La caste mondialiste installe un régime fasciste et totalitaire
Le terme fascisme dérive de fascio = faisceau, union étroite de forces. Le fascisme est un mouvement politique fondé à Milan par Benito Mussolini pour conquérir le pouvoir et imposer à l’Italie un régime de dictature de 1922 à 1945.
Le mouvement politique créé par Macron en 2017 et la politique menée depuis lors présentent de nombreux points communs avec le fascisme de Mussolini.
La démocratie libérale est incapable de répondre aux problèmes du moment.
Des fasci locaux sont créés dans la plupart des grandes villes. Macron dispose de réseaux.
Tout est dans l’État, rien contre l’État, rien en dehors de l’État. Telle est la conception de l’État.
L’alliance de la petite bourgeoisie et de la grande bourgeoisie transparaît.
Parmi les nombreux adhérents au mouvement, on rencontre des républicains, des arrivistes, des aventuriers, des idéalistes, des mécontents.
Le courant exprime des intérêts divers, dans un amalgame d’aspirations, en premier lieu la cause et la sympathie du grand capital, et rencontre des complicités multiples.
Le régime est établi sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation d’un sentiment national. Avec Macron, le centrisme, ralliement des partis à la pensée unique, et sentiment mondial cosmopolite.
Le régime ne s’instaure pas par un coup d’État, mais avec l’appui d’un parti de masse.
La doctrine vise à remplacer un régime démocratique par un régime autoritaire.
Mussolini propose un programme assez vague, mais prometteur. Macron aussi.
Mussolini cherche à gagner la sympathie de la petite bourgeoisie et des masses. Macron aussi.
Le sens de la vie est ramené à la lutte pour la suprématie des individus « d’exception » sur les autres. On formule une doctrine : l’exaltation de la volonté et de « l’héroïsme » chez les individus « au-dessus du commun », l’unité des classes sociales au service de l’État.
La vie parlementaire continue, les principes « démocratiques » perdurent, en apparence.
Une série de lois liberticides et de dispositions arbitraires font de Mussolini le « Duce » et de Macron Jupiter le tyran.
Les opposants sont arrêtés, déportés, ou contraints à l’exil.
Un tribunal est institué pour juger les délits politiques, en France, la XVIIe Chambre correctionnelle, et de nombreux tribunaux.
La milice armée est renforcée.
Des moyens permettent d’organiser le pays selon les normes fascistes : l’encadrement de la population, l’embrigadement de la jeunesse dès l’enfance.
Les enseignants soumis appliquent les directives venant du pouvoir.
L’histoire est révisée pour exalter la grandeur nouvelle de l’État fasciste, État national fasciste en Italie, État européen et mondial fasciste aujourd’hui.
L’État contrôle la radio, la presse, le cinéma, la télévision, les arts.
La population est conditionnée. Une mise en scène constante crée une atmosphère de grandeur à la gloire du régime.
Les libertés politiques sont abolies. La culture est mise au service du régime.
L’opposition politique est étouffée dans l’œuf par la police et les tribunaux.
Le pouvoir législatif perd toute importance en faveur du pouvoir exécutif.
La liberté de la presse est supprimée.
La popularité baisse, mais le fascisme demeure très puissant, car il s’appuie sur un appareil policier implacable, impitoyable et barbare.
La machine fasciste s’engage imprudemment dans la guerre, Mussolini aux côtés de l’Allemagne nazie dans la Seconde Guerre mondiale, Macron aux côtés de l’Amérique impérialiste en Ukraine, dans une guerre qui pourrait devenir mondiale.
Le fascisme verse inévitablement et systématiquement dans le totalitarisme. Totalitarisme diagnostiqué et certifié par ces critères : le monopole des médias, le monopole du corps policier, la persécution des opposants, l’interdiction de toute critique, la direction centrale de l’économie, le système de surveillance des individus, l’encouragement aux délations, la logique concentrationnaire orchestrée par la terreur, la politique de la table rase, le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, l’idéologie construite sur l’ennemi visible ou invisible, sur la pureté.
La pensée de masse justifie la levée des interdits anthropologiques qui fondent une civilisation : le meurtre, l’inceste, la pédocriminalité…
Divers comportements manifestent un délire paranoïaque : le déni de réalité, la réalité, l’expérience n’existent pas, un ennemi nous veut du mal (un virus, le climat, le Russe), la mégalomanie, l’intérêt pour le contrôle, la certitude délirante, la négation de toute objection, de tout doute.
Le harcèlement des esprits est l’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire.
La propagande est masquée par de subtiles manipulations, comme « c’est pour votre bien », par des incohérences, des absurdités, des paradoxes. Elle nie le passé, les origines, les repères, toute forme d’altérité. Elle reflète l’ambition de l’homme nouveau.
La mise au pas des opposants se produit par l’élimination, la soumission des masses se réalise par la terreur. L’arbitraire suscite incompréhension et sidération.
Le pouvoir totalitaire impose des protocoles sociaux quasi religieux : centralisation absolue du commandement, exigence de loyauté intégrale et aveugle, suppression des opinions dissidentes, promesse de protection, assurance de bonheur, de pouvoir, d’argent, liberté de mouvement, loisirs. Ce pouvoir ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations.
Les corps sont remplaçables et interchangeables, n’ont plus aucune valeur. Le but est l’annihilation du sujet humain, la destruction de la personne morale.
Le totalitarisme n’a plus besoin de l’humain, il prétend créer de l’humain à partir de rien, c’est le projet de l’homme nouveau. Il faut supprimer la liberté humaine et l’humain pour faire régner la notion de pureté.
