Jean-Marie Le Pen : un homme exceptionnel, le contraire d’un facho

Jean-Marie Le Pen fils de la Nation  Mémoires aux éditions Muller : un goût débordant pour la vie, une intégrité naturelle et un amour irrépressible pour la France.

C’est fou à quel point on se fait parfois une idée totalement fausse de certaines personnalités. La responsabilité en revient bien sûr aux médias qui sont, en ce domaine, d’une malhonnêteté renversante. Ah ! Elle est belle la démocratie, ce système qui devrait se différencier par la seule probité censée être sa valeur fondamentale ! C’est en lisant le premier tome des Mémoires de Jean-Marie Le Pen, publiés aux Éditions Muller, qu’on se rend compte de ce qu’il faut bien appeler un complot de velours reposant sur un consensus de malversation des deux pouvoirs qui se sont succédé depuis plus de 50 ans et qui ont laissé jusqu’à aujourd’hui leur trace malveillante à travers la bien-pensance.

Car en lisant la vie de Jean-Marie Le Pen depuis sa tendre enfance, on constate que l’homme est justement un homme, à savoir, dit sans forfanterie, l’idéal défini par Montaigne : avec un cœur, une vraie sensibilité, une intelligence vive et pragmatique, une ouverture aux autres. Et surtout, qu’on ne dise pas qu’il est raciste, comme les esprits faux se complaisent à le dire. Voilà ce qu’il écrit lorsqu’il quitte l’Indochine (page 202) parlant des autochtones : “… ces gens minces et gracieux ne me répugnaient jamais… Avec les paysans, les rapports étaient naturels, ils ressemblaient aux paysans français, mêmes structures mentales et affectives… Je me sentais leur grand frère. En partant, j’ai laissé un morceau de mon cœur sur place”. Lors de l’affaire de Suez en 1956 à laquelle il participe, il se charge d’enterrer les cadavres égyptiens : “… Breton et catholique, j’ai le respect des morts. Je sais qu’un musulman doit être enterré la tête vers La Mecque, je les oriente comme il faut… Quelques gars sèment le souk dans ces cabanes de pêcheurs. En voyant les filets sécher au soleil comme chez moi à La Trinité, j’interviens pour arrêter un début de saccage imbécile…” (page 235).

Bien sûr, Jean-Marie Le Pen est fou-fou et comme nous Français, nous le sommes tous un peu, cela nous le rend sympathique. À “la Confrérie des boit-sans-soif : j’étais le champion du cul sec… j’étais fort en  gueule…” (page 158). Un peu plus loin, il écrit : “À seize ans, j’ai failli prendre ma carte du parti que me proposait un copain boulanger… j’ai même vendu une fois l’Action française… c’était agréablement provocateur” (page 167). Bien sûr, il est aussi casse-cou. J’en vois la cause dans ses origines bretonnes, j’allais dire chouannes – les gens du granit ne se laissent pas manipuler facilement – mais aussi dans son ascendance de marin. La mer vous fait souvent aventurier, vous endurcit avec ses tempêtes impitoyables mais vous fait aimer la prise de risques. Or, petit, Jean-Marie a été marin, avec son grand-père et son père. Alors, par l’appel irrésistible du grand large, il est devenu un baroudeur. Il devient parachutiste dans la Légion, participe à la fin de la guerre d’Indochine, saute sur Port-Saïd lors de l’affaire de Suez et s’engage dans la guerre d’Algérie. Il s’engage évidement aussi dans l’action politique avec Pierre Poujade puis, plus tard, avec Tixier-Vignancour. Il sortira de ces deux aventures déçu. Ce qui le conduira à créer le Front National, se sachant désormais mûr pour la direction d’un mouvement politique capable de sauver la France. Enfin, pour vivre, Jean-Marie Le Pen ne sera pas un parasite de l’État ou le salarié secondaire d’une entreprise, aussi prestigieuse soit-elle, il créera sa propre entreprise pour faire vivre les siens et lui-même, la SERP (société d’études et de relations publiques).

