Franc succès pour le colloque de Reconquête intitulé la Convention pour en finir avec les violences d’extrême gauche qui s’est tenu à la Maison de la Chimie, le mercredi 5 avril 2023.
A quelques centaines de mètres de là, une Commission parlementaire à l’initiative de la NUPES osait inviter Raphaël Arnault à l’Assemblée Nationale pour discourir sur les supposées violences d’extrême droite. Cet individu, connu pour ses positions radicales, n’est rien de moins que le porte-parole du mouvement La Jeune Garde, se disant antifasciste et revendiquant ouvertement la violence comme mode d’action.
Eric Zemmour ouvre la séance, présente le programme du colloque et passe en revue les derniers débordements de violence (Sainte Soline, le saccage de la mairie de Bordeaux, l’occupation de son université) qui bénéficient d’une certaine complaisance sur les plateaux de télévision. « Il faut remonter à l’origine de la violence politique » nous explique-t-il.
Le premier thème a pour titre : “Des sans culottes aux antifas : histoire et objectifs de la violence d’extrême gauche“. Le public assiste à un échange par vidéo entre Eric Zemmour et l’historien Patrice Gueniffey, auteur de : “La politique de la Terreur (2000). Ce spécialiste de la Révolution Française explique que depuis le 1′ juillet 1789, nous vivons dans un continuum de violence révolutionnaire : “cas singulier en Europe, la France est la seule nation qui a fondé un système politique sur une rupture violente“. La foi en la rupture et la passion de l’égalité ont nourri la Terreur, mais aussi les mouvements révolutionnaires qui vont suivre, jusqu’à la Commune de Paris et mai 68.
Zemmour développe les relations entre la violence et la gauche. Si Jaurès et le PS (après Epinay) ont voulu s’en démarquer, la France n’a jamais eu le courage de répudier la Révolution française. La IIIe République s’est pourtant installée sur la persécution des Communards. C’est le remord de la gauche, un remord qui la hante. Eric Zemmour se dit “frappé par le romantisme de la violence chez les jeunes et dans les médias. J’ai le sentiment que la violence, parce qu’elle vient de la Révolution, est tolérée, voire glorifiée par les gens de l’extrême gauche (qui a pris la main sur la gauche) et de Mélenchon (…) A chaque mouvement social, ils réclament une Constituante !” Puis il explique que cette violence d’extrême gauche n’est que du théâtre car elle n’a pas de projet collectif et ne fait que répondre à une perte de foi en l’avenir, alimentée par l’agitation climatique, la montée de l’Islam et les peurs du moment.
La deuxième intervention est celle d’Olivier Vial, Président de l’UNI (le syndicat étudiant : Union Nationale Interuniversitaire) sur le thème : “Activisme, antifas et Mélenchon : les liaisons dangereuses“. Il est aussi fondateur de l’Observatoire de la déconstruction et directeur du Centre d’Etudes et de Recherches Universitaires (le CERU).
Il revient sur les émeutes de Sainte Soline et précise que des élus se sont interposés comme boucliers humains pour protéger les manifestants, alors que le rassemblement était interdit ! Il rappelle aussi l’attaque d’un train de céréales à Saint Gérand dans le Morbihan et le déversement de 1500 tonnes de blé pour “lutter contre l’agriculture intensive“. Cet acte de vandalisme, opéré par des militants du Collectif “Bretagne contre les fermes usines” et de “Extinction Rebellion France” devait recevoir plus tard la bénédiction de Sandrine Rousseau (députée EELV) qui avait déclarée sur RTL : “ce sont des actions coups de poing qui permettent d’éveiller les consciences sur l’élevage intensif“.
Olivier Vial nous présente deux apôtres de l’antifascisme : d’abord un certain Mark Bray, professeur d’histoire dans le New Jersey, auteur engagé et connu pour ses écrits sur l’antifascisme.
Dans une sorte de vade mecum publié en 2018, il appelle l’antifascisme à se diversifier. L’objectif serait de “rendre coûteux le simple fait de penser à droite” et tous les moyens sont bons : attaques physiques, fichage, renseignement, attaques à domicile… Il justifie l’atteinte à la liberté d’expression lorsqu’il s’agit de lutter contre le fascisme. Vous me direz, c’est du connu ! Pas de liberté pour les ennemis de la liberté !
L’autre personnage est le suédois Andreas Malm qui remet en cause l’efficacité de la non-violence dans les luttes pour l’émancipation des Noirs aux États Unis et prône le retour à l’action violente.
