffent lors de leurs « chemsex » ? Ont-ils appelé à un coup d’État visant à abattre le pouvoir comme le fait, sans arrêt, le patron des « Insoumis » ? Ont-ils menacé de guillotiner Emmanuel Macron ?
Non, ils ont défilé, avec des drapeaux à croix celtique, en chantant « Les Lanquenets » et en scandant « À bas la République ! ». Il n’en fallait pas plus pour les cataloguer dans le camp des « néo-nazis » puisque « les Lansquenets » est la version francisée d’une marche de la Wehrmacht et que, pour les ignares, la croix celtique est une « svastika » déguisée. La Bête immonde était de retour !
Pour ma part, j’ignore tout de l’idéologie – s’il y en a une ? – qui anime ces jeunes et, à vrai dire, je m’en fous ! À mon humble avis, ce genre de manifestation nuit à la cause qu’ils veulent défendre, mais il ne faut pas en faire tout un plat car la patrie n’est pas en danger, ou plutôt si, elle l’est, mais ce n’est absolument pas de leur fait.
Qu’on me comprenne bien (et surtout qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit).
Je ne nie pas qu’il existe chez nous quelques nostalgiques du IIIe Reich (après tout il y a encore en France des staliniens et des maoïstes), mais ils sont groupusculaires et leur influence sur la vie politique du pays est insignifiante, voire nulle. Je rappelle une fois de plus que le nazisme est mort à Nuremberg en 1945-46 et que le procès de Nuremberg du communisme, et ses 150 millions de morts dans le monde, n’a toujours pas été ouvert et ne le sera sans doute jamais.
« Les Lansquenets » est un chant que j’ai souvent chanté, au même titre que « Les Dragons de Noailles », « Eugénie », « Être et durer », « Le diable marche avec nous » (et « Fanchon » les soirs de beuverie), etc. avec mes camarades parachutistes ou légionnaires. Il fait partie de nos chants de tradition et ceux, dont je suis, qui le chantent ne sont pas pour autant des fascistes ou des nazis.
Quant à la croix celtique, soi-disant dérivée de la « svastika », elle est apparue, sauf erreur avec les défenseurs de l’Algérie française au sein du mouvement « Jeune Nation ». Pierre Sidos, son fondateur, trouvait que le cercle symbolisait le soleil païen et la croix, le christianisme. C’était (déjà !) une tentative d’amalgamer la droite catholique et la droite athée, l’union des droites avant l’heure.
Ensuite, la croix celtique a été l’emblème de « l’Œuvre française » (dont le même Pierre Sidos était le « présideur »), du mouvement « Occident », d’« Ordre Nouveau », du GUD et j’en oublie sans doute ? J’ai moi-même porté une croix celtique, en pin’s, à ma boutonnière. En fonction de mon humeur du moment, elle remplaçait le pin’s de mon brevet parachutiste, du FN, ou la fleur de lys que je porte chaque année durant toute la semaine qui précède le 21 janvier, anniversaire de la mort du roi Louis XVI. Ceci fait-il de moi un fasciste ? Je rappelle, au passage, que le mouvement « Occident » a été le creuset de formation politique de Gérard Longuet, Alain Madelin, Patrick Devedjian et Claude Goasguen, pour ne citer que les plus connus. À cette époque, ces messieurs ne portaient pas encore le costard-cravate des notables ; leur tenue, c’était le blouson épais, le casque de moto et le manche de pioche pour casser du gauchiste. Plus tard, devenus députés, sénateurs ou ministres, ils n’ont pas cessé de dénoncer l’extrême droite et Jean-Marie Le Pen. Je m’étonne que les journalistes, toujours prompts à débusquer les fascistes, n’aient jamais raconté ce meeting où Roger Holeindre chassa à grands coups de gifles ces salopards parce qu’ils chantaient, sur l’air de « L’eau vive » de Guy Béart : « Ma petite est à Dachau/ Elle est dans la chaux vive… » ce qui est d’un humour plus que douteux.
Mais ce qui indigne également la presse, dans l’affaire d’Annecy, c’est qu’on puisse scander « À bas la République ! ». Eh bien, tant pis si ça choque ces donneurs de leçons professionnels mais il m’arrive aussi de crier : « Mort à la gueuse et vive le roi ! » car ma liberté de choix, de conscience, d’expression, m’autorise à être très tièdement républicain et très modérément démocrate.