Naturellement, avec cet appétit dévorant pour la vie, il aime les femmes : “… sous leur blouse blanche, les infirmières laissaient libre cours à mon imagination” (page 195). Dans ce domaine, il ne se contente pas de rêveries érotiques : il a beaucoup consommé. Il aime aussi beaucoup chanter et regrette que les gens ne chantent plus : ” Le chant est aussi naturel à l’homme qu’à l’oiseau… Le peuple a perdu sa voix” (page 58). La poésie également s’intègre dans son plaisir de vivre : “Quelques livres de poèmes reposent aujourd’hui sur ma table de chevet, j’éprouve à les lire un plaisir qui s’apparente à celui de chanter, j’en sais encore un petit paquet par cœur” (page 75). Naturellement, il aime le sport : “Je me suis toujours intéressé au sport” (page 160). Et la Grèce est pour lui une seconde patrie par mimétisme avec sa Bretagne natale, moins ensoleillée mais avec tant de similitudes. “Par ma mère, je tiens aussi à la terre” (page 355). Enfin, il adore les animaux : “Quand j’étais enfant, les oiseaux étaient si nombreux… La campagne bruissait de leurs chants, de leurs appels, du bruit de leurs ailes… Où sont-ils, Vierge Souveraine, mais où sont les bêtes d’antan ?” (page 367). Jean-Marie théorise une certitude : “L’animal humanise l’enfant, ce sont de bons éducateurs sentimentaux pour les enfants” (page 366). Toute sa vie, il a eu une ribambelle de chats et de chiens. “Tous nos chiens et chats reposent près de nous après leur mort”. Et après, il y aura de mauvais esprits pour dire que Jean-Marie Le Pen est un monstre !

À ceux qui confondent malhonnêtement fascisme et amour de son pays, il faut leur jeter à la face que Jean-Marie Le Pen n’a jamais été un facho. Adolescent, il a cherché à être résistant mais il était bien trop jeune. Son patriotisme n’est pas un patriotisme borné et agressif. Sa sensibilité à fleur de peau l’a conduit à des actions d’altruisme comme lors “des inondations catastrophiques et la rupture des digues “ en Hollande en janvier 1953 où, avec une quarantaine d’amis, il s’active “au renforcement d’une digue très menacée”. Voilà ce qu’il dit avec le recul : “Je suis français, patriote, solidement enraciné dans ma petite patrie la Bretagne, mais je me sens aujourd’hui comme en 1953, profondément européen, solidaire des peuples européens” (page 166).

Jean-Marie Le Pen est “l’homme complet” c’est à dire l’idéal d’homme défini par Rabelais dans Gargantua, car il ne met pas uniquement son corps en action, mais aussi sa tête ! Déjà, il a fait des études de droit et il a obtenu deux DESS. Réfléchir sur le monde puis s’engager dans la course est aussi une ambition hautement désirée et accomplie chez lui. Il a une sainte horreur du “résistancialisme”  cette stratégie nauséabonde” qui a perpétué la guerre civile pour pérenniser ses prébendes et son pouvoir… Pour abattre un adversaire, l’exclure à vie, il suffit encore aujourd’hui de l’assimiler, par un tour de passe-passe adéquat, à Hitler” (page 131). Ou encore : “Le pire legs du résistantialisme fut en effet l’inversion des valeurs morales”. De cette tare découle en toute logique une autre tare pire encore, le communisme : “Les bombes du FLN et celles de Daesh sont les filles de notre Résistance communiste”. Mais, ce que Jean-Marie Le Pen condamne absolument dans le communisme, c’est sa trahison répugnante vis-à-vis de la France, sa collaboration hypocrite avec l’ennemi lui faisant affirmer : “En Indochine, les traîtres communistes eurent du sang français sur les mains” (page 177). Comment ne peut-on pas le comprendre : ” … j’étais venu en Indochine pour défendre la France que j’aimais” (page 197). Il en ira de même bien sûr pour l’Algérie. L’Éducation nationale est également affectée par la tare résistancialiste et communiste : “Le communisme permettait en effet aux médiocres, aux fainéants, aux poivrots de penser que leurs échecs étaient dus non à leurs défauts mais à la société capitaliste” (page 155).

