Suis-je fait différemment, suis-je un monstre ?
À l’exception de quelques authentiques racistes, se nourrissant d’une haine prospérant comme un lierre sur leur humanité étouffée, suis-je donc le seul à ne pas comprendre ?
Pour les pleureuses professionnelles, les plaintes de hyènes sont choses courantes, du côté des socialos gnangnan les larmes de crocodile sourdent aisément, les gauchistes ravageurs restent abrutis, bornés, mauvais, soit ; dans la déliquescence des temps, chacune des forces dites progressistes joue son rôle dans l’holocauste de la pensée libre.
Parmi les autres, les politicards politicaillent, les commis de presse se gargarisent de bons sentiments à la sauce « touche pas à ma place » ; là encore rien de nouveau dans la grande mascarade suicidaire.
Mais personne pour relever la tête ? L’assassinat de notre nation, de son impertinence, de sa propension à fouiller l’âme, est-il si avancé ? Unanimité douteuse ; on y sent du frelaté, de l’armoire close sur des choses jaunies, presque une odeur d’animal crevé.
Je vais donc l’écrire : je ne vois rien dans l’image honnie du jour qui soit matière indigne ; a-t-on voulu signifier que madame Obono devait être mise en servitude, que les chaînes étaient son destin ou, peut- être, je ne sais, qu’elle était déjà asservie mentalement par le poids d’une idéologie sans ouverture ? N’y a-t-il pas des milliers d’images d’esclaves entravés – pas tous noirs, et pas tous aux mains d’Occidentaux – la plupart de ces images ne servent-elles pas, dans nos lieux de mémoire, dans nos livres, d’illustration de faits passés – pas partout – que chacun aujourd’hui réprouve avec un haut-le-cœur ?
Du haut de sa médiocrité habituelle, la donzelle a mal à « sa » République, à « sa » France ; qu’elle se rassure, on s’en moque, ce n’est pas la nôtre, de France ; et si elle avait une once de culture, elle saurait qu’il y a 150 ans, lorsqu’il s’agissait de mettre en place notre République, ou durant les 40 ans de combats qui suivirent pour en assurer la pérennité, ses émois et ses déclarations de pleurnicheuse patentée auraient déclenché un grand rire ; la violence politique, tant verbale que picturale de l’époque, était d’une autre aune, les idées s’entrechoquaient brutalement, le débat pour finir avait un tout autre niveau… le personnel politique aussi, et de fait, sous la Troisième, le plus anonyme des députés pourfendant ou défendant la Gueuze avait une envergure dont l’ombre noire noie madame Obono dans son néant.
“Cette image est une insulte à mes ancêtres, à ma famille, à mon groupe parlementaire, mon mouvement […] mais c’est aussi une insulte, je crois, à la République.” Notons l’ordre, la République ne vient qu’en dernier et comme par obligation conjoncturelle ; bref, ce n’est guère important, ce qui compte en premier ce sont les ancêtres et la famille, c’est-à-dire la tribu, puis le groupe et le mouvement, soit l’appartenance idéologique ; terribles aveux, enfermements contraires à l’universalisme républicain, dont on aurait espéré qu’il soit, ainsi que les principes qu’il porte, au cœur du discours.
La “malheureuse” Obono au Zénith, au concert de l’islamiste Medine, autour des organisateurs de la marche contre l’islamophobie, Taha Bouhafs et Majid Messaouedenne.
Qu’est-ce que vous croyez, Madame, que Jean-Baptiste Belley, Blaise Diagne n’ont jamais existé, ni Kofi Yamgnane, ni 50 autres ? Et je n’évoque que les députés « africains » ; ignorez-vous que la France a été le premier pays occidental à ouvrir son administration et son armée aux « gens de couleur » comme l’on disait alors ? En 1957 il y avait 4 Noirs au gouvernement de la République ; en jouant sans cesse avec un racisme fantasmé, au tropisme américain, vous desservez le pays qui vous accueille et que vous représentez si mal, vous desservez aussi les Africains et même la gauche véritable, votre détestation de Senghor et de sa négritude vous masque votre propre réalité. L’Histoire a emporté le monde colonial – dont vous ignorez beaucoup – dans son souffle, vous le rejetez de votre mémoire, alors je vous pose la question : « que faites-vous en France ? » Votre pays véritable, le Gabon, a besoin de vous.
