La culture du viol et le racisme anti-Blanches de nombre de migrants…

Les Européennes, les Blanches, pour nombre de ressortissants de cultures exogènes ont des mœurs décadentes. Certains parmi les vastes flots d’immigrants appelés en Europe par les gouvernants, souhaitent en conséquence leur permettre de s’intégrer à leur culture progressiste. Ceci par des actions préventives et punitives qui vont de la révision des canons de la haute couture à l’apologie de la violence conjugale, la vertueuse correction sexuelle à visée plus large, quant à elle, permet d’allier le plaisir à l’œuvre majeure de domination.

L’archétype de la Blanche, c’est la blonde, peau diaphane et yeux clairs. Le mythe de la féminité à défoncer. Ce n’est pas un hasard si Stockholm est la capitale mondiale du viol ; mais c’est aussi celle du syndrome éponyme. Afin d’excuser les crimes sexuels, les grands moyens sont déployés : masochisme affecté et goût morbide pour l’autodestruction sont dévoués au culte de la compassion pour l’agresseur et de la culpabilité de la victime. Ainsi, pour expliquer le fait que dans un pays à la pointe du féminisme où l’égalité politique est au mieux réalisée, les viols aient à ce point augmenté, d’éminents experts, dont des femmes, avancent de bien curieuses raisons. Le problème, ce serait le mode de vie des Suédoises, qui sortent, boivent, font des rencontres sur internet, et ont la fâcheuse tendance à identifier à du viol un rapport forcé même sans « violence » (en réalité bons nombre de crimes sexuels là-bas sont d’une barbarie inouïe). En d’autres termes, si les Suédoises restaient à la maison et que le viol n’était plus considéré comme du viol, il n’y aurait plus de viol. C’est plein de bon sens, mais nous aimerions quand même savoir combien sont payées par les islamistes celles qui parlent ainsi, ou leur proposer un bilan psychiatrique, le cas échéant. D’autres, vraisemblablement d’obédience fascisante, disent que l’explosion du nombre des viols est à mettre en rapport avec la volonté du parlement suédois de faire de la Suède un pays multiculturel, ce qui se défend.

Les jeunes Anglaises payent aussi un cher tribut au multiculturalisme masochiste. Au Royaume-Uni, pays où le communautarisme est roi, un rapport rendu public en 2014, a dénoncé une longue série de viols particulièrement odieux sur une période de 16 ans, de 1997 à 2013, à Rotherham, dans le Yorkshire, commis par de nombreux hommes majoritairement pakistanais. Durant cette période, environ 1400 jeunes filles britanniques entre 11 et 16 ans, ont été abusées sexuellement, elles n’ont pas été accueillies ni secourues par la police ou les services sociaux, et les autorités locales n’ignoraient rien du scandale. Les agresseurs prenaient principalement pour cible les enfants vulnérables de « type caucasien », placés en unités résidentielles par les services sociaux. La réalité a été ignorée en dépit de trois rapports effectués entre 2002 et 2006. Une ancienne députée travailliste a affirmé que les autorités n’avaient pas considéré les plaintes, parce qu’elles étaient pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme. D’autres villes dont Oxford, Bristol, Derby, Telford, ont aussi connu de tels scandales.

En matière de blondes, les Teutonnes également sont bonnes. On se souvient de la vague d’agressions sexuelles collectives qu’a connue l’Allemagne durant les célébrations du Nouvel An le 31 décembre 2015 (onze villes ont été touchées), le nombre d’agresseurs étant estimé à 1 500 rien que pour Cologne. Les suspects principalement des demandeurs d’asile et/ou des immigrés en situation illégale sont décrits comme nord-africains ou arabes. Mais c’est aussi la Finlande, la Suède, la Suisse et l’Autriche qui ont été touchées par de telles violences dans la même nuit. Partout les autorités et les médias ont tenté tant qu’il était possible de cacher ou de minimiser les faits. Et bon nombre de femmes agressées ont tardé avant de porter plainte, quand elles l’ont fait. Il s’est trouvé des féministes pour estimer que ces agressions équivalaient aux avances un peu lourdes que pouvaient faire des natifs éméchés lors de la fête de la bière, saisissant l’occasion pour s’en prendre au mâle blanc, coupable exclusif des actes sexistes, selon la doxa pseudo-féministe.

Les Françaises aussi sont des grosses salopes, surtout les souchiennes. Mais il faut parfois s’y mettre à plusieurs dans les caves du 9-3 ou autres extensions de jungles, pour leur apprendre le « vivre ensemble ». En France, les viols sont en constante augmentation (18 % de 2010 à 2015), surtout chez les plus jeunes (20 %). Nonobstant, la Maire de Paris a fait ouvrir en plein centre-ville des camps occupés majoritairement par de vaillants jeunes allochtones désœuvrés. Bien entendu, il y en a pour tout le monde de la convivialité multiculturelle, et, bien des lieux publics en province, des centres de vacances aux châteaux, hébergent désormais les représentants des nouvelles cultures françaises.

