Jetez ces muselières qui ne protègent personne !
Pour faire semblant de combattre le virus Omicron, le ministre de la Santé (?) vient dâannoncer, quâaprès lâinterdiction du pop-corn dans les cinémas, lâinterdiction du casse-croûte dans le train, et lâinterdiction de manger ou boire debout dans les bars, il faudra prolonger le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans les écoles pendant huit heures de suite et même dans la cour ou les séances de sport ! Aberration et torture prolongée des enfants !
Mais comment peut-on être aussi peu scientifique et aussi tyrannique ?
Cette mesure ne peut avoir aucun impact positif sur la transmission du Covid.
Ses conséquences délétères sur la santé physique et psychique sont connues.
Ignorance crasse ? Sadisme ordinaire ? Dans lâHistoire, le massacre des innocents nâa été utile quâà la satisfaction des sadiques.
Quelques déclarations de lâOMS
En juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme dâurgence sanitaire de lâOrganisation mondiale de la santé (OMS), a déconseillé le port dâun masque facial en mars, précisant :
« Il nây a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population aurait un avantage potentiel.
Il existe des preuves suggérant le contraire dans lâutilisation abusive du port du masque, ou de son lâajustement incorrect ».[1]
La Dr Maria Van Kerkhove de lâOMS, a recommandé :
« Dans la communauté, nous ne recommandons pas le port de masques sauf si vous êtes malade et comme mesure pour empêcher la propagation de votre part ».[2]
« les essais randomisés ne suggèrent pas un effet bénéfique des masques faciaux »
« Pour les personnes en bonne santé, lâobligation du port du masque est peu susceptible dâarrêter la propagationâ¦Â ».[3]
En dehors du milieu médical exposé, le masque ne sert à rien.[4]
Au 12/2/2022, la consultation de la base de données médicales américaines PubMed liste 2448 articles répondant aux mots clefs « facial Mask covid ». Parmi ces 2448 articles, aucun ne rapporte dâétude randomisée prouvant que le port généralisé du masque diminue le risque de transmission du Covid-19.[5][6][7][8][9][10]
Les articles qui prônent lâobligation du masque ne rapportent aucune étude réelle du port du masque par la population générale, mais des simulations reposant sur des hypothèses très incertaines.[11]
Ils se basent sur des expériences de laboratoires mesurant les charges virales autour de malades et les propriétés de filtration des différents types de masques suggérant que le masque pourrait diminuer le risque de contaminations. Leurs conclusions prudemment exprimées au conditionnel sont ensuite reprises à lâaffirmatif par les médias et utilisées par les dirigeants à lâappui de leurs décisions tyranniques.
Lâutilisation de masques par les malades contagieux qui toussent et par le personnel médical qui les traite est logique, mais même dans ces situations particulières son efficacité réelle nâa pas été établie scientifiquement, singulièrement contre les virus.
La seule étude randomisée (Danmask 19)[12] publiée conclut :
« La recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter dâautres mesures de santé publique nâa pas réduit le taux dâinfection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs ».
Lâexamen des courbes de contaminations dans les pays qui se masquent montre dâailleurs que cette mesure nâa aucun effet visible dâatténuation de lâépidémie. Bien au contraire. Ainsi, en France, le nombre de contaminations journalières nâa jamais été aussi élevé que lorsque le masque a été rendu obligatoire.
La comparaison des contaminations journalières en France masquée et en Suède non masquée confirme lâinutilité de lâobligation des masques.
Alors pourquoi nos dirigeants imposent-ils cette mesure dont lâutilité nâa jamais été prouvée scientifiquement ?
Le masque est une muselière
En réalité les obligations de porter des masques nâont jamais eu pour but de contrôler le virus â elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens.[13]
Le masque constitue un signe de servitude comme jadis, dans lâEmpire romain, le collier que portaient les esclaves (mais au moins les colliers dâesclaves ne gênaient pas leur respiration).
Lâobligation du masque est encore plus aberrante et scandaleuse chez lâenfant
Le port du masque, inefficace chez lâadulte, est doublement injustifié chez lâenfant, car celui-ci ne craint rien du Covid et ne transmet pas la maladie.
