Jean-Claude Martinez, professeur agrégé de droit public et de sciences politiques, vingt-deux ans député national et européen, dénonce, avec la vigueur qui le caractérise, l’imposture de «l’interruption volontaire de vieillesse». Selon lui, ce n’est pas un hasard si cette loi sur l’euthanasie advient en même temps que la réforme sur les retraites… Tout cela procède du même système de gestion ignoble du 4e âge par les finances publiques, qui préfèrent payer un milliard d’AME par an pour les clandestins plutôt que de soigner des vieux inutiles et affaiblis…
« Ses tenants ont beau la magnifier comme le bouquet final d’un feu d’artifice des mille libertés, l’euthanasie n’est que le produit d’une économie et d’une politique. C’est parce que l’Europe de toutes les restrictions est devenue un océan de récession du fond duquel ne monte plus aucune espérance nouvelle, que les dirigeants, dont ceux de la France, financièrement acculés, choisissent en effet « la piqûre pour tous ». Comme une seringue d’or facilitant leur quête d’équilibres budgétaires, dans un bouillon d’inculture qui sent le ranci des vieilles idéologies, du malthusianisme au nouvel obscurantisme. Quand ce n’est pas le dernier racisme pratiqué : l’anti-vieux !
Mais les idiots utiles de droite se préparent à vendre la seringue pour se faire piquer, pendant que ceux de gauche travaillent déjà à se la faire rembourser, sans jamais comprendre que le mal de celui qui veut mourir vient de plus loin que la maladie qu’il affronte. Car s’il parle de mourir, tant sa souffrance est grande, c’est parce qu’il n’a personne pour la partager et lui donner des raisons d’espérer.
La loi sur l’euthanasie, loin d’être l’extase de la République, dans la fraternité compassionnelle des injections, n’est alors que la fuite en avant d’une société qui, ne voulant pas voir les détresses qu’elle crée, préfère éliminer tous ceux qui viennent les lui rappeler. En racontant en plus au passage que c’est au nom de leur liberté qu’on les fait piquer.
Ce cynisme et cette hypocrisie des « conventions pharisiennes » qui l’ont habillée, ce livre les débride, en disant les raisons de la colère à voir une loi nous faire mourir avec une longueur d’avance, au moment même où se déploie le génie de notre espèce sapiens.»
Jean-Claude Martinez nous invite à ne pas être complices de ces assassinats d’État, déguisés en euthanasies volontaires… et à «mener le combat au cœur de l’empire du mal».
Daphné Rigobert
Interview de Jean-Claude Martinez sur TV Libertés
L’euthanasie a déjà commencé avec les vaccins.
On a prévu quelque chose pour BriBri ?
le suicide français (devenu suicide des occidentaux) par leurs zélites n’est pas assez rapide à leurs yeux
Un aspect du nouvel ordre mondial qui consiste à rationaliser la mort des gens devenus encombrants financièrement et jugés inutiles (Théories évoquées par C.Lagarde et J.Attali). Dans le même package, on cherche à résoudre la démographie exponentielle de la planète en incitant les populations au transgenre depuis l’école primaire et à toutes les déclinaisons sexuelles LGBTQI pour juguler subrepticement la population mondiale. S’y ajoute l’organisation d’une confrontation inter-ethnique et religieuse pour mieux éliminer celui qui résiste. En dernier lieu provoquer des guerres pour dépeupler les pays qui rivalisent avec les grandes puissances comme l’Ukraine par exemple. Pour intensifier tout cela on accorde plus de droits aux minorités qu’à la majorité malgré son hostilité. Je vous accorde que je donne libre cours à une réflexion strictement personnelle mais qu’en est-il vraiment de la réalité?
Oui, mais ces mesures ne marchent qu’en Occident.
Ailleurs ngolo ngolo est très productif.
Adieu les Blancs.
Réflexion personnelle sans doute mais qui n’en est pas moins pertinente, je pense que nous sommes quelques-uns à partager votre point de vue. La simple observation de la société dans laquelle nous vivons et l’écoute attentive et critique de ce qu’on nous dit, ou plutôt, de ce qu’on veut bien nous dire des évènements passés ou en cours, sont de nature à éveiller les soupçons de toute personne sensée quant à ce qui nous attend à terme quoi qu’il arrive.