Présent à Sainte Soline, il affirme que le sabotage doit passer à l’échelle industrielle. Par ses conférences, il fait des émules auprès des militants de La France Insoumise. Mais, ce maître à penser de l’ultragauche ne s’arrête pas là : son but est d’entraîner le maximum de gens dans la violence et, pour y parvenir, il faut entretenir les peurs. Donc développer la crainte de l’apocalypse climatique afin de transformer l’éco-anxiété en éco-colère. De fait, les sondages révèlent que de plus en plus de jeunes se disent prêts à participer à des micro-sabotages. Selon l’Institut du Dialogue Civil : « Les moins de 35 ans sont bien plus nombreux que leurs aînés à envisager le recours à des méthodes radicales, comme d’occuper de force un site” (32%), de dégrader des panneaux publicitaires, ou même de pratiquer des “micro-sabotages “.
https://www.institutdudialoguecivil.com/post/des-jeunes-de-plus-en-plus-woke-et-radicaux
Conséquence : des mouvements comme Greenpeace commencent à être discrédités et l’on voit même des jeunes quitter Extinction Rebellion, jugé trop modéré.
Les intervenants suivants sont regroupés en une table ronde ayant pour thème : « Les méthodes des antifas, leurs modes d’action et leurs cibles ».
Deux anciens Black Bloc repentis ouvrent le feu et expliquent comment ils ont été embrigadés pendant leur jeunesse. Maxime a commencé par des blocus de son école : « il fallait que j’agisse (…) Tout était justifié au nom du bien ». Joseph précise que le black bloc n’est pas un groupe politique mais un mode d’action venu d’Allemagne et qui consiste à produire des images choquantes pour influencer l’opinion publique. Il a commencé comme syndicaliste à la CGT. « Il n’y a pas de débat chez nous : il y a un entre soi qui nous met dans le camp du bien ». Tous deux reconnaissent appartenir à la petite bourgeoisie et avoir bénéficié d’un traitement de faveur par la justice « car les juges défendent souvent les valeurs de la gauche et de l’extrême gauche » nous dit Joseph. Applaudissement chaleureux de la salle pour leur témoignage insolite !
Cécile Scheffen, candidate du parti Reconquête à Nantes pour les législatives, témoigne des agressions dont elle a fait l’objet, suite à un tractage place Royale : mime d’égorgement, harcèlement à son domicile, intimidation. Elle dénonce le peu d’empressement de la justice à juger les coupables qui ne sont autres que de faux-étudiants qui encombrent les universités.
Jordan Florentin, reporter à Boulevard Voltaire, et journaliste du Livre Noir, dénonce la connivence de certains journalistes qui, au mépris de toute déontologie, transmettent des informations aux antifas. Il en a été témoin lors du passage de Marine Le Pen à Mayotte. On l’accuse d’être un agent de communication de l’extrême droite. Il raconte aussi comment il a été séquestré à la fin d’un spectacle de Yassine Belattar, après avoir été dénoncé par certains spectateurs. Il déplore dans cette affaire, l’absence totale de solidarité de la part de ses confrères.
Albéric Dumont, expert en sûreté et sécurité et fondateur d’ULTREIA, explique en quoi consiste son métier : protéger les données personnelles, lutter contre les ingérences étrangères et détecter les menaces terroristes. Il cible les méthodes utilisées par ses adversaires : l’intimidation d’un candidat, quitte à aller jusqu’à l’agression physique, le détournement consistant à focaliser l’actualité sur un épiphénomène (le coup monté de SOS Racisme au meeting Zemmour de Villepinte) au détriment de l’information principale (15 000 participants : un vrai succès).
https://ripostelaique.com/les-5-gros-mensonges-de-libe-sur-le-meeting-zemmour-de-villepinte.html
Némésis, collectif féministe de la mouvance identitaire, a eu le malheur de dénoncer « l’incohérence du néoféminisme vis-à-vis de l’Islam politique ». Sa fondatrice Alice Cordier, témoigne des agressions dont elle a fait l’objet, suite à ses prises de positions.
L’on connait la triste influence des universités américaines sur la jeunesse française en mal d’idéologie. Un américain de Portland, Andy Ngo, a infiltré le milieu des antifas dans sa ville où des pans entiers ont été concédés à l’autogestion. Son enquête a fait l’objet d’un ouvrage « Démasqués », numéro 1 des ventes d’Amazon en 2021.
https://www.babelio.com/livres/Ngo-Demasques/1354416
Menacé de mort, il a dû se réfugier en Angleterre. Il répond aux questions de Reconquête dans une vidéo projetée dans la salle : « Ces idéologies se propagent par l’éducation et l’université » rappelle-t-il. Il a été témoin des violences contre les législateurs qui s’étaient opposés au changement de genre pour des personnes très jeunes. « Je ne suis pas optimiste pour l’avenir de l’Occident ».