Désormais, on distingue les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels. Les plus fragiles ne résistent pas à une telle distorsion interprétative, à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique, et de la terreur.
La contagion délirante se propage, rend l’individu perméable à l’idéologie, adepte inconditionnel de la secte totalitaire.
Le système totalitaire ne respecte pas les lois immuables du vivant. Il détruit les lois transcendantes régissant la condition humaine. il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, par la compromission des esprits et du langage, par un renoncement à la vérité, donc à la justice, par le primat de la peur, donc de la haine.
Notre Liberté se conquiert par le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, par la lecture, y compris de textes difficiles, par des analyses approfondies de certains sujets. Ce fut toujours le rôle des Humanités. C’est bien pourquoi, depuis Mai 68, ils ont commencé à détruire les Humanités, à privilégier les faits divers et le sensationnel.
Deux exemples illustrent les dérives accablantes du totalitarisme-fascisme.
1- L’Euro numérique. L’Union européenne met en place l’Euro numérique. Tous nos achats seront soumis à des autorisations préalables, via un système de pass énergétique et sanitaire. Les transactions seront contrôlées en temps réel et l’usage de la monnaie sera programmé. Une fois le crédit carbone épuisé, nous ne pourrons plus faire le plein de carburant. Nous ne pourrons plus épargner, nous serons obligés de dépenser tout notre crédit dans un délai fixé par l’État. L’Euro numérique, c’est la suppression de l’argent liquide, des espèces. L’Euro numérique, c’est l’abolition de la propriété privée, l’annulation de la vie privée, l’amputation des libertés. L’Euro numérique, c’est la surveillance et le contrôle des déplacements, des achats, de l’alimentation. L’Euro numérique conduira à la privatisation de l’énergie, de l’eau, des terres. L’Euro numérique fait partie de l’Agenda 2030, c’est-à-dire le développement durable.
Surveillance totale des transactions, restriction des libertés de mouvement et d’achat, avènement d’un revenu universel synonyme d’un communisme généralisé. L’Euro numérique, c’est une atteinte fondamentale à la liberté, au droit de propriété, et au principe d’égalité.
2- La sexualisation des enfants. En 2017, l’OMS a présenté un programme de santé sexuelle 2017-2030. Ce programme fait aussi partie de l’Agenda 2030 et concerne les droits sexuels. L’essence du droit, c’est de protéger l’intégrité des individus, la justice a pour fonction de protéger l’intégrité des individus, en particulier le droit pénal. Les droits sexuels introduisent un contresens sur le terme de droit. L’expression droits sexuels signifie un droit à jouir, un droit à la jouissance, une jouissance à exercer ses droits en matière de sexualité. On passe d’une protection des victimes à un droit des prédateurs. Les rapaces sexuels ont le droit de s’éclater dans toute leur perversité. La dérive totalitaire s’en prend toujours aux enfants. Mais on peut aborder le sujet sur l’ensemble des personnes vulnérables, le droit d’exercer ses désirs sexuels sur n’importe qui. L’OMS a une volonté de prise de contrôle des populations dans tous les domaines de la santé. L’OMS prévoit d’imposer aux médecins des protocoles de soins en fonction des maladies, de fixer aux citoyens du monde des séances régulières de vaccination.
Une mafia fondée par les banquiers et financiers milliardaires, contrôlée par les lobbies, protégée par la haute bourgeoisie politique et universitaire, organise et incruste ce système de mise en esclavage de l’humanité. Du moins l’humanité occidentale, qui n’a plus rien d’occidental car elle a perdu toutes ses valeurs et traditions occidentales. Non seulement, les gouvernements, les prétendues élites ne défendent plus les intérêts des peuples, mais ils mènent une lutte à mort contre les peuples. Partout ailleurs, la Russie, les pays d’Asie, d’Afrique, et d’Amérique du Sud refusent cette structure unipolaire fasciste et totalitaire, et adhèrent à un monde multipolaire où chaque nation peut s’épanouir librement sans rendre de comptes à un véritable gang de voleurs-écumeurs, de parasites, de sangsues.
Les gens ne comprennent toujours rien aux enjeux historiques et authentiques du mondialisme : la chute de la civilisation, la mort de l’homme, le changement de l’anthropologie humaine, la dégénérescence morale, sexuelle, culturelle, spirituelle, politique, l’asservissement de la plèbe. Ils manifestent contre la réforme des retraites, mais ne discernent pas les autres dessous profonds qui accompagnent en catimini cette réforme et qui ne les concernent pas directement.
Le pouvoir a trouvé la parade imparable face aux résistants : la qualification d’extrême droite fasciste. Dénoncer l’immigration de masse = xénophobie, racisme. Dénoncer les banquiers et financiers qui accaparent les richesses et exploitent les populations = antisémitisme. Dénoncer la tyrannie LGBTIQ = homophobie. Dénoncer les mesures sanitaires et la vaccination anti covid = complotisme, témoins de Jéhovah, sectarisme. On tue le messager pour qu’on n’entende pas le message, vieux procédé stalinien. Ainsi, on clôt la discussion, on barricade le dialogue, on cadenasse le débat, on interdit l’argumentation.
Le fascisme et le totalitarisme sont bien à la tête de l’État et parmi les militants. Les antifas et les Black Blocs, vrais casseurs appelés et payés par le pouvoir, participent aux manifestations, détruisent et saccagent les vitrines, les magasins, commettent des inscriptions antisémites, pour discréditer, diffamer, disqualifier les marcheurs pacifiques. Antifas et Back Blocs sont les vrais fascistes, à la solde du pouvoir. C’est bien l’ultime preuve du fascisme et du totalitarisme des gens qui nous gouvernent.
Jean Saunier