La fable palestinienne (6) : 1965-1966, des attentats par dizaines

Suite de notre article du 13 février 2019, La fable palestinienne : STOP, chapitre 5  https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-5-letat-disrael-et-les-guerres-israelo-arabes.html

 4 d)  la guerre de 1967

1965-1966 : Des attentats par dizaines

En 1965, depuis les hauteurs du Golan, la Syrie appuyée par l’URSS tire sur les kibboutz de la vallée et les commandos palestiniens multiplient les attentats à partir de la Jordanie pour compromettre le régime jordanien. Le 26 mai 65, le Fatah entre profondément en Israël à Afoula et fait sauter une maison et ses occupants. Israël pénètre en Jordanie et au Liban pour faire sauter des bâtiments abritant des terroristes, mais prend garde à ne pas faire de victimes. En novembre 1965, à la suite de nouveaux attentats, Israël riposte en attaquant 4 villages jordaniens d’où partaient les terroristes et se heurte le 13 novembre à la Légion arabe qui avait été créée, comme on l’a vu, par les Anglais. Le même jour, des soldats syriens tirent sur une patrouille d’Israël qui riposte et détruit deux chars. L’aviation syrienne bombarde des hauteurs du Golan les villages israéliens de la vallée et les Syriens font des travaux pour détourner les eaux du Jourdain qui arrose Israël. L’aviation israélienne riposte.  Nasser craignant d’être isolé politiquement reconnaît le régime de Damas avec lequel il conclut un pacte d’assistance militaire. En Syrie, un coup d’État porte au pouvoir le 23 février 66 des communistes, soutenus par l’URSS et la Chine. Les Syriens minent le nord d’Israël, et continuent leurs attaques, et le 7 avril 1966, les Israéliens attaquent les positions syriennes du Golan. Nasser concentre des troupes dans le Sinaï pour gêner Israël par l’existence de deux fronts. En mai, face à l’importance des attentats, les paras israéliens entrent en Jordanie du Nord à Kalaat et Dir Rafaat, évacuent les habitants d’une quinzaine de maisons qui servent d’abris aux terroristes, et font sauter les maisons. Ils expliquent par les haut-parleurs aux populations qu’il a fallu détruire les maisons et donnent des couvertures aux habitants. Le 2 mai 66, l’URSS s’engage à fournir des armements aux Syriens et du 2 mai au 6 juin 66, Syriens et Russes s’engagent dans une campagne de presse dans laquelle ils prétendent que les troupes israéliennes se massent à la frontière syrienne. Le 10 mai, les Russes envoient aux Syriens deux fausses notes selon lesquelles Israël se prépare à attaquer le 17 mai, et le 15 mai la Pravda publie, toujours faussement, que les Israéliens ont massé 17 brigades de blindés à la frontière syrienne. Les dénégations d’Israël ne servent à rien. et des centaines d’instructeurs militaires russes arrivent en Syrie.

Beaucoup de combats aériens opposent Israël aux États arabes. Le 3 octobre 1966, la Pravda annonce à nouveau l’imminence d’une attaque d’Israël. Après un attentat le 11 novembre 1966 qui tue 3 soldats israéliens, Israël lance le 13 une opération de représailles en Jordanie. Le 5 février 1967, après le minage d’un terrain de football, Israël transmet un avertissement à la Syrie annonçant des représailles massives si les attentats ne cessent pas. Le 14 mai, Nasser envoie 2 divisions dans le Sinaï pour renforcer les unités qui y sont en permanence, le général Amer lance l’ordre de bataille n°1, et les chars de la 16e brigade égyptienne défilent au Caire. L’initiative de Nasser est surtout due à Moscou qui ne cesse de prétendre qu’Israël est sur le point d’attaquer et précisant même le nombre de brigades pour étayer ces mensonges. Pour être crédible, Nasser demande aux casques bleus du Sinaï de se retirer. U Thant, secrétaire général des Nations unies, tergiverse, puis ordonne le retrait afin de laisser l’Égypte attaquer Israël, ce qui est contraire aux principes de l’Onu. Le 23 mai, dans un discours modéré, Levy Eshkol, Premier ministre israélien, demande aux Égyptiens de se retirer du Sinaï, mais Nasser répond par un discours radiodiffusé : Israël n’a plus à ses côtés la France et la Grande-Bretagne@. Le 25 mai, son ministre de la Guerre, Kammsedine Badran, se rend à Moscou chercher des armes. Nasser, encouragé par le soutien de Moscou, exige le 28 mai que les Israéliens évacuent le port d’Eilat et le poste frontière de Nitzana qui leur appartiennent pourtant. Il rétablit le blocus du détroit de Tiran, et multiplie les incidents de frontière contre Israël dès le départ des Casques bleus.