Gérard Couvert
LFI veut réécrire une histoire qui convient à son idéologie marxiste anti-France et en conséquence l’exposé de la réalité par VA ne convient pas à ces résidus de fond de capote
Le gars qui est allé sur Wikipedia pour briller en société…
“(…) bien avant l’irruption des trafiquants arabes, l’esclavage était déjà un élément structurel des sociétés africaines, du moins dans les régions de savanes et de pâturages situées au nord de l’Équateur, terres d’élection des premiers royaumes africains” Lien (cliquez entre les guillemets) ” https://www.herodote.net/L_esclavage_en_Afrique-synthese-13.php “
C’est juste pour montrer que l’esclavage existait déjà en Afrique, entre Africains, même bien avant les premières conquêtes.
Et la seule traite d’esclaves qui a toujours été cachée par la propagande, c’est celle faite envers des millions d’Européens envoyés en Afrique du Nord, suite à l’invasion arabo-musulmane des Ottomans en Afrique du Nord et dans une partie de l’Europe.
Oui, c’est une insulte pour une descendante de négrier Africain que d’être confondue à la marchandise que l’on a vendu.
elle aurait du dire……merci buana,d’avoir ete delivree par un pere Blanc
Vraiment pas de quoi se foutre à plat ventre DEVANT CETTE NÉGRESSE RACISTE.
Le cocaïnomane macron ns fait honte.
Bien d’accord avec vous Gérard Couvert.
A lire ces précisions, je suis de plus en plus certain que les propos de VA relèvent de la diffamation: en effet l’ insoumise Obono ne descend pas d’ esclaves et sa famille et/ou sa tribu devaient participer activement à la capture d’ africains afin de les revendre aux importateurs arabo-mahométans. Les Obono étaient donc très certainementsdes négriers et non des nègres.Il convient donc de ne pas les diffamer en les disant esclaves… idem pour leur descendante.
Oui, Obono est issue d’une famille bourgeoise du Gabon même si on ne sait pas si elle est issue plus particulièrement d’esclavagistes africains, ce qui serait probablement le cas, bien plus qu’issue d’esclaves, sa famille a dû et doit sûrement acheter et utiliser des esclaves ne serait-ce que pour la servir, faire des travaux. Au Gabon comme ailleurs en Afrique, l’esclavage existe toujours, ce sont des Africains qui vendent d’autres Africains venant de pays étrangers. Au Gabon, il y a des Africains esclaves qui viennent d’Afrique de l’Ouest et qui sont revendus à des Gabonais et il est évident que les familles bourgeoises doivent avoir un ou des esclaves. Le Gabon est à la fois un pays de destination et de transit pour les esclaves actuellement.
Sibeth Ndiaye est issue de la haute bourgeoisie sénégalaise, sa famille à elle aussi doit utiliser des esclaves. Au Sénagal, il y a aussi de l’esclavage. Il ne s’est jamais arrêté en Afrique, il existe toujours et ce sont des Africains qui sont esclavagistes. Bien entendu, tout cela a toujours été caché car la propagande et comme souvent, les gens n’essaient pas de s’instruire.Tout comme les Français ne savent pas, car ça a été toujours soigneusement caché par la propagande, que suite à la conquête ottomane de l’Afrique du nord et d’une partie de l’Europe, des millions d’Européens dont des Français avaient été réduits en esclavage et avaient été envoyés en Afrique du Nord. L’esclavage de millions d’Européens dans l’histoire a été le seul caché pour manipuler en culpabilisant les Blancs.
