Judée-Samarie : les collabos de l’UE menacent Israël

Pourquoi l’État d’Israël, seule démocratie du Moyen-Orient, gêne-t-il l’Union européenne ? Cette oligarchie incompétente et sans légitimité populaire s’arroge-t-elle le droit de sanctionner l’État d’Israël dans l’éventualité où il étendrait sa souveraineté sur la « Judée-Samarie », territoire qui est l’âme de l’État et dont le substantif « juif » a pour origine « la Judée ».

Mercredi dernier, les ministres des Affaires étrangères de l’UE n’ont pas abouti à l’adoption unanime (merci aux pays de l’Est de l’Europe qui s’y sont opposés) d’une résolution visant à sanctionner Israël en cas d’extension de sa souveraineté sur les territoires abandonnés par la Jordanie, après sa raclée de 1967, et improprement qualifié de « territoires palestiniens ex-transjordanie » mais, qui depuis des millénaires sont connus sous le nom de Judée-Samarie, pays qui ont porté les pas du roi David, Salomon et même, clin d’œil aux chrétiens, un certain Yéochoua, plus connu sous le nom de Jésus, petit Juif qui a bien réussi !

Certains pays, dont la France, ont demandé de recenser la liste des programmes et projets de coopération qui seraient annulés si Israël ne se plie pas au diktat européen !

On se croirait revenu à l’ère des Juifs des ghettos, lesquels n’étaient tolérés que s’ils se soumettaient et obéissaient, prêts à souffrir toutes avanies et humiliations progromiques dont l’acmé fut la Shoah.

Cette Europe qui se couche comme une vieille p… devant les menaces de l’Iran, acceptant toutes les compromissions déshonorantes pour ne pas irriter les ayatollahs génocidaires. Cette Europe, avec la France en tête (pauvre France, être dirigée pas de tels capitulards, laquelle sera de nouveau contrainte aux repentances du fait de ces pantins qui la dirigent), tremble d’indisposer le calife turc qui massacre ses opposants, bâillonne la presse d’opposition et menace l’Europe d’être envahie par ses hordes de migrants islamisés.

Et bien non, Messieurs de l’Europe, Israël ne s’excusera pas d’exister et je ne sais quel jour et comment sera recouvrée la souveraineté du peuple d’Israël sur le territoire où furent inhumés ses patriarches Abraham, Isaac et Jacob qui donnèrent à Israël son nom après son combat avec l’ange d’Esaü ; mais ce que je sais, c’est qu’un jour, et le plus tôt sera le mieux, la Judée-Samarie, au même titre que Jérusalem, Hébron etc. seront à nouveau sous souveraineté du peuple hébreu qui a d’ores et déjà abandonné son diminutif galoutique de « juif », nom qui correspond au nom d’une des douze tribus d’Israël, celle de Juda, tribu des rois d’Israël.

Ce nouveau délégué aux affaires étrangères, M. Joseph Borell, aura beau menacer, enrager, et taper du pied, cela ne changera rien au fait bien qu’il soit animé par un antisémitisme notoire et un pro-palestinisme maladivement assumé, il n’aura pas l’unanimité pour faire adopter ses résolutions scélérates digne du régime nazi, lequel, faut-il le rappeler, faisait porter l’étoile jaune aux Juifs d’Europe avant de les massacrer ; monsieur Borell, citoyen d’un pays où est née l’Inquisition et l’expulsion des Juifs d’Espagne en 1492, manifestement  ne renie pas ses origines (il n’y a pas de quoi être fier). Non ce n’est pas par la menace que se réglera le conflit du Moyen-Orient. De plus, il serait raisonnable, avant de donner des leçons de savoir-vivre, que ces mêmes résolutions soient appliquées à la Turquie qui occupe une partie de l’île de Chypre qui est membre de l’Union européenne, ou à l’Iran qui occupe illégalement l’Ahvaz et qui a confisqué leurs terres aux paysans ahsawis.

Mais non, l’Europe tremble devant ces potentats qui sont trop bons clients. En revanche, l’Europe n’a pas peur d’Israël, « petit pays de merde » comme disait un ambassadeur anglais, et c’est tant mieux, ce n’est pas l’ambition de ce pays, lequel a pour vocation la paix et l’entente entre les peuples mais pas au prix d’un quelconque abandon de souveraineté sur ses terres historiques.

Israël est un exemple de démocratie et d’espoir pour les peuples du monde ; il fait la démonstration que l’on peut gagner sans abandonner son honneur.

Il serait temps que l’Europe prenne exemple sur la vraie démocratie, sur cette démocratie qui autorise ses ennemis affichés à siéger dans un même parlement pour leur permettre de faire entendre leur voix autrement qu’avec les armes.

Petite histoire en guise de conclusion : « une société est sollicitée pour décrocher un marché important pour son business mais à une condition : qu’elle renonce à travailler avec Israël !

Le magot étant important, presque l’unanimité du conseil d’administration est disposée à se compromettre, sauf l’un d’eux qui explique :

« si nous acceptons l’offre des pays arabes, Israël va devoir se procurer par ses propres moyens les produits que nous ne voudrions plus lui livrer, et dans ce cas nous risquons d’avoir un concurrent redoutable sur notre marché qui nous coûtera plus cher que nous rapporte ce marché avec les pays arabes ».

C’est ainsi que la société préféra abandonner ce marché juteux pour rester dans la course.

Que l’Europe prenne de la graine de ce petit récit et en fasse un grand profit.

Guy Sebag