Jean-Marie Le Pen n’hésite pas un seul instant à évoquer la question de la torture pendant la guerre d’Algérie. Dans un premier temps, il attire l’attention sur une réalité que toute personne honnête ne peut rejeter d’un revers de bras : “Le terrorisme contre les civils est plus facile à pratiquer que le combat contre l’armée française” (page 246). En d’autres termes, que faire contre le salaud qui “se barre” après avoir accompli son forfait ? “Il est plus que ridicule, il est pervers, il est profondément immoral, de jeter l’opprobre sur des hommes qui ont le courage d’utiliser sur ordre, pour obtenir le renseignement qui sauvera des civils, des méthodes brutales qui leur pèsent, qui leur coûtent. Ils sauvent des innocents des entreprises de professionnels volontaires de l’assassinat le plus lâche et le plus horrible”. La campagne contre la torture en Algérie fut, d’un point de vue intellectuel, une pitrerie, elle fut surtout un scandale moral” (page 252). Jean-Marie Le Pen aurait pu ajouter que la soi-disant première démocratie au monde la pratiquait il y a encore peu à Guantanamo comme la “Patrie communiste” avec son KGB et sans doute aujourd’hui, avec son FSB. La largesse de son esprit le pousse à des considérations sur le grand remplacement : “Il y a donc eu une volonté de toute la classe politique dominante de limiter la population de souche et d’importer une population de complément, qui devait devenir par la force des choses une population de substitution. Ainsi le grand remplacement a-t-il été voulu et organisé” (page 286) … et sur les femmes : “Il y a aussi dans cette évolution une dévaluation de la femme. Elles se contentent de concurrencer les mâles au lieu d’être ce qu’elles sont” (page 287). Après une telle affirmation, sûr que les féministes vont vouloir lui faire la peau !!!

Et puis arrive la conclusion, elle concerne de Gaulle : “… la laideur morale du personnage et sa nocivité… sont à l’origine de mon aversion pour lui” (page 393). Il lui reproche d’avoir été un fieffé faux-jeton : “Quitter l’Algérie était sans doute inéluctable… Mais il y avait la manière, et la sienne fut horrible. Appelé au pouvoir par les Pieds-noirs pour les sauver, il les livra au bourreau” (page 397). Il le qualifie de “grand séparateur”,  lui qui a toujours cherché au contraire à être “le réconciliateur des Français”… et même avec les Algériens ! Ainsi, quand il évoque “la fraternisation” du 16 mai 1958, il dira : “Aux musulmans, offrons l’entrée et l’intégration dans une France dynamique, dans une France conquérante” (page 280). Il a même un chapitre au titre sans concession : “La trahison du Général”. Je déplore cependant qu’il n’ait pas écrit dans sa quatrième partie, tout un chapitre aux harkis mais les 7 lignes qu’il leur consacre, quelques pages avant d’achever son premier tome, page 397, me font comprendre qu’en fait, ce n’est pas vraiment la France qui a été une vieille saloperie en leur enlevant leurs armes et en permettant aux barbares du FLN d’en massacrer 80 000 !!! mais de Gaulle en personne qui, du haut de sa grandeur exceptionnelle, a pu contempler le désert de sang à ses pieds : “Sa hauteur n’allait pas sans froideur”,  dira encore Jean-Marie Le Pen.