A la suite de la table ronde, Gaétan, un fonctionnaire de police à l’accent marseillais sympathique, est invité à donner son sentiment sur le thème : « les forces de l’ordre face à l’ultra gauche ». Il est membre de la BAC 75N et représentant syndical en Seine Saint Denis. Très respectueux du service public, il met en avant l’abnégation des policiers : « on y reste par conviction ! ». Comme tous les autres intervenants de l’après-midi, il dénonce l’insuffisance de la réponse pénale face aux violences. Il explique que les forces de l’ordre sont loin de faire ce qu’elles veulent et agissent toujours sur ordre d’un supérieur. Même si les forces de l’ordre font l’objet de violences physiques mais aussi intellectuelles, elles restent, pour lui, le dernier cordon de sécurité de la République.
L’heure des « solutions » débute avec l’intervention de Thibault de Montbrial sur le thème : « Rétablir l’ordre et en finir avec la violence, le mode d’emploi ». A la tête d’un cabinet d’avocat, il préside aussi le Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure (le CRSI). Il fait d’abord le constat d’un pays très fracturé, résultat de quarante années de renoncement : fractures territoriale, ethnique, sociale et religieuse.
Il rappelle que 299 institutions publiques (mairies, préfectures) ont été attaquées après le 49-3 ainsi que 132 permanences de parlementaires. Du jamais vu ! Les violences contre des élus ont doublé en 2022. Il dénonce la France Insoumise, ce parti qui joue le rôle d’incendiaire. « Les antifas ? Un concept politique habile. Mais qui sont les Antifas aujourd’hui ? (…) Le peuple n’a pas de sympathie pour ces gens-là. Un mort dans une société fracturée et la situation deviendra ingérable ! »
Inutile, selon lui, de rajouter de nouvelles lois : dénonçons plutôt l’incapacité des politiques à appliquer la loi. Par contre, il est nécessaire de renforcer le renseignement. « Il faut soutenir la politique du préfet de police Nunez : un maintien de l’ordre qui bouge, qui lutte contre la dissémination de petits groupes pour faire de la casse dans les rues adjacentes». Puis il évoque la question des moyens : à Sainte Soline, les antifas ont utilisé des drones pour repérer les policiers, alors que ces derniers n’ont pas le droit d’en utiliser : un comble !
Il y a des juges « très bien » et il faut les encourager. Mais il faut aussi leur dire qu’ils doivent « retrouver la compréhension du maillon dont ils font partie, dans la coproduction de la sécurité qu’ils partagent avec la police ». Quant à la réponse pénale « il faut des sanctions justes dès la première fois pour ramener dans le droit chemin les primo-délinquants. Rien de pire qu’une décision de justice qui n’est pas comprise ! ». Enfin, il ne faut plus subir les violences, ni sur le terrain, ni dans le débat public. Pas plus qu’il faut subir les injonctions de la presse.
Eric Zemmour monte à la tribune pour clôturer sa Convention : « les violences politiques se poursuivent depuis plus de deux siècles ! » Parmi les adeptes de cette violence, il cite Jean Paul Sartre, cet intellectuel de l’ultragauche qui avait pignon sur rue : « Abattre un Européen, c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé… »
Puis il cible Edwy Plenel (ex directeur de rédaction du Monde de 1996 à 2004). Lors des Jeux Olympiques de Munich, Septembre Noir prend en otage les sportifs israéliens. La police ouvre le feu et le carnage commence. Edwy Plenel écrit alors dans Rouge (l’hebdomadaire de la LCR) : « Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre Noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation (…) A Munich, la fin si tragique, selon les philistins de tous poils qui ne disent mot de l’assassinat des militants palestiniens, a été voulue et provoquée par les puissances impérialistes et particulièrement Israël. Il fut froidement décidé d’aller au carnage ».
Selon lui, et dans cette lignée, Mélenchon fait partie de cette gauche politique qui cautionne les actes de violence. Les antifas sont les milices de la France Insoumise. « La Jeune Garde », c’est Mélenchon avec une matraque ! ». Il rappelle qu’à Marseille, des militants de Reconquête ont été insultés et blessés en 2021 pendant la campagne présidentielle. Puis il revient sur le sombre personnage d’Andreas Malm : non seulement la gauche ne l’a pas condamné, mais on lui offre une chaire de géographie à l’Institut La Boétie, cette institution créée pour la formation des futurs cadres de la France Insoumise et inaugurée par Mélenchon le 5 Février 2023.
