Journée de la femme : et si on parlait de la femme en islam…

Le vice-président du Rassemblement National, Jordan Bardella, a une nouvelle fois frappé fort et juste

A l’occasion de la journée de la femme, le lundi 8 mars dernier, il publiait une Tribune dans Valeurs Actuelles, rappelant entre autres aux « féministes » labellisées trois vérités qu’elles occultent volontiers :

  • la première de toutes les libertés, c’est la sécurité ;
  • les femmes sont les premières victimes de l’insécurité ;
  • la première cause de l’insécurité, c’est l’immigration.

« Le service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) nous renseigne qu’en 2019, 63% des violences sexuelles dans les transports en Île-de-France en commun sont le fait d’individus de nationalité étrangère », souligne ainsi Jordan Bardella.

« La libre circulation de toutes les femmes dans l’espace public français doit faire l’objet d’une attention toute particulière, car c’est sur le fondement de cette liberté fondamentale et de cette sécurité que d’autres droits peuvent être garantis » fait remarquer le vice-président du RN, précisant : « Ce chiffre [63%] a ceci d’insupportable que nous pourrions le réduire drastiquement en arrêtant de rendre les expulsions toujours plus impossibles et interminables, et en reprenant le contrôle de nos flux migratoires. »

Trappes, ou le futur de la femme de France

Le récent constat de ce professeur de philosophie de Trappes, Didier Lemaire, sur le bannissement de la femme de l’espace public dans les territoires islamisés de la République n’a aucunement fait réagir nos « féministes ». On se souvient de la proposition loufoque de Caroline de Haas : pour résoudre le problème du harcèlement des femmes dans les quartiers ethniques, il suffit d’élargir les trottoirs ! Il suffisait d’y penser…

« La réalité de Trappes, constate Didier Lemaire, c’est qu’une femme maghrébine qui s’assied à une table de café d’hommes, on lui fait des remarques. Puis dans la rue, on lui crache dessus, on l’insulte, ou on la menace de viol. C’est la réalité. Il y a à Trappes des comportements d’hommes qui n’ont rien à voir avec les mœurs françaises de civilité et les rapports de séduction. Nous ne sommes plus en France. Nous ne sommes plus non plus dans une République. Ni la liberté de conscience, de l’usage de son corps, ni l’égalité ne sont garanties. »

Autre « angle mort » de nos féministes patentées : les traitements abjects que l’islam fait subir au corps des femmes

« Jamais en France la femme n’a eu à subir des traitements aussi dégradants [que] l’excision », dénonce Jordan Bardella. « Loin d’être rarissime, cette pratique concernerait au moins 125 000 femmes selon le bulletin épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France. Aucun discours sur le droit des femmes ne saurait être légitime et crédible s’il n’aborde pas ce drame, de même que la polygamie, interdite dans le droit mais loin d’être inexistante dans certaines diasporas. »

Le constat de Jordan Bardella est sans appel : «  (…) un tel aveuglement explique en partie le discrédit qui frappe depuis plusieurs années les mouvements féministes trop marqués à gauche idéologiquement. (…) Écarter cet enjeu revient à passer sous silence ce qui, aujourd’hui, en France, met en danger ou persécute de nombreuses femmes. »

Les violences conjugales

Beaucoup de « féministes », dont Marlène Schiappa (rappelons qu’en italien, « schiappa » signifie « nunuche »), ont glosé sur les violences conjugales. Outre que dans 27% des cas, ce sont des hommes qui sont victimes de cette violence (et sans doute beaucoup plus : un homme sera nettement moins enclin qu’une femme à porter plainte…) et que 17% des cas de violences conjugales déclarées se soldent par le décès de l’homme, il convient de remarquer qu’en islam le fait de battre ses femmes est expressément stipulé dans le coran : « Admonestez celles dont vous craignez le nushûz [la désobéissance] ; reléguez-les dans les chambres à part et frappez-les. » (Cor. 2 : 259). Les hadiths précisent même les « bonnes » manières de battre ses épouses.

Aucune statistique ethnique (fort opportunément interdite…) ne vient étayer les études sociologiques sur le phénomène des violences conjugales… On devinera sans peine pourquoi.

Esclavage sexuel, polygamie, pédophilie…

Jordan Bardella illustre le mépris musulman pour la femme en relatant ce comportement barbare de ce Pakistanais de 36 ans qui admoneste en ces termes le président du tribunal correctionnel de Foix« Monsieur le président, alors, vous me la donnez la fille ? ».  Le barbu réclamait son « dû », une jeune fille de 14 ans, terrorisée, dont il voulait faire son épouse. Il est rentré au tribunal en brandissant un couteau, jurant « par Allah », qu’aucun autre homme ne toucherait à la fille…

Est-il utile de rappeler à toutes les nunuches de France et de Navarre que l’esclavage sexuel est tout à fait conforme aux pratiques du Prophète telles qu’elles sont révélées dans les hadiths ? De même que la polygamie et la pédophilie. Aïcha n’avait que six ans quand le prophète a commencé à la reluquer, et neuf quand il l’a mise dans son lit…

On leur signalera aussi le calvaire sans nom – hélas, une banalité en islam –  que vient de vivre cette jeune femme qui voulait rompre avec l’obscurantisme de sa famille et vivre « à l’occidentale ».

Une petite dernière, pour la route, qui n’a rien à voir avec l’islam…

Le jour de son entrée en fonction, le sub-sénile Joe Biden a signé un décret autorisant les athlètes transgenres biologiquement hommes à participer à des compétitions de sports féminins. Inutile de vous dire qu’ « elles » raflent tous les premiers prix. Vous avez entendu la Nunuche protester ? Pas moi…

Henri Dubost