Les viols des Européennes par des immigrés ou « migrants » de cultures exogènes sont pour l’essentiel des viols correctifs. Il s’agit d’une part, de punir la femme libre en lui signifiant que les limites de son action sont les désirs des hommes archaïques, de s’opposer ainsi à la culture occidentale, mais aussi de corriger la couleur jalousée et haïe, par le métissage forcé. L’épuration ethnique désigne le maître, révélant non pas le sujet mais l’objet.

Par le viol correctif, l’immigrant veut marquer son territoire dans une logique d’invasion. La brute utilise son sperme comme le chien son urine. L’aspersion est à large spectre, à la mesure des politiques globalistes tentant de détruire les nations, l’État de droit et la Culture Politique en voie de disparition, par toutes les entrées. Contrôler les femmes par la violation de leur sphère privée, c’est mater l’indépendance des cheptels et bénéficier de la natalité des serfs indifférenciés. Le désir hégémonique à l’œuvre, plus prosaïquement, est une pulsion de domination qui prend pour objet le sexe féminin, de la petite fille à la personne âgée, car le viol correctif est un viol négationniste. Un migrant qui se tape une grand-mère voire une arrière-grand-mère veut raturer sa digne mémoire personnelle et celle de sa nation, de sa culture. Or, on n’ensemence pas l’histoire, on peut juste régresser ; tel est le dessein. Quant à la pédophilie elle est l’œuvre de ceux qui ne sont pas à la hauteur des femmes, et portent la négation de la différence générationnelle au rang de droit à la perversion dominatrice envers les plus faibles.

Lorsqu’on est incapable de construire une relation, fut-elle passagère, avec une femme ou une nation, on tente de l’avilir, exprimant ainsi un complexe d’infériorité. Ce qui est affirmé, c’est la volonté de ne pas comprendre, de ne pas apprendre, qu’au-delà de soi, l’autre existe, et en l’occurrence, que sa loi est plus forte, de jure, par une tentative de marquage culturel, de facto. Mais heureusement l’antiracisme est là pour trouver des excuses au violeur dont l’ignorance feinte de la loi, érigée en circonstance atténuante valant absolution magnanime, est une violation perpétrée de l’intérieur par les magistrats, contre la stabilité et la légitimité de la loi, pour acter sa défaite.

Le violeur, comme un petit enfant débile découvrant son corps, subit son érection, ce qui est pour l’homme, l’expression patentée de l’impuissance. Dès lors, il s’agit de donner un sens grandiloquent à la bandaison morbide, incontrôlée, et politiquement instrumentalisée. C’est ainsi que le pénis devient tout à la fois, correcteur de torts et grand conquistador de l’Occident, ce qui est, pour un si petit appendice, une ambition légèrement superfétatoire.

La loi exclusive du mâle procède intimement de la culture du viol. Cependant, lorsqu’on n’est pas à la hauteur des femmes et du politique, en se reconnaissant sujet de droit dans la réciprocité, on se définit soi-même comme un sous-homme. Depuis les lois politiques occidentales défendant les libertés également, on ne peut y contrevenir où que ce soit, sans s’extraire de l’humanité civilisée.

Le contre-féminisme qui justifie les entorses au respect du principe de l’égalité des femmes par solidarité avec ce qui les offense le plus depuis la nuit des temps, à savoir les cultures archaïques et les religions, s’appuie sur le syndrome de Stockholm pour ravager les esprits. Le masochisme et la soumission seraient les nouvelles valeurs féministes ; elles leur ont été soufflées. Cela prouve que la corruption de la pensée affecte également les deux sexes ; mais la culpabilité des pseudo-féministes est ici sans commune mesure.

Le contre-féminisme occidental est actuellement la plaie purulente qui ronge le destin mondial des femmes et des enfants. Il s’affirme par le retournement des valeurs cher à l’ordre apolitique, économique et communautaire qui tente de violer les États de droit dans ce qu’ils ont de plus légitime, pour affirmer leur victoire dans le ventre des femmes. Les pseudo-féministes sont les putains de la caste mondialiste qui veut faire des femmes non seulement des objets érotiques, mais surtout des productrices d’enfants domestiquées, pour sa consommation, selon ses modalités et besoins spécifiques. De cette manière, les barbus et leur djihad sexuel, sont les intermédiaires providentiels pour la traite des Blanches. Et les souchiens sont complices.

On ne naît pas femme mais de sexe féminin. On devient femme, soit adulte responsable, lorsqu’on se reconnaît féministe. Aujourd’hui, il n’y a pas d’autre manière de vivre sa dignité politique devant la montée des masculinismes et des contre-féminismes que d’affirmer sans faillir l’intégrité de son féminisme. Ceci contre tous les ordres masculinistes anté-politiques et inégalitaires renaissants, qui font offense, partout, à l’égalité des sexes, et à ce que la féminité a de plus intime, la part cachée qu’on ne découvre pas sans consentement.

Le féminisme est mort, vive le féminisme !

Isabelle James