La course à la mort d’Emmanuel Macron : ce sera lui ou nous

Macron, sachant qu’à l’issue de sa gestion incohérente de la crise du Covid-19, des centaines d’actions en justice vont le viser lui et ses sbires, sachant que la colère terrible de grands pans de la société qui font, additionnés, la quasi-totalité du pays, forcera les juges à se montrer sévères et prononcer des peines de prison, maintenant qu’il sait donc que la punition judiciaire de sa bande est inévitable et que lui-même n’y échappera pas non plus, veut éviter cette expérience pénible et faire voter, par son parlement de godillots, une auto-amnistie.

Les Français assoiffés de justice

Dès lors, en s’auto-amnistiant pour échapper à la juste punition que réclament les Français assoiffés de justice, il ne leur laisse plus d’autre choix que de la faire eux-mêmes. Dans le même temps, comme il aime à dire, installé dans les privilèges de l’état d’urgence, il multiplie les actions liberticides. Il pousse donc les Français à l’insurrection en faisant le double pari que d’une part ils n’oseront pas en venir là car ils sont légalistes par nature et aussi trop nombreux à chérir la paix civile au point de lui sacrifier leur amour-propre, et que d’autre part les violences infligées aux Gilets jaunes, éborgnés et mutilés à gogo, ont installé une peur si profonde dans la population que celle-ci n’aura pas le courage d’affronter les CRS dans la rue pour aller chercher jusque dans les ministères ceux qui doivent payer pour leur incurie criminelle.

Le pari de l’impunité

Macron veut encore une fois, non seulement échapper à toute sanction, mais aussi humilier les Français en les mettant face à leur pusillanimité. «  Vous êtes des veaux ! » leur crie-t-il, reprenant les mots d’un autre qui nous méprisait autant que lui – et ils ont ceci en commun. «  Vous êtes des veaux et vous avez tellement faim de retourner au boulot et de sauver votre économie, que je fais le pari que vous n’oserez pas et que votre faiblesse m’offrira l’impunité ! » Macron sait qu’aujourd’hui son pouvoir est au mieux méprisé, le plus souvent haï, par une majorité écrasante de la population. Lui, le génial, le brillant Macron, celui qui durant toute sa carrière a été accompagné d’éloges, voilà que parvenu au faîte de son parcours, au saint des saints, la présidence de la République, se retrouve méprisé, détesté, et surtout ridiculisé.

Il nous punit de ne pas l’aimer

Son nom, celui de cette équipe à ses ordres, signifie maintenant incompétence, négligence criminelle, mensonge, dangereuse et mortelle incurie. Il est le dernier des derniers, et se retrouver dans la peau de ce Président failli, honni, est ce qu’il ne nous pardonnera pas, même s’il ne peut s’en prendre qu’à lui-même (mais cela il ne le fera jamais, il est trop immature). Alors, puisque les électeurs ont inconsidérément mis dans ses mains les outils de la puissance absolue, dictatoriale, de la Présidence selon la Ve République, il s’en sert et va s’en servir. Il est désormais lancé dans une lutte à mort contre nous, contre la France. La France ne l’aime pas ? Il l’a punie, il la punit et il va la punir.

Belloubet à la blême figure de goule

Il a puni les Gilets jaunes avec la cruauté et la brutalité d’un enfant instable martyrisant son chat et son chien – il ne nous estime pas plus que cela.

Il a puni toute la France à travers ses ancêtres en traînant notre histoire dans la boue à chacune de ses sorties africaines.

Il punit la France en invitant à l’envahir toujours plus de migrants, de parasites et de nuisibles criminels.

Il punit les personnels de santé qui avaient manifesté contre lui l’hiver dernier, en leur jetant à la face, en proclamant, qu’il allait donner 1,3 Md d’euros à l’Afrique quand il n’a pas eu d’argent pour donner des masques à ceux qui s’exposaient chez nous au virus dès le mois de janvier.

Il punit les Français en relâchant dans la rue par milliers, d’un coup, les criminels qui tuent ou mutilent leurs enfants dans les rues, tous ceux qui les volent, les pillent, leur rendent la vie quotidienne dangereuse. Ce faisant, il crache au visage des parents de Marin, et la sinistre Belloubet, sa ministre de l’Injustice, ricane, blême figure de goule.

Sibeth, pour nous faire mourir de honte

Il punit encore les Français en leur infligeant l’humiliation de donner pour voix au gouvernement censé les représenter, une grosse Africaine, stupide, moche, habillée comme un clown rutilant, et provocatrice : « Je vous mentirai aussi souvent qu’on me le dira de le faire ! » nous signifiant d’emblée qu’il n’y a rien à croire de ses dires, et disant tant n’importe quoi que même si l’on avait voulu, on serait bien incapable d’en retenir quoi que ce soit. Il sait qu’elle incarne le summum du grotesque, qu’elle rabaisse et humilie la France à chacune de ses apparitions, mais il la garde, pour nous dire : « Elle vous fait honte ? Cela me réjouit ! ».

