Journalistes tués par des musulmans : la France 3e sur le podium RSF

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Selon RSF (Reporters sans frontières), soixante-sept journalistes ont été tués dans le monde en 2015 en raison de leur profession. Dans ce macabre classement, la France est en troisième position («grâce» à la tuerie de Charlie Hebdo), juste derrière l’Irak et la Syrie. Les pays qui nous suivent sont le Yémen et le Soudan du Sud. Que du lourd. Nous sommes en bonne compagnie.
Mais les journaleux ne paraissent pas se décider à se demander ce qui permet à la France d’obtenir la médaille de bronze.
Pas une interrogation sur les auteurs de ces «violences délibérées» dans notre pays. Pas le commencement d’une question sur l’origine des tueurs. Sans doute parce qu’ils ne sont pas de l’extrême-droite, pas d’affreux tatoués, le crâne rempli de théories sur la suprématie de l’homme blanc occidental, pas des phalangistes chrétiens, pas des miliciens serbes. Pas des grands blonds venus du froid.
Aucune explication sur le fait que la France se retrouve au milieu de ce qu’on a de mieux en terme de guerre civile sur la planète, ces pays musulmans transformés en champs de ruines.
Pas de lien entre l’islam et les disparitions des journalistes.
Nos journaleux vont se contenter de reprendre soigneusement le rapport de RSF en donnant, en filigrane, l’impression qu’ils font partie des meilleurs du monde. Cela leur permettra de se penser toujours plus courageux en sirotant un café en terrasse à proximité du Bataclan.
Mais s’il y avait un classement de la médiocrité journalistique, la France remporterait certainement la médaille d’or avec ses employés du politiquement correct qui ne dépareilleraient pas en Corée du Nord.
Qu’ont nos journaleux à voir avec les journalistes qui perdent la vie pour avoir osé dire la réalité?
Nos médias sont peuplés de couards qui transforment le réel en fiction manichéiste, de fabulateurs du vivre-ensemble et de l’antiracisme institutionnel. Ils sont les principaux acteurs du bourrage de crâne quotidien des Français sur l’islam, sur le vote pour la droite nationale qu’ils qualifient dédaigneusement de «populiste». Ils sont les premiers censeurs de l’information.
En 2015, il y a eu Dijon (13 blessés), Joué-les-Tours (3 blessés), Nantes (1 mort et 5 blessés graves), Charlie Hebdo (12 morts et 11 blessés), Montrouge (1 mort), Vincennes (4 morts), Villejuif (1 mort), Saint Quentin Fallavier (1 mort, décapité), Paris (130 morts, 351 blessés). Et qu’ont dit nos héros en papier mâché et en pixels ? « Pas d’amalgame », ce sont des actes de « déséquilibrés », « l’islam ce n’est pas cela ». Leur unique analyse a été sociale et leur discours moralisateur.
Nos pisse-copies n’ont que mépris pour la liberté d’expression. Ils sont les gardes-chiourme du peuple. Il faut les entendre, en ce moment, dénoncer la déchéance de nationalité des terroristes binationaux contre 94% des Français qui la souhaitent. Autant d’arrogance donne envie d’ouvrir la boîte à gifles.
Ce pays est peut-être le troisième en terme d’assassinat d’hommes des médias, mais sans doute le premier pour les procès intentés à ceux qui refusent le bisounoursisme de propagande médiatico-politique.
Les journaleux français semblent considérer que le musulman a beaucoup plus d’importance que le chrétien ou l’athée. Des pompiers et des policiers agressés : pas un mot. Des existences saccagées par des violences de la part de « chances-pour-la-France” : silence radio et télé. Des églises souillées : ils regardent ailleurs. Des « sales Français » éructés avec un accent de blédard: le racisme anti-blanc est une invention.
« Les meilleurs ennemis de la liberté de la presse, ce sont les journalistes », a dit Robert Ménard, fondateur de RSF.
Je crois qu’ils sont les meilleurs ennemis de la liberté, tout court.
D’ailleurs, les Français ont au moins cette lucidité. Interrogés sur 15 métiers pour savoir l’opinion qu’ils en avaient, ils ont placé les journalistes en 12e position, juste devant les banquiers et très très loin après les infirmières, les médecins, les enseignants, les policiers ou encore les chefs d’entreprise.
Dans cette mauvaise opinion, les journaleux ne sont pas seuls, ils sont en compagnie des hommes politiques.
Qui se ressemblent…
Marcus Graven
 

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5 Commentaires

  1. Avant d’arriver à la cheville de Carl Bernstein ou Bob Woodward, nos pisse-copies vont devoir apprendre le métier et l’honneur du journaliste. Y’a du boulot !!!

  2. Je suis du même avis que Ribouldingue. Les journalistes ne sont pas assassinés parce qu’ils défendent la liberté d’expression mais parce qu’ils sont assujettis à des gouvernements, des groupes industriels, des partis politiques et des idéologies qui vont à l’encontre des intérêts des peuples. je ne pleurerai pas sur le sort de ces journalistes…

  3. On a que ce que l’on mérite, et à titre tout à fait personnel , cela m’indiffère complètement, qu’ils aillent se faire pendre par l’Etat Islamique ou par tartanpion me laisse froid. J’aimerai voir Pujadas sur le terrain on rigolerai un peu , mais bon là je rêve……

  4. Après 45, le pouvoir
    avait décidé de laisser
    les journaux aux ex-collabos.
    Les imprimeries
    resteraient aux mains
    des communistes.
    Dans le but d’unir les Français,
    par crainte d’une guerre civile.
    Chacun d’autre part,
    avait les compétences.
    Après il y a des cas
    comme Askolovich,
    qui défend un
    humanitaire salafiste,
    emprisonné au Bangladesh.
    Il le défend sur I Télé,
    au point d’affirmer
    tranquillement :
    ” le salafisme est
    une composante de la
    société française”.
    Nous sommes mis
    devant le fait accompli,
    Askolovich travaille
    pour une chaîne de
    sport qatarie : BeIn Sports.
    BeIn Sports,
    est 1 réseau de télé
    à péage, filiale du groupe
    Al Jazeera.
    Le Qatar est wahhabite
    comme les saoudiens.
    Vitrine différente, objectif semblable.
    Financiers du terrorisme :
    particuliers etc.
    Wahhabisation de
    l’Europe, en faisant
    de l’entrisme.
    Quel meilleur moyen
    de tenir les élites et de soumettre
    le populo,
    que d’être proprio des médias ?

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