Idéologiquement, je suis pour « le Trône et l’Autel » même si je sais que c’est assez irréaliste, et je ne supporte pas qu’on me serine, pour clore tout débat d’idées, la citation qu’on attribue à Churchill « La démocratie est un bien mauvais système mais je n’en connais pas de meilleur. »
Chez nous, la « Ripoux-blique » est complètement dévoyée, quant à la « Démo-crassie », elle a permis à deux reprises de faire élire Emmanuel Macron, elle est donc, elle aussi, bien malade.
Maurice Schumann, l’un des pères fondateurs de l’Europe, a écrit : « Quiconque rêve d’une liberté sans limite et sans frein porte en soi le germe du fascisme, même s’il crie son antifascisme à tue-tête ». Si sa citation avait une once de véracité, nul doute que l’anar de droite que je suis serait résolument fasciste. En effet, depuis toujours, j’ai cherché à être un homme libre. Mais je prône une liberté civilisée, qui s’arrête où commence celle de mon voisin, une liberté encadrée par le décalogue chrétien (qui, rappelons-le, a servi de trame au Code Napoléon).
Je suis adepte de « Fays ce que vouldras » – la devise de l’« Abbaye de Thélème » de François Rabelais – ce qui revient à dire que des gens éduqués selon les mêmes valeurs morales et les mêmes principes n’ont pas besoin de lois pour régenter leur vie quotidienne, mais encore faut-il avoir des valeurs qui ne se limitent pas à une jouissance totalement dépravée, à la permissivité sans limite, à l’interdiction d’interdire, au fric roi et à un égoïsme ou un égocentrisme narcissique !
Dans mon esprit, l’homme de droite a davantage de devoirs que de droits : celui de défendre « la veuve et l’orphelin », de travailler pour nourrir sa famille, d’éduquer ses enfants, etc.
L’État n’est là, au-dessus du citoyen, que pour exercer ses fonctions régaliennes : la défense nationale, l’éducation, la justice, la santé publique.
Ma vision des choses n’a donc rien à voir avec le fascisme italien ou le nazisme allemand qui sont, de manière évidente et incontestable, deux phénomènes de gauche : le fascisme est un avatar du socialisme. Sa déviance nationale-socialiste est un mouvement prolétarien fondé sur une toute puissance de l’État bureaucratique ; le pouvoir absolu des apparatchiks du parti unique.
C’est donc, fondamentalement, intrinsèquement, une notion de gauche !
« Ma » droite, elle, se rattache philosophiquement à l’ordre naturel, au message chrétien, même si elle englobe aussi des agnostiques et des athées. Ces derniers ayant compris (et admis) ce que nous devons à la monarchie et à nos racines chrétiennes.
Depuis des décennies, la droite nationale se fait traiter de « fasciste » par des ignares qui n’ont jamais lu « La doctrine du fascisme » (1) ou « L’État corporatif » (2) de Mussolini, et qui ne font pas la différence entre le national-socialisme allemand, le fascisme italien, le national-syndicalisme de Primo de Rivera en Espagne (3) ou « L’estado novo » de Salazar au Portugal. En France, être de droite c’est forcément être fasciste ! Il est bien regrettable que les Français connaissent si mal leur histoire, sinon ils sauraient qu’il n’a existé que deux partis fascistes – groupusculaires et éphémères – en France, et qu’un seul d’entre eux a bénéficié du soutien de l’Italie fasciste de Mussolini.
Le premier, chronologiquement, est « Le Faisceau » de Gorges Valois.
Étrange personnalité que ce Valois ! Homme d’extrême gauche, il milite d’abord dans divers mouvements anarchistes et collabore au journal « L’Humanité nouvelle ». Il devient le disciple de Sorel, théoricien du syndicalisme révolutionnaire, puis il découvre la monarchie et le catholicisme, et adhère, à l’été 1906, à « l’Action Française » de Charles Maurras dans laquelle il voit une arme révolutionnaire contre le capitalisme. Il y restera presque 20 ans.
En 1925 avec les capitaux de deux industriels milliardaires, le parfumeur Francois Coty et le producteur de cognac Jean Hennessy, Georges Valois fonde un nouveau mouvement, « Le Faisceau », premier parti fasciste non italien, et un journal, « Le nouveau siècle ».
