Kevin égorgé dans le Vaucluse, Hollande brandit le sabre des assassins à La Mecque !

Ainsi Kévin, amoureux d’une petite maghrébine, a-t-il été massacré, puis égorgé. Une capture, un jugement sommaire, une exécution parfaitement ritualisée, telle est la Justice qui s’exerce désormais en France lorsqu’il est question de cet honneur importé du monde musulman, prérogative imbécile autant qu’assassine couverte par le silence complice de nos gouvernants.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/12/30/tue-parce-que-le-frere-de-sa-copine-etait-contre-leur-amour

Crime permis, encouragé, assumé par les Écritures. Meurtre prémédité depuis quatorze siècles. Suite logique d’une saga rouge sang dont les épisodes, comme ceux d’un feuilleton télévisé, s’écrivent au jour le jour, à l’intérieur de notre civilisation, sur un canevas unique approuvé par les autorités de l’État.

Kevin a été capturé par une bande de fanatiques suffisamment intoxiqués par le dogme pour considérer sa liberté de vivre et d’aimer comme une insulte à leur idole. De cela, Madame Taubira n’a strictement rien à faire. Les bourreaux de Kevin sont considérés par elle, jusqu’à plus ample informé, comme des révoltés affrontant une société injuste, cruelle, qu’ils sont fondés à défier par les forces mentales dont ils sont le logis. Kevin voulait mettre un peu d’humain dans cette jungle. Il avait tort, il a payé. Normal.

Kevin a été estimé coupable d’une sorte d’incitation à l’adultère en milieu divin, son amie étant par avance destinée à servir son Dieu et sa race par la pureté absolue de ses engagements. Pas de kouffar à moins de cinq cent mètres de la cité, passions halal certifiées Islam de France et visions du Prophète à toute heure de la nuit. De cela, Madame Aubry se moque éperdument. Cette dame s’emmerde à moins de 35% d’harissa dans son ragoût de mouton. Pour elle, Kevin a sans doute eu le tort de vouloir amalgamer ses 2% résiduels de culture chrétienne à cette sauce hautement toxique. Il en a été puni. Normal.

Kevin a été torturé par des sicaires débarrassés de toute compassion humaine dès lors que l’objet de leur colère n’étant défendu par personne, ils pouvaient en faire ce qu’ils voulaient, de la pâtée pour chiens, une charpie pour emballer la viande, de la moquette pour la prière ou des sacs-poubelles. De cela, Monsieur Valls n’a strictement rien à foutre. Kevin avait vécu assez longtemps dans un monde où policiers et gendarmes ne mettent même plus un orteil. Kevin a pris des risques malgré les mises en garde et avertissements officiels. Il a payé. Normal.

Kevin a été achevé au couteau selon la méthode préconisée par tous ceux qu’intéresse la perpétuation de la bonne croyance, de l’observance des textes et des techniques judiciaires éprouvées. La presse française que fait vomir le mot “égorgement rituel”, parlera de coup à la carotide, de traumatisme jugulaire et, la concernant elle-même, d’aveuglement-surdité volontaire. Kevin a saigné longuement avant de mourir et il y a fort à parier que des versets du Coran auront été psalmodiés tandis qu’il se vidait. Kevin était au courant de ces lâchetés-là, et de cette épouvante. Il s’est bêtement obstiné, et a payé. Normal.

Hollande et le sabre islamique1De cela, Monsieur Hollande, Président de la République Française, se contre fout saoudiennement. Pitre réclamé sur toutes les scènes du monde, phare agonisant de l’Histoire de son pays, lueur de bougie morte, il tient en main, cerné par l’Arabie rigolarde, le sabre avec lequel les “Seigneurs” du Vaucluse ont tranché la gorge d’un pauvre gamin de chez nous. Loin des lieux où coule la rivière écarlate, échangeant sa nation et son peuple contre de l’essence, jouet mécanique donnant le la à sa galerie de fantômes, pitoyable et indifférent, l’homme que les Français ont hissé sur le trône de leur pays contemple le cadavre de Kevin et, d’un revers de main, sans même une parole, donne l’ordre qu’on en débarrasse le plus rapidement possible sa très précieuse vue.

http://www.francetvinfo.fr/monde/video-hollande-sabre-a-la-main-en-arabie-saoudite-j-en-aurai-besoin_493562.html

Alain Dubos