Eric Zemmour revient sur la sémantique : « ce sont eux qui se définissent comme antifas ! Mais quel fascisme condamnent-ils ? Celui des voitures de médecins, du mobilier urbain, des poubelles ? (…) Il faut les appeler milices de l’extrême gauche, racailles (…) On fait preuve de trop d’indulgence avec ces cercles d’influence qui vont de l’Assemblée Nationale aux salles de rédaction ! ». Il compare avec le traitement fait à Génération Identitaire, qui n’a jamais violenté personne et qui a été dissous, pour l’exemple ! Toujours le deux poids, deux mesures !
Il reprend cette célèbre invective de Pier Paolo Pasolini aux manifestants de Rome en mars 1968 : « “Lorsque hier, […] vous vous êtes battus avec les policiers, moi je sympathisais avec les policiers. Car les policiers sont fils de pauvres. Ils viennent de sous-utopies, paysannes ou urbaines.”
Dernier exemple de la soumission à l’idéologie de la violence, l’invitation de l’ancien terroriste d’Action Directe Jean-Marc Rouillan par le mouvement d’extrême gauche Révolution Permanente, à la faculté occupée de Bordeaux, le 28 mars 2023 ! Condamné à la prison à perpétuité (mais libéré) l’ancien membre du groupe terroriste d’extrême gauche s’était rendu complice de l’assassinat en 1985 de l’ingénieur général en armement René Audran et celui en 1986 du PDG de Renault Georges Besse. Rouillan n’a jamais rien renié de ses actes passés : en 2016, il a même qualifié les djihadistes des attentats de Paris de « courageux » !
Il n’empêche que le 4 avril dernier, Libération ose faire sa une sur le terrorisme d’extrême droite !
Et le Président de Reconquête de conclure :
« Nous savons très bien jusqu’où la gauche peut aller ! L’ensemble de la classe politique se couche devant les injonctions de Mélenchon. On assiste à une nupessisation des esprits. Tous ces gens ne comprennent pas la dynamique historique qui est à l’œuvre (…) Refuser de se penser de droite, c’est faire le jeu de l’extrême gauche ».
Hector Poupon
PS : Quelques liens permettant d’accéder aux interventions des invités.
Mot d’ouverture et présentation du programme par Éric Zemmour, Président de Reconquête !
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« Des sans culottes aux antifas : histoire, philosophie et objectifs de la violence d’extrême gauche. »
Vidéo d’échanges entre Éric Zemmour et Patrice Gueniffey, historien, auteur de La Politique de la Terreur (2000).
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« Activisme, antifas et Mélenchon : les liaisons dangereuses », par Olivier Vial, Président de l’UNI.
Comment la gauche justifie la violence, jusqu’à théoriser le harcèlement et le terrorisme.
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Table ronde : « Les méthodes des antifas, leurs modes d’action et leurs cibles »
- « J’ai été black bloc et j’en suis revenu. » Témoignages de Maxime et Joseph, anciens black blocs.
Cet endoctrinement fait devenir black blocs. - « J’ai été victime des antifas toute l’année en raison de mon engagement politique », par Cécile Scheffen, militante Reconquête harcelée par l’ultra gauche à Nantes.
Ils l’ont intimidée jusque chez elle. - « Je suis ciblé par l’ultra gauche qui veut m’empêcher d’exercer mon métier de reporter » Jordan Florentin, reporter chez Boulevard Voltaire.
Comment les journalistes (de gauche) participent à la censure violente. - « Méthode des antifas et moyens de les contrer : l’exemple de Reconquête, cible privilégiée de l’ultra gauche » Albéric Dumont, expert en sécurité & sûreté, fondateur d’ULTREIA.
Intimider, détourner, agresser… Les dessous de l’action gauchiste lors du meeting de Villepinte.
- Témoignage Bonus : Alice Cordier qui représente Némésis, le féminisme qui dénonce les agressions liées à l’immigration.
- La violence des milices de gauche est sans limite.
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Entretien inédit avec Andy Ngo, Journaliste américain, figure de la lutte contre l’antifascisme aux États-Unis « J’ai dû quitter les États-Unis car je suis menacé de mort par les antifascistes ».
Il parle de tactiques, défendues par des universitaires, « vraiment brutales, où le but n’est pas nécessairement de tuer tout de suite, mais plutôt de mutiler ». Les gauchistes essaient d’importer ça en France !
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« Les forces de l’ordre face à l’ultra gauche »
Témoignage d’un fonctionnaire de police. Haine anti-flic, manque de moyen, manque de réponse pénale : le dernier rempart de la République face à l’ensauvagement.