Aujourd’hui, la France n’est plus qu’une vieille bonne femme acariâtre, rapetissée, tremblante et sale. Jean-Marie, avant de nous quitter – car tu as encore du temps devant toi ! – trouve-nous un gars de la mer comme toi, pour la revigorer, la laver ou plutôt… la lessiver. Nous avons besoin de cette jeunesse toujours présente dans tes veines.

Philippe Arnon

image_pdfimage_print

50 Commentaires

  1. Tweet de JMLP suite à l’élection de Jair Bolsonaro

    Jean-Marie Le Pen

    @lepenjm
    Ni les élucubrations ni les imprécations du lobby politico-médiatique n’ont empêché l’élection triomphale de Jair Bolsonaro au Brésil.
    Ni les lamentations ni les malédictions de la bien-pensance ne gêneront son programme de salut public. Allez Jair ! Bon courage et bonne chance.
    https://twitter.com/lepenjm

  2. Un brin antisémite ce qui l’apparente aux Communistes qu’il exècre. En cela il n’aura jamais pu atteindre le pouvoir. Mais le voulait il? Les forts en gueule n’ont pas toujours beaucoup de volonté.

  3. Dommage Jean-Marie que vous soyez si âgé, car vous avez eu raison trop tôt.
    Les personnes qui font maintenant l’effort de vous comprendre votent pour votre fille, mais elle n’a malheureusement pas votre carrure

  4. (Suite) le Système immigrationiste n’en demandait pas tant . Pour ces raisons JMLP aura été finalement l’idiot utile du Systeme qu’il prétendait combattre , il s’est satisfait de ce rôle d’épouvantail commode qu’il suffisait au système d’agiter pour que le troupeau vote “bien”. Son seul souhait était de fanfaronner aux tribunes et devant les caméras pour sa seule satisfaction narcissique .Pour cela il’n’a pas hésité à sacrifier la respectabilité de ses électeurs et des militants (des gens honorables qui s’inquiétaient seulement des conséquences d’une immigration incontrôlée et de la montée de l’islamisme) en les faisant passer pour des néo-nazis , les exposant ainsi au bannissement social, professionnel et parfois familial ; tout ça pour que cet autocrate égocentrique puisse faire son n°

  5. Un grand merci pour cet article magnifique sur Mr Jean Marie Le Pen , Monsieur Arnon .
    J’ai toujours voté pour lui fidèle à mes convictions mais sa fille ne lui arrive pas à la cheville c’est bien dommage …..

    • Et quel est le bilan de l’action politique de JMLP ?
      Avoir ,avec ses outrances et ses provocations stupides délibérément fait fuir des millions d’électeurs de la droite classique , qui pourtant étaient totalementd’accord avec nous et qui partageaient nos inquiétudes au sujet de l’immigration musulmane , et permis , au Système immigrationiste de se maintenir au Pouvoir pendant 30 ans. Un gigantesque gâchis qui était totalement évitable . Au moins, il se sera amusé .

  6. Ancien militant du MNR de Bruno Mégret, et ayant à plusieurs reprises voté pour JMLP (faute de mieux avec beaucoup de réserves notamment concernant ses provocations stupides et odieuses à propos des chambres à gaz et des camps de la mort etc, des sujets qui étaient à des années lumières des problèmes des français ; provocations qu’il lâchait “opportunément” à chaque fois qu’une élection approchait , qu’il a toujours tout fait pour nazifier, par contamination latérale des valeurs respectables comme la defense de la patrie et le souci de l’intégrité identitaire de la Nation et fait passer ses partisans et s es électeurs pour des nostalgiques de Pétain et du 3ème reich , sabotant ainsi volontairement toute possibilité d’accéder aux responsabilités ; le Systeme immigrationiste n’en demandait

  7. Jusque dans les années 90, je détestais cet homme et son parti. Puis un jour, je me suis réveillé, des pompiers de Paris m’ayant exposé dans le détail la situation des banlieues et les graves agressions qu’ils avaient à subir au quotidien…

  8. Superbe épitaphe ! Mais il est encore là !
    Issu de la “Trinité”, que je connais bien, il fut “le Père du FN, le Fils de la Nation et le Sain
    …d’Esprit” visionnaire.
    Amen…

  9. En tout cas ce n’est pas lui qui a fait venir des tonnes de “migrants” cannibales ingénieurs lecteurs de Victor Hugo, les éternels geignards peuvent brailler . L’umps ferait mieux de se regarder.