Le seul protocole sanitaire réellement justifié à lâécole serait la suppression de toutes ces mesures inutiles et toxiques et de demander aux enfants et adultes malades de rester à domicile jusquâà la fin de la période de possible contagion.[14]
En Suède, les écoles sont restées ouvertes sans mesures contraignantes et aucune conséquence nocive sur les contaminations dans la population nâa été observée.[15][16][17]
Les protocoles sanitaires imposés aux enfants français ne constituent donc que des brimades inutiles, sauf pour leur enseigner la soumission.
Le port prolongé du masque est nocif
Il sâaccompagne dâune moindre hygiène des mains et dâun contact plus fréquent de celles-ci avec le visage créant ainsi une nouvelle voie de transmission possible en plus dâautres effets insupportables.
Maux de tête
Une étude randomisée japonaise de 2009 conclut :
« Les sujets masqués étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période dâétude ».
Un article de 2014[18] rapporte quâenviron un tiers des travailleurs avait des maux de tête avec le masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui étaient amplifiés et 60 % avaient besoin dâanalgésiques pour les soulager.
En mai 2020, une étude[19][20] a observé que 81 % des soignants qui portaient un masque développaient des maux de tête, certains avaient des maux de tête préexistants qui étaient aggravés par les masques, et tous avaient lâimpression que les maux de tête affectaient leur performance au travail.
Le port prolongé du masque entraîne une hypoxie
la plupart des études montrent que les masques peuvent provoquer une hypoxie et une hypercapnie.
En 2008, des chercheurs ont mesuré lâeffet des masques faciaux sur 53 chirurgiens à lâaide dâun oxymètre avant et à la fin des interventions. Ils ont découvert que le masque réduisait les niveaux dâoxygène dans le sang proportionnellement à la durée de port du masque.
Chaque jour ou presque, des professionnels de diverses spécialités insistent sur les inconvénients spécifiques à leur domaine. Les dentistes sont inquiets.
Le docteur François Thibault, de La Baule, rappelle que le port du masque nous fait passer en respiration buccale, perturbant notre respiration :
« Le flux dâair étant insuffisant par des narines couvertes et les conséquences néfastes sont nombreuses. Lâair nâest plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit lâêtre lors du passage normal dans les fosses nasales avant dâarriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau nâest plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »
« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. Lâhypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de lâoxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes dâhumeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusquâà la perte de conscience. »
« Il est important de respecter au moins 2 pauses par jour de 10 minutes en extérieur, dit-il. La pause est plus facile pour les adultes qui peuvent sortir quelques minutes, voire faire une pause cigarette. Les petits sont à la merci de leurs enseignants souvent terrorisés victimes de la propagande des médias et de leurs syndicats. »
« Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses. »
Les ophtalmologistes observent des conjonctivites rebelles à tout traitement chez les porteurs de lunettes. Lâair inspiré peut être chargé de microscopiques fibres constituantes des masques dont le marquage « CE » ne garantit pas complètement lâinnocuité et qui viennent coloniser les alvéoles pulmonaires, portes ouvertes aux futurs problèmes respiratoires graves.
Le dentiste alerte sur les « néfastes conséquences du port du masque dont on mesurera peut-être les conséquences dans quelques années, comme on lâa fait trop tard pour lâamiante ».
Les orthophonistes insistent aussi sur le rôle physiologique de la respiration nasale interdite par le masque :
« La respiration buccale pose de nombreux problèmes : abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.
La respiration buccale court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »
Mais de plus :
« La respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. Lorsque la respiration est nasale (normale), la langue modèle lâarcade supérieure en y prenant une grande place. Câest ce qui permet une croissance harmonieuse de la face (palais large, dents alignées). Lorsque la respiration est buccale, la langue est positionnée sur le plancher de la bouche, elle ne joue pas son rôle dâexpansion de lâarcade supérieure. Le palais reste étroit, les dents avancent, le visage grandit en longueur, les os et les muscles de la face se développent de façon disharmonieuse[21]. La sécheresse buccale entraîne une déshydratation des cordes vocales provoquant des hemmages (raclement de la gorge) et des tensions, crispation des muscles des organes phonateurs qui, à long terme, peuvent créer des nodules, voire des polypes et par conséquent une dysphonie. La désorganisation du mécanisme respiratoire peut entraîner un essoufflement et des forçages vocaux[22] débouchant également sur des dysphonies ».