Malgré l’adhésion de diverses personnalités de gauche, et de Marcel Bucard (issu lui aussi de « l’Action Française », et futur fondateur du « Francisme »), « Le Faisceau » se saborde en 1928, faute d’adhérents et après des dissensions internes. Valois crée alors le « Parti Républicain Syndicaliste ». En 1935, il demande à adhérer à la SFIO ; malgré le parrainage de Marceau Pivert, l’adhésion lui est refusée. Au début de la guerre, il s’engage dans la Résistance. Arrêté par la Gestapo, le 18 mai 1944, aux Ardillats, il meurt au camp de Bergen-Belsen, en février 1945. Un fasciste qui fait de la Résistance et meurt en déportation, avouez que ça fait désordre dans le camp des bien-pensants.
Parlons à présent du second parti fasciste, celui créé par Marcel Bucard : « Le Francisme » ou « Mouvement Franciste ». Bucard est né en 1895 à Saint-Clair-sur-Epte. Après des études dans un collège catholique, à Versailles, il entre au petit séminaire et est sur le point d’être ordonné prêtre quand éclate la Grande Guerre. Engagé volontaire, il se distingue par son courage exceptionnel : en 1914, à 19 ans, il est caporal. Il finit la guerre en 1918, avec la grade de capitaine.
Il est blessé trois fois et titulaire de la Légion d’honneur, de la médaille militaire et de la croix de guerre avec dix citations. Comme la plupart des combattants de cette grande boucherie, il restera marqué à vie. Son traumatisme est aggravé par la perte de son meilleur ami, l’abbé Léandre Marcq, tué à 24 ans, le 16 avril 1917, au cours de la désastreuse offensive Nivelle.
Après la guerre et après avoir milité à la Fédération Nationale Catholique (FNC), il décide de prendre part à l’agitation menée par les mouvements d’anciens combattants.
En 1925, il adhère, parmi les premiers, au « Faisceau » de Georges Valois. Il a en charge la propagande. Mais, en 1927, Valois, dans « Le Fascisme », traite Benito Mussolini de « réactionnaire », Bucard le désapprouve et se tourne vers François Coty et son journal « L’Ami du peuple ».
Le 29 septembre 1933, Bucard fonde le « Mouvement Franciste », mouvement s’inspirant du fascisme italien mêlé à du spiritualisme. Il participe aux émeutes du 6 février 1934.
En 1941, Bucard se range du côté de la Collaboration et reforme son mouvement, sous le nom de « Parti franciste ». Il est un des fondateurs de la « Légion des volontaires français contre le bolchevisme » (LVF).
Mais, très vite, il interdit à ses militants d’y entrer quand il apprend que l’uniforme est celui de la Wehrmacht. En fait, il ne tient sous l’Occupation qu’un rôle d’arrière-plan, souffrant de ses anciennes blessures de guerre. Il est opéré à deux reprises des séquelles de ses blessures.
Le 12 août 1944, devant l’avancée des Alliés, Bucard a juste le temps de fuir en Allemagne.
Alors qu’il cherche à gagner l’Espagne, il est arrêté à Merano en juin 1945, extradé en France et jugé par la Cour de justice de la Seine. Au terme d’un procès-éclair de trois jours, il est condamné à mort le 21 février 1946 et fusillé le 19 mars, dans les fossés du fort de Châtillon.
Voilà l’histoire, certes très brièvement résumée, du fascisme français : deux partis qui auront duré à peine quelques années, animés pour l’un, par un militant de gauche mort en déportation, et pour l’autre par un combattant héroïque de la Grande Guerre qui s’est trompé de camp en misant sur les perdants, lors de la suivante. Je n’oublie pas que, pour les bien-pensants, le colonel de La Rocque était aussi un fasciste, or catholique, il récusait totalement l’idéologie fasciste. Dès 1940, il appelait à la résistance. Arrêté par la Gestapo, le 9 mars 1943, il est déporté le 31 août 1943 au camp de Flossenbürg. Il décède le 28 avril 1946, des suites de ses mois de détention.