Des États arabes hystériques

Une crise d’hystérie guerrière s’empare de tout le monde arabe, du Maghreb à l’Irak. Le roi Hussein place ses troupes (la Légion arabe) sous le commandement unifié, et les troupes irakiennes entrent en Jordanie pour attaquer Israël. Le 3 juin, un conseil de guerre a lieu en Égypte, mais Nasser refuse de prendre lui-même l’initiative de l’attaque. Mais la radio égyptienne ne cesse de proclamer: « il n’existe plus de force internationale pour protéger Israël. La seule méthode que nous utiliserons sera la guerre totale dont le résultat sera l’extermination finale du sionisme ». (noter la formule extermination finale, qui ressemble à solution finale). Partout les chefs religieux appellent au djihad, avec des appels enflammés, des slogans, des chants guerriers, appelant à détruire, brûler, et à égorger (Mout! Mout! Mout! Itbah! Itbah! Itbah!  tue! Tue! Tue! Égorge! Égorge! Égorge!). Le président irakien Aref déclare: « notre objectif est clair : effacer Israël de la carte ». À Damas, El Atasi déclare : « l’élimination d’Israël est le pas décisif… ». Les États musulmans annoncent tous l’envoi de troupes : Algérie, Tunisie, Libye, Soudan… et des détachements étrangers  défilent au Caire. Des tracts et des affiches illustrent le massacre des juifs. Les étudiants arabes des universités européennes partent par centaines à Alger pour recevoir une formation militaire. Des tracts représentent Allah partant conquérir Israël sur son tapis volant. C’est sûr qu’à 200 millions contre 2 millions, soit à cent contre un, on pouvait pavoiser.

La guerre

Le 15 mai 1967, les Égyptiens amènent dans le Sinaï des dizaines de milliers de soldats, des milliers de camions, des escadrilles de chasseurs Mig (fournis par  l’URSS), et prennent position à la frontière. Le 5 juin, les Israéliens font un raid contre les bases aériennes égyptiennes et en 30 heures, détruisent toute l’aviation égyptienne (416 avions). Le même jour à 5 heures du matin, le 1er ministre Levy Eshkol fait porter une lettre au roi Hussein et au président du conseil libanais en affirmant qu’il ne mènera aucune action contre eux sauf si ces pays l’attaquent. La réponse de Hussein est à 9 h 15 sur les ondes : « revanche! Écrasez l’agresseur ! » , et une demi-heure plus tard : « Arabes… tirez !… la fin d’Israël est entre nos mains… volez, pilotes héroïques ! » À 10 h 30, la Légion arabe prend position dans la vieille ville de Jérusalem et tire sur la population civile de Jérusalem, des tirs de canons incessants sans qu’il y ait eu la moindre provocation d’Israël. Entre le 5 et le 6 juin, Israël tient deux fronts et conquiert la Judée et la Samarie.

Le 6 juin 1967, Égypte, Syrie, et Jordanie attaquent Israël. Le même jour Nasser téléphone à Hussein. Il ne veut pas perdre la face devant le monde quand 2 millions d’Israéliens sont en train de vaincre des dizaines de millions d’Égyptiens, et il lui propose de déclarer sur les ondes que les États-Unis et la Grande-Bretagne participent à l’attaque. La conversation est enregistrée par Israël et circule dans les chancelleries. Nasser ne le sait pas et fait sa déclaration l’après-midi sur les ondes, au grand dam des Américains et des Britanniques. L’Égypte rompt ses relations avec les États-Unis, annonce la fermeture du canal de Suez, et dans toutes les capitales arabes, les ambassades américaines sont assaillies. Syrie, Irak et Liban arrêtent leur production de pétrole. Arabie saoudite, Bahrein, Katar, Koweit, suspendent la livraison de pétrole aux pays censés aider Israël.  Mais l’Occident reste uni. Le 8 juin 1967, Égypte et Syrie acceptent un cessez-le-feu, au grand étonnement de leurs populations qui entendent des communiqués faisant état de victoires. Cependant les combats continuent. Le 9 juin Nasser annonce la défaite et démissionne, mais son peuple refuse et il reste. La guerre se poursuit du côté syrien. En entrant en Syrie, les Israéliens apprennent que les tirs sur les villages israéliens de la vallée étaient dirigés par les conseillers militaires soviétiques. L’affaire, découverte le 9 juin, est ébruitée par les journalistes français envoyés spéciaux (Georges Durand, Pierre Joly, Tabès, René Mauriès et Pierre Macaigne). Le 10 juin, l’Onu impose un cessez-le-feu à Israël qui gagne la guerre, mais le détroit de Tiran est rouvert, Jérusalem unifiée, le Sinaï occupé par Israël.