« Le port du masque impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales ».
Pour lâenvironnement, lâobligation généralisée du port du masque est une catastrophe créant chaque année en France près de 50 000 tonnes de déchets non recyclables potentiellement contaminés.[23]
Il ressort de cette revue de la littérature quâil nây a pas de preuves que le port dâun masque, de quelque nature que ce soit, ait un impact significatif sur la prévention de la propagation du virus.
Au contraire, il existe de nombreuses preuves que le port continu dâun masque facial peut provoquer des maux de tête, une hypercapnie et une hypoxie, et peut rendre lâinfection beaucoup plus grave.
Le devoir du médecin
En plus de protéger la santé de leurs patients, les médecins doivent également fonder leurs actions sur la Déclaration de Genève de 1948, révisée en 2017, selon laquelle chaque médecin sâengage à mettre la santé et la dignité de son patient au premier plan et, même sous la menace, de ne pas utiliser ses connaissances médicales pour violer les droits de lâHomme et les libertés civiles.
Dans le cadre de ces constatations, nous propageons donc une action explicitement médicale, tenant compte de la réalité factuelle scientifique contre la prétendue efficacité générale des masques, et des effets individuels indésirables pour les porteurs de masque.
Si vous nâêtes pas malade, ni au contact direct prolongé de malades, jetez votre muselière qui ne constitue quâun instrument dâapprentissage à la soumission comme étudie le dernier livre de Roland Gori, La fabrique de nos servitudes.[24]
Nicole Delépine
- https://twitter.com/WHO/status/1244639057398902785[â©]
- https://www.cnn.com/2020/03/30/world/coronavirus-who-masks-recommendation-trnd/index.html[â©]
- https://www.businessinsider.com/who-no-need-for-healthy-people-to-wear-face-masks-2020-4[â©]
- Pour protéger les malades des germes que pourraient leur passer les soignants et non pour les virus qui ne sont pas stoppés par toutes les sortes de masques.[â©]
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/[â©]
- https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review[â©]
- [7]Â https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x[â©]
- [8]Â https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214[â©]
- https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381[â©]
- https://www.qeios.com/read/1SC5L4[â©]
- halte aux prophètes ! Analysons les faits, stoppons la Peur â Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) [â©]
- Â Bundgaard H et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Clinical Trial. Annals of Internal Medicine 2020[â©]
- Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr) juin 2020[â©]
- Â Comme on lâa toujours fait en cas de grippe ou dâautre maladie contagieuse.[â©]
- Vlachos J, HertegÃ¥rd E, B Svaleryd H. The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Mar 2;118(9):e2020834118. doi : 10.1073/pnas.2020834118. PMID : 33574041 ; PMCID : PMC7936333.[â©]
- Â School closures and SARS-CoV-2. Evidence from Swedenâs partial school closure
Jonas Vlachos, Edvin HertegÃ¥rd, Helena Svaleryd medRxiv 2020.10.13.20211359; doi: https://doi.org/10.1101/2020.10.13.20211359 Proceedings of the National Academy of Sciences doi: 10.1073/pnas.2020834118[â©] -  Jonas F. Ludvigsson, MD, Ph.D. Karolinska Institute, Stockholm, Suède Ãcoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède N Engl J Med 2021 ; 384 : 669-671 DOI : 10.1056/NEJMc2026670[â©
- https://medcraveonline.com/JLPRR/effects-of-long-duration-wearing-of-n95-respirator-and-surgical-facemask-a-pilot-study.html[â©
- Â https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-106[â©
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/[â©]
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20129889/[â©]
- http://chinois.discipline.ac-lille.fr/quoi-de-neuf/revue-de-presse/2020-11-mgen_livret_voixmasque_novembre2020-1[â©
- ] Virus, champignons, bactéries[â©]
- Editions Les liens qui libèrent[â©]