    • @reuri.
      Évidemment puisqu’il a tout fait pour ne pas arriver au Pouvoir.

  10. homme d’exception certes, mais son antisémitisme d’un autre age, son négationnisme de la choah, nous ont laissé dans la situation d’aujourd’hui où les bobos continuent à gouverner

      • Peut-on m’expliquer la raison des 4 votes négatifs pour ce post totalement neutre .

  11. Un grand défenseur de la langue française, un grand patriote, un grand homme injustement calomnié…

  12. merci, vous éclairez ma journée, les organisations que vous citez sont d’abord bolcheviques avant d’être juives

  13. Il est vrai qu’il gagne à être connu pour constater l’abîme qui sépare la réalité de la fiction présentée par les marxistes et leurs supplétif juppéistes

  14. Il n’a jamais rien fait pour s’affranchir du soupçon d’antisémitisme. Au contraire il a tout fait pour le renforcer. Ce qui a mené à son exclusion du FN.

  15. J.M Lepen, quel que soit son passé, trainera son anti-judaïsme comme un boulet jusqu’après sa mort. Il n’est pas le “bon” politique pour entraîner le Peuple français derrière lui.
    Pour qui n’est pas Juif, ni catho, mais athée et passionnément laïc, et par ailleurs titulaire de la carte d’ancien combattant f’Algérie, il est des faits avec lesquels PERSONNE, ne peut humainement plaisanter.
    La Shoha, cet assassinat du Peuple Juif par un dictateur dément, ce génocide pourtant connu dès fin 42, ne peut inspirer qu’un respect absolu, rien que du respect mémoriel.

    Ami Phillipe Arnon, que je ne connais que par votre livre, oubliez JM Lepen définitivement discrédité depuis les années 60 et son duffour….

    • je connais des juifs adherants et militants du fn et pas anti juifs au fn vous avalez les arguments des concurents malhonetes politiciens pour gagner des hauts postes a hauts salaires mentir et salir est normal Rejoindre la discussion…

      • JP Haraca; Il ne s’agit pas du FN du RN ou d’autres partis, mais de J.M lePen et de lui seul. Et cet homme, provocateur, négationniste, anti démocrate restera pour la petite histoire, un “sale type” qui aura tenté durant 50 ans de faire passer sa paranoïa anti juive à chaque occasion.
        Il n’a rien fait , sauf en déclarations, contre l’invasion migratoire actuelle.
        15 millions de juifs dans le monde contre 1,5 milliard d’islamistes, il a vraiment mal choisi ses vrais ennemis.

        • Sa complicité avec ce clown de Dieudonné le discrédite à tout jamais auprès de ceux qui partagent le combat de Riposte Laïque!

  16. JMLP avait toutes les qualités pour accéder aux
    responsabilités;mais le souhait il? Rien n’est moins sur d’où son rôle de trublion dans lequel il
    s’est maintenu pendant des décennies.

  17. Merci et bravo, M.Philippe Arnon, pour ce remarquable article sur le Menhir !

    • Un menhir qui ne vaut pas mieux qu’ un petit caillou dans les souliers de ceux qui nous ont gouverné!

  18. Il aime les chiens et les chats comme sa fille. Du coup je me sens rassuré. Merci.

    • qui n’aime pas les animaux n’aime pas les gens ! c’est ce que l’on m’a toujours appris depuis mon enfance ! Jean Marie aime les animaux, ça ne m’étonne pas !