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« Rétablir l’ordre et en finir avec la violence, le mode d’emploi »
Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris, président du centre de réflexion sur la sécurité intérieure, auteur de Osons l’autorité (2020)
La progression de la violence est catastrophique. Et LFI joue la politique de l’incendiaire en incitant à la violence et en excusant ceux qui y ont recours.
Découvrez LA façon d’arrêter le chaos.
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Discours conclusif d’Éric Zemmour, Président de Reconquête !
Les 3 enseignements de cette Convention.
Oui, j’y étais aussi. C’était vraiment de bon niveau et très instructif ! Ce sont de belles initiatives qui permettent d’avoir des arguments solides pour débattre… avec ceux qui veulent bien débattre…
colloque passionnant et brillant, merci à R : c’est la première pierre de l’édifice à construire d’urgence contre le grand danger que représente l’extrême gauche fasciste, stalinienne, collabo, totalitaire et sanguinaire avec maintenant les appels au meurtre : lutter contre cette engeance qui bénéficie des soutiens politico/médiatiques/judiciaire est l’ultime acte de résistance des patriotes
Et….?
Ras le bol de dire toujours la gauche et l extrême gauche les Black bock
Avant c était l extrême droite. Depuis que Marine c est couché .c est l extrême gauche.
Et puis merde , vous croyez que les manifestations style arnaval de Rio ça fonctionne ? Ne tenez pas Macron s en tape complètement, Et puis votre Zemour si un jour il devient président il fera comme les 3 derniers. Il suivra les directives européennes.
Comme pour les retraites ce n se n est pas Macron qui l exige c est l UE . Ensuite le Zemour grand silence sur le Covid dumoins état favorable à la vaccination obligatoire de Macron. Puis silence sur la propagande anti Russie des médias corrompu.
Absent sur les LGTB que l on nous impose
Pub de mec qui se galoche c est cela que vous voulez pour nos enfants.
Votre zemour à part l immigration c est le vide.
Constat assez saisissant de la réalité. On constate le déséquilibre entre les forces chargées du maintien de l’ordre qu’on afflige de tous les maux face à l’organisation de bandes séditieuses manipulées par les forces de gauche dont les Nupes. Bandes de plus en plus déterminées dont il faut redouter une escalade violente contre tous ceux qui ne se plient pas à leur idéologie Wokiste. D’où l’urgence pour tous ceux qui sont en première ligne de l’opposition comme Reconquête de préserver leur intégrité physique en toutes circonstances parce qu’il est permis, désormais au regard de l’analyse de cette réunion, de redouter le pire.
Et les violences actuelles sont loin d’être spécifiquement et exclusivement “gauchistes” !
La macronie est violente avec , au 1er chef , son petit chef arrogant et péteux . Bref la violence se répand , elle est contagieuse et resurgit dans l’ensauvagement général .
On ne parle même pas des “gentilles” cités , qui se tiennent relativement ‘tranquilles” pour l’instant , et de leur violence endémique .
Bref vaste sujet et je regrette que E Z et RECONQUETE l’abordent de façon aussi partielle et connement droitarde à la “Maison de la Chimie” dans le 7e comme de petits bourgeois effarouchés . Ils auraient pu traiter ou ABORDER le sujet de la violence mais cela aurait peut être été génant pour un Zemmour qui soutient la “thèse” du “monopole de la violence légitime” par “l’état” ( “tout-puissant” ….)
Ce que nous attendions et redoutions arrive, soyons plus que jamais unis.
Merci à tous les intervenants, à Eric Zemmour et son équipe, aux techniciens du son et de l’image grace à eux cette convention est arrivée dans nos belles provinces, et merci à Hector Poupon de compte rendu.
ghandi devrait revenir enseigner en france
Cette convention parallèle a la venue du salopard de Lyon chez les parlementaires a été une idee geniale
surtout apres les verités rappelées par EZ chez Praud avec Joffrin qui s’ etouffait
Vous avez remarqué les photos des fachogauchos américain et suédois ? Ces gens ont le visage fermé, le regard dur…
Deux têtes que j’aimerais bien voir aller éternuer dans le son !
Merci pour ce compte rendu très exhaustif et très documenté.
Nous avons à l’Assemblée Nationale un groupe de nihiliste : la Nupes ! Groupe bien utile à la Macronie. Il faut relire “les démons” de Dostoïevski qui avait pressenti avec fulgurance notre triste 20 et 21 ème siècle commençant.
Tout ce blablabla va changer quoi?
ouvrir les yeux des trous du cul qui ne pense qu’à bouffer sans travailler
???? Avec ce genre de pensée “puissante” , la RECONQUETE tant souhaitée risque de faire pchiiiittttt