Il punit les Français, il les humilie en leur disant qu’ils n’ont pas le droit de fermer leurs frontières, pas plus aux migrants qu’aux touristes étrangers qu’ils nous convient à voir passer, depuis nos fenêtres, eux qui s’en vont pour des horizons lointains et méditerranéens tandis que lui nous a condamnés à ne pas nous éloigner de plus de cent kilomètres. Histoire que nous sentions bien la laisse sur notre cou ?

Il va se servir de nos enfants pour nous contaminer…

Il punit les Français en favorisant la relance de l’épidémie – car le mouvement semble si délibéré qu’on peut légitimement s’interroger sur la finalité – en rouvrant les écoles primaires dès le 11 mai. Cet homme qui n’a jamais eu d’enfant va permettre aux nôtres, qui véhiculeront le virus, de nous contaminer. Orgueil fou – il veut avoir raison contre le monde entier – ou suprême perversité mêlée de cynisme absolu ?

Il nous a punis aussi, et plus gravement, dans le même registre, en nous refusant l’utilisation de la chloroquine pour contrer la maladie à ses débuts, au risque – et le résultat épouvantable est là – de morts bien plus nombreux. Sa responsabilité est totale, sa culpabilité évidente.

La fermeture des églises : une brimade délibérée

Il nous punit encore en interdisant aux églises de rouvrir, alors que les gens vont se presser dans le métro dès la semaine prochaine. Comment ne pas y voir une brimade délibérée qui procure à cet anti-catholique obsessionnel une jouissance malsaine ?

Il a puni des centaines de milliers de Français en leur infligeant des amendes pour s’être déplacés sans ausweis, tandis que les quartiers islamisés organisaient fêtes publiques et barbecues.

Il a puni les Français en leur offrant le spectacle honteux de leur police refluant ou s’enfuyant devant des bandes de racailles islamisées.

Il va nous punir tous en nous écrasant d’impôts et de taxes pour financer l’aide « massive » qu’il va distribuer, comme d’habitude, en dépit du bon sens, et en priorité à ses clients chéris des quartiers ci-dessus dépeints.

Il nous déteste tant !

Il a fait tout cela, et il va faire bien plus encore, car si nous le haïssons désormais, il nous déteste, lui, depuis si longtemps, d’une manière si étrange et anormale, quasiment maladive, que nous pouvons raisonnablement nous poser la question de sa santé mentale. L’auteur de ces lignes, depuis qu’il a vu le candidat Macron s’égosiller hystériquement dans ses meetings de campagne présidentielle, en est persuadé : ce type est un fou, qui veut une fin dramatique, théâtrale, un Götterdämmerung wagnérien, une sorte de catastrophe totale qui nous engloutisse tous, en même temps que lui. Macron, c’est Hitler dans son bunker de la Chancellerie, au printemps de 1945, disant à Speer que les Allemands méritent de tous mourir puisqu’ils n’ont pas été capables de lui donner la victoire, puisqu’ils ont déçu leur Führer. Mais le ridicule est encore ici au rendez-vous, cette malédiction qui lui colle à la peau, puisque comme Führer, il n’a pas fait fureur et qu’à la place de Wagner, on a eu du zouk gay !

Il crie « chiche ! » depuis son donjon élyséen

Lancé maintenant dans une lutte à mort contre la France et les Français, Macron ne mettra fin à ses nuisances que quand ceux-ci seront venus le chercher, manu militari, en son palais.

En attendant cet événement, il continuera son œuvre de destruction, ses mille petites vengeances contre nous qui ne voulons pas l’aimer, pour nous démontrer qu’il est le plus fort contre nous qui ne pouvons rien contre lui, puisqu’il est le Président.

Il crie « Chiche ! » aux Français depuis son donjon élyséen,  certain que nous sommes trop lâches pour comprendre que si nous n’allons pas le chercher là-haut, jamais ni lui ni ses amis ne seront punis.

Prochaines punitions ? Devant sa panoplie d’actes malfaisants, il doit hésiter. Voyons ? Une invasion migratoire ? Embastiller Marine Le Pen ou, plus facile, un ou deux de ses principaux lieutenants ?  Bardella ? Bay ? Un pacte avec Erdogan pour passer de l’enseignement de l’arabe en primaire à l’islamisation accélérée ? La ruine de dizaines de milliers d’entreprises et de millions de destins brisés ? Ah, zut, non, c’est déjà fait…

Une rapide et expéditive révolution

Il ne nous laisse pas le choix. Il ne s’arrêtera pas. À moins que, sortant de notre confort, nous ayons le courage d’opérer une rapide et expéditive révolution, pour mettre à bas le tyran qui nous hait. Car il nous dit clairement : c’est maintenant lui ou nous. Comble de jubilation, il nous voit réduits à mendier le respect de nos libertés essentielles : de culte, de travailler, et d’aller et venir. En nous rendant cette dernière, il nous fera croire qu’il nous fait un somptueux présent. Vous en entendrez plus d’un, dans sa reconnaissance d’être enfin libre, et trompé par les médias, trouver à Macron plein d’excuses. Le syndrome de Stockholm guette la France, cette dérive mentale qui entraîne l’otage à prendre la défense de son persécuteur! Or la course à la mort de Macron, aigri et haineux, est loin d’être achevée.

Emmanuel Albach