        • @Dubreuil
          Il aimait les Allemands Aryens surtout. Et il était végétarien . Mais je crains qu’Hitler ne s’aimait pas beaucoup et n’aimait pas grand monde.

      • Hitler aimait les animaux aussi, sans comparer les deux on peut se demander si aimer les animaux est un gage de bonté…

    • C’est encore plus grave qu’on pensait.
      Les amis des hommes ont bien du mal avec vous, adorateurs de chats.

      Hitler adorait lui aussi les chiens et assassinait les hommes.
      Le monde se partage en deux, les amis des animaux d’un côté, les amis des Hommes de l’autre. Pour les amis des bêtes, on voit les excès des vegans et les procès faits par les protecteurs des animaux à tous les “tortionnaires” de chats et autres moutons… sauf aux méchouiïstes et aux zécologistes implanteurs de loups. Intégristes mais pas téméraires!

      Face à cette dictature des amis des bêtes, un anglais avait justement écrit :” Qui déteste les chats ne peut être foncièrement mauvais”. L’inverse tend à être prouvé par l’expérience .

      • Eh bien moi je préfère les animaux au hommes, et je n’ai rien à voir avec leurs faux défenseurs qui ménagent l’aid el kebir, bien au contraire car c’est le comportement épouvantable des musulmans envers les créatures innocentes qui me répugne le plus dans l’islam.

    • Je précise que je faisais du second degré évidemment… Cet ‘argument’ m’a fait sourire: il aime les animaux, c’est donc un brave mec… Je préfère les personnes qui aiment les humains…

      • Les personnes qui aiment les humains comme les islamiques fouteurs de merde je suppose…. et je suppose aussi que vous vous sentez plus brave…

  19. J’ai pris comme vous un plaisir immense à lire ce livre. Jean-Marie Le Pen aime la France et il aime la langue française surtout, ce qui rend cette biographie si agréable à lire.

  20. Jean-Marie LE PEN en 2005 :”En France du moins, l’Occupation allemande n’a pas été particulièrement inhumaine”. Quelle offense faite aux martyrs des habitants d’Ouradour-sur-Glane (entre autres !). Jean-Marie Le Pen est une honte pour la France. Ce texte est une mauvaise blague !

    • Et ceux de Maillé ( Indre et Loire ) . Le 24 Août 1944, 124 personnes sont massacrées sur les 600 habitants, par les allemands et le village rasé.

    • Il n’avait pas tout à fait tort, si l’on compare à l’occupation des autres pays, sous la férule d’un Gauleiter. Il faut bien sûr relativiser ; de tous temps les guerres donnèrent lieu à des exactions…Oradour, oui… mais les milliers d’Italiennes violées et tuées par les soldats arabo-musulmans de Juin furent aussi des martyres. Quand les bourreaux sont les vainqueurs, c’est moins grave.

      • vous parlez des maroquinades des 6e et 7e RTM, lesquels s’étaient par ailleurs illustrés en Belgique

    • combien de fils allemands pendant la guerre et tous n4etaient pas des nazis ; ponsieur lepen est lucide , et nous sommes beaucoup fiers de lui pour nous sortir de l4abrutissement des humanistes ,mondialistes ,anti capitalistes aux poches bourrees de fric ;

    • Faites donc une comparaison avec les exactions soviétiques, par exemple Kathyn

    • Oradour sur Glane ce n’était plus l’Occupation mais une armée allemande en débandade, donc paradoxalement vous donnez raison à JMLP.

  21. Jean Marie Le Pen a énormément de qualités c’est vrai mais il a aussi un coté sombre teinté d’antisémitisme qui a gâché sa vie politique. Sans cela, il aurait pu devenir un grand homme d’état au lieu de se cantonner dans ce rôle caricatural parfois ridicule. Malheureusement pour lui, son rapprochement avec le plus grand islamo-collabo de France, à savoir Dieudonné, a sonné définitivement le glas de sa carrière politique.

Les commentaires sont fermés.