J’ai fait une erreur sur mon premier message que je corrige car je viens de voir la définition d’esclavagiste, et l’esclavagiste, c’est juste le partisan de l’esclavagisme, j’ai toujours cru que c’était celui qui vendait des esclaves. Alors je corrige mon premier commentaire donc sa famille est forcément esclavagiste.
Alors que VA, en ayant donné le rôle d’esclave à Obono alors qu’elle fait son commerce de la victimisation des envahisseurs (et elle doit sa place politique car elle sert les mondialistes au pouvoir qui ont organisé le grand remplacement de la France), il lui a donné sur un plateau le rôle qu’elle aurait préféré avoir plutôt que celui d’esclavagistes, ce qu’elle est issue en réalité.
Si vous aviez bien lu, vous auriez compris. J’aime la précision dans les mots. Esclavagiste, la définition, c’est un partisan de l’esclavage. Et un négrier, c’est un marchand d’esclaves. Un négrier est toujours un partisan de l’esclavage, mais un partisan de l’esclavage n’est pas toujours négrier. C’est là leur seule différence.
Un partisan de l’esclavage, c’est une personne qui est pour l’esclavagisme, qui l’approuve pour des raisons culturelles ou /et religieuses. Des sociétés qui normalisent l’esclavage, où l’esclavage est une norme culturelle, où les très pauvres peuvent être achetés comme esclaves via des négriers par ceux qui sont un peu plus aisés, ce sont des sociétés où il y a un trafic d’esclaves, où l’esclavagisme est la norme, ce sont par définition des sociétés esclavagistes.
Tiens c’est curieux , moi j’ai parfaitement compris le Pseudo 1 écrit dans un très bon français.dont la compréhension est restée hors de portée pour toi, vu ton très très bas niveau de quotient intellectuel comme tu l’as reconnu implicitement.
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J’espère que je n’ai pas employé des mots trop compliqués pour ta petite cervelle afin que tu puisses me capter nickel .;
Je ne sais pas pourquoi mais j’avais toujours confondu négrier et esclavagiste alors que le négrier, c’est celui qui vend les esclaves, et l’esclavagiste, c’est le partisan de l’esclavage.
La différence entre les deux, c’est qu’un partisan de l’esclavage n’est pas toujours négrier alors qu’un négrier est toujours partisan de l’esclavage.
Obono est forcément issue d’une famille d’esclavagistes (dans le sens, pour l’esclavage, qui a des esclaves pour la servir, faire des travaux, car dans son pays, dans sa culture, l’esclavage est normal et comme elle est issue d’une famille bourgeoise…), mais issue d’une famille de négriers, on ne sait pas, même si ce serait possible.
A savoir par ailleurs que le Gabon est le deuxième pays le plus riche d’Afrique.
Si en Afrique l’esclavage existe toujours, c’est que c’est une norme culturelle là-bas donc les Africains un peu plus aisés, souvent vivant en ville, achètent des esclaves africains venant souvent d’autres pays (pour faire le ménage, comme esclave sexuelle… etc) à des négriers qui les achètent eux-mêmes à des familles d’Africains très pauvres (elles ont l’habitude de vendre leurs enfants), et intellectuellement, on imagine aussi qu’elles doivent être faciles à manipuler, et comme c’est une norme là-bas, c’est facile pour des familles très pauvres de vendre leurs enfants donc pour les négriers de trouver des esclaves.
Et il n’y a pas qu’en Afrique qu’on voit ça, mais aussi en Inde.
Et la propagande cache ça.
Moi aussi je suis un monstre car je me suis dit : enfin on parle de la traite négrière par les noirs !!!! Cet article est excellent !
Mais ouille ça fait mal quand on en parle pas bien et badaboum même le RN se couche pathétique !!!!
OBONO-BONO: LES BONO-BONO SONT DES SINGES CONNUS POUR LEUR APPETIT SEXUEL.