Il m’est arrivé, à moult reprises, de dire mon respect pour la foi chrétienne et la rectitude morale de Salazar. Il m’est arrivé aussi de reconnaître les qualités guerrières du général Franco et le fait qu’il aura sauvé le catholicisme en Espagne. J’assume totalement mes prises de positions, et je dispense les salopards qui étaient staliniens sous Staline (ou maoïstes sous Mao-Zédong) ; ceux qui ont applaudi la « libération » du Cambodge par Pol Pot, qui idéalisent Che Guevara, ou Fidel Castro, de me traiter de facho. Et puis non, finalement, je m’en moque, je m’en bats l’œil, je m’en tamponne le coquillard, bref, je m’en fous : être insulté par des ordures, c’est presque un compliment, non ?
J’ai le droit, après tout, de préférer la croix celtique au cloaque infâme, à la fosse septique « nauséabonde » (pour reprendre leur vocable quand ils parlent de nous) qu’est devenu MON pays au fil des années, par LEUR faute.
Eric de Verdelhan
1) « La doctrine du fascisme » est un essai que l’on attribue à Benito Mussolini. En réalité, la première partie de l’essai, intitulée « Idee fondamentali » a été écrite par le philosophe Giovanni Gentile. Seule la seconde partie « Dottrina politica e sociale » est de Mussolini lui-même.
2) « L’État corporatif » de Benito Mussolini ; réédition Trident ; 1987.
3)- Dont le franquisme est plus ou moins l’héritier, mais ceci est à nuancer.
Si vous n’aimez pas la république et la démocratie et préférez la tyrannie royaliste et religieuse, on ne vous retient pas. Le parachutisme est décidément plus dangereux que je ne l’aurais cru. “MON” pays avec une majuscule, je ne savais pas que vous en étiez propriétaire ou alors vous êtes atteint de mégalomanie.
@Chti français : vous êtes libre d’avoir une opinion républicaine et démocratique , c’est la moindre des prérogatives dans le Droit Romain qui régit la civilisation européenne depuis toujours et dans la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen inventée , rédigée et promulguée par des Gaulois et non par des marabouts ou des Kabbalistes maghrébins .. . MAIS accordez-nous ces quelques vérités inexorables : la démocratie est née à Athènes en Grèce chez les Aryens et pas à la Mecque ou à Jérusalem , dans les tribus du désert , ainsi que la République ; née à Rome et non en Arabie ou au Sinai … Accordez-nous aussi que les vrais propriétaires de la France sont les ancêtres d’Eric de Verdelhan et de Dominique Venner et non ceux de Jamel Debouzze et de Ruth el Krief
Octave, sur ce point 100% d’accord avec vous! Bonne soirée.
Ah oui, les ” heures les plus sombres….”, ça marche bien ce truc là, c’est très vendeur. Ce que nous font vivre Macron et sa clique, avec l aide de ses pseudos opposants….pas si opposés finalement, ce ne sont pas des heures som res, non ! C est une embellie politico-ideologique , un ciel radieux, sans nuages, une Renaissance (sic)….🤣🤣🤣🤣🤣🤠🤠🤠🤠🤠☻️☻️☻️☻️toutes les croix, sauf la croix gammée, sont les bienvenues en fait.
c’est fou la hausse du nombre des fachistes en france
CROIX CELTIQUE : dans le cinéma de la Hammer , à la fin du film , les gens du village ont toujours eu raison de DRACULA …Pour anéantir le Vampire et se débarrasser de sa présence parmi eux ,ils doivent d’abord vaincre leur peur …Souvent , c’est le Curé ou le Héros jeune et beau comme un militant FN , qui avancent sur lui face à face . ils regardent dans les yeux le monstre gavé de sang et brandissent sur sa gueule maléfique la Croix , symbole aryen de la communauté paysanne et sainte , menacée par cet être étrange aux habits noirs et aux dents acérés; qui les fascine et les abuse et qui veut vivre de leur sang … Je me souviens aussi que le laquais , pâle , sale , pouilleux ,bossu et hirsute qui le servait le jour et ouvrait les portes aux victimes pour attiser sa voracité nocturne ; il disparait lui aussi de la scène finale , dans quelque brume du Château ou dans sa fosse septique …
…Elles ont autrement… (désolé pour toutes mes fautes de “frappe” !)
Les croix celtiques qu’on trouve partout en Irlande sont magnifiques, et émouvantes…
Elles autrement plus de gueule que les faucilles, les marteaux ou les poings levés de la gauchiasserie !
Entièrement de votre avis 😉
EXACT !!!
C’est vrai Lee and Colbert. Tout comme les calvaires bretons….