La crise sanitaire m’a fait comprendre l’existence des camps de la mort

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Désigner une Le Pen pour conjurer le danger actuel (très prisé chez Canal+) c’est exactement l’histoire du sage qui montre la lune et de l’imbécile qui regarde le doigt. Ne serait-ce que le mari de Brigitte, que cette dernière fourra dans son lit alors qu’il n’avait que 17 ans, selon la rumeur, et qui dorment tous les deux à l’heure actuelle à l’Élysée, (mais que s’est-il donc passé ?) Macron, donc, pour ne pas le nommer, et qui a un besoin vital de celle qu’il dénonce pour se faire élire et ré-élire encore et encore. Ne croyez pas pour autant que le personnage et ses « idées » (Le Pen) m’intéressent : personnage quelconque, fut-il vital néanmoins pour la ré-élection de l’autre quelconque capitaliste parvenu de l’Élysée. La politique semble en être rendue là.
 
Cette « crise » sanitaire, déclenchée probablement par un virus de labo bidouillé qui s’est retrouvé dans la nature par erreur (ou non : personne ne le sait, sauf peut-être les « milieux autorisés » comme dirait Coluche) m’aura infiniment appris.
 
Elle m’a peut-être permis de comprendre pourquoi une catastrophe comme celle des camps de la mort a pu se produire. Probablement parce que, en amont et à l’époque, personne n’y a cru. Du moins ceux qui y ont cru et ont dénoncé le danger semblent avoir disparu, et j’ai toujours été étonné du peu de cas fait de leur mémoire : étonnant que personne n’ait rien vu venir. En lisant quelqu’un de déjà connu à l’époque, Bernanos, dans Les Grands Cimetières Sous La Lune à propos de la guerre d’Espagne (paru en 1938) prévient pourtant en évoquant Adolf : vous allez voir le genre de guerre que va vous faire ce type d’hommes… Après guerre, quelqu’un comme Churchill écrit encore dans ses mémoires : il aurait suffi de lire attentivement Mein Kampf, tout était écrit…

Hormis cela, peu à se mettre sous la dent concernant les rares « complotistes » anonymes ou non qui auraient pu voir venir le coup des camps de la mort. (Je ne parle pas ici de l’ennemi Bolchevique qui forcément dénonça ce que même le Vatican dénonça dans le nazisme : une idéologie raciste et totalitaire)
 
L’on sait cependant un peu mieux l’implication cynique des banques ou milieux d’affaires américains dans le financement du renouveau Allemand de l’entre-deux-guerres. En parfaite continuité avec, par exemple, la carrière de l’ex-nazillon de von Braun aux USA après-guerre : véritable héros du programme spatial américain, plus particulièrement du programme Apollo. Il me semblait pourtant avoir lu dans quelque ouvrage le mauvais souvenir laissé auprès de certains ouvriers-esclaves français de Peenemünde par le nazillon von Braun lorsque ce dernier venait superviser l’avancée des travaux sur les V-1/V-2, vous savez, ces missiles balistiques conçus par le nazillon von Braun et qu’Adolf balança tout de go sur les civils londoniens.
 
Qu’Adolf ait pu être perçu comme une solution n’est pas sans me rappeler l’attente religieuse de nos contemporains pour Pfizer, pourtant condamné à + de 10 milliards de dollars d’amendes en tous genres en l’espace de 20 ans (2000-2020), à mes yeux le même cynique capitalisme que celui qui finança Adolf & consort. Entendons-nous : je ne fais pas non plus une fixette sur l’industrie pharmaceutique à qui il arrive sans doute par hasard de nous sauver la mise ici ou là en empochant les milliards au passage, mais tout de même, ces autres milliards de terriens terrorisés qui n’ont pas hésité à tendre un bras éploré récemment : s’il te plaît, ô Pfizer, sauve-nous la vie !
 

Et ce n’est peut-être pas fini. Je ne vous le cache pas : je suis inquiet.

 

Silvio Molenaar
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12 Commentaires

  1. Faudrait dire :”S’il te plait Pfizer donne-nous la maladie entraînant la mort dans plus ou moins longemps!” Apparemment c’est ce que souhaitent nos contemporains!” Ansi plus de soucis pour l’avenir !….

  2. N’oubliez jamais : La médecine Allemande fut la profession la plus nazifiée sous le troisième Reich : Il en est resté quelque chose dans la mentalité de certains Diafoirus, Heureusement pas tous!

  3. Depuis la seconde guerre mondiale et les trente glorieuses qui ont suivi, les Français ont eu le sentiment de vivre dans la paix. Des individus comme Cohn Bendit ont même dit que “l’Europe, c’est la paix”. Les Français ont du mal à réaliser la grande offensive du Mal, le grand retour de l’idéologie nazi (l’homme nouveau, Attali) avec la crise sanitaire et la quasi-obligation de se faire vacciner avec un vaccin poison et l’interdiction de se soigner (sauf avec du Doliprane complètement inopérant). Les multiples lois liberticides sont là pour emprisonner et réduire en esclavage mental tout un peuple.

  4. À propos du capitalisme cynique, sans morale et sans lois : “La délinquance des pauvres, qu’on croyait improductive, est désormais reliée aux réseaux qui produisent le profit. Du dealer de banlieue jusqu’aux banques de Luxembourg, la boucle est bouclée. L’économie criminelle est devenue un sous-produit de l’économie globale, qui intègre à ses circuits la marginalité sociale. »
    ( Jean-Claude Michéa – L’enseignement de l’ignorance et ses conditions modernes – 1999 )

    • Me concernant, je pense depuis quelques années déjà que la dite “chute du mur”, qui me réjouissait à l’époque, signifiait, mais je l’ignorais alors : quartier libre désormais pour les multinationales et les puissances du fric, le capitalisme n’ayant plus vraiment à se préoccuper de l’ennemi communiste. La situation européenne au sortir de la crise sanitaire (Von der Leyen et son copain Bourla de Pfizer & Co n’étant qu’un des innombrables symptômes du cancer pré-cité.

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