L’attitude des nations :

– La France, dégagée de la guerre d’Algérie, cherche à redevenir l’amie du monde arabe pour lequel elle prend parti. Le 7 juin, en pleine guerre, de Gaulle met l’embargo sur les chasseurs Mirage commandés et déjà payés par Israël, et il déclare que « les juifs sont un peuple sûr de lui-même et dominateur ». Israël se met à fabriquer lui-même son propre armement. Et Couve de Murville, ministre de l’Intérieur, condamne Israël. Mais l’opinion publique lui est favorable, et Israël reçoit le soutien moral de nombreuses personnalités.

– Les États-Unis soutiennent Israël  et lui livrent de l’armement ;

– en Tunisie, Bourguiba, malade, intervient personnellement pour arrêter la populace qui s’en prend aux juifs et déclare que lui vivant, il n’y aura aucune discrimination dans le pays ;

– la Grande-Bretagne et l’Allemagne proclament leur neutralité ;

– les Suisses se prononcent en faveur d’Israël ;

– En  Guinée, Sékou Touré chasse l’ambassadeur d’Israël et les ressortissants israéliens ;

– dans les États arabes ont lieu des manifestations antisémites violentes contre les juifs de ces pays ;

– Pékin déclare : « Les 700 millions de Chinois condamnent vivement l’agression commise au Proche Orient par l’impérialisme américain et son valet Israël… et se tient aux côtés des peuples arabes ».

Dès la fin de la guerre, les Arabes reprennent le terrorisme contre Israël, attaquent des bus d’enfants, des écoles, placent des bombes sur les marchés, et dans les rues. Ils s’en prennent aussi aux avions internationaux. En décembre 68, un avion commercial israélien ; le 8 février 69, un Boeing d’El Al à Zurich ; le 29 aout 1969, un Boeing TWA allant à Tel Aviv détourné. La France qui a mis l’embargo sur les armes à destination d’Israël en décembre 1968 vend en décembre 1969 cinquante Mirage à la Libye d’où partent les terroristes et bloque à Cherbourg les vedettes lance-missiles payées par Israël.

En 1970, nouveaux attentats, enlèvements de civils, détournements d’avions par les organisations terroristes arabes : le Fatah de Yasser Arafat, le FPLP de Georges Habache, Septembre Noir, le FDLP de Hawaneh, El Saïkia dirigé par la Syrie. Le 6 septembre 1970, des avions de la Pan Am, de Swissair, de la TWA (les passagers sont gardés à Tarka, en Jordanie). Le 8 mai 72, Septembre Noir capture un avion de la Sabena à Tel Aviv en échange de 100 terroristes emprisonnés ; le 23 mai trois Japonais mitraillent la foule à Lod pour le compte de Septembre Noir ; le 5 septembre, aux jeux olympiques de Munich, Septembre Noir assassine 11 athlètes israéliens, etc. Pour protéger leurs intérêts pétroliers, tous les États du monde tournent le dos à Israël, sauf les États-Unis. Les Russes continuent à armer l’Égypte et à l’entraîner beaucoup plus sérieusement. Sadate remplace Nasser et répète constamment qu’un affrontement est inévitable, même si l’affaire doit se solder par un million de morts@.

4 f )   la guerre de 1973

L’attaque arabe contre Israël

En avril 1973, Israël reçoit des informations selon lesquelles l’Égypte et la Syrie veulent à nouveau attaquer et mobilisent partiellement, mais comme rien ne se passe, Israël croit à une opération de propagande. Le 13 septembre, 4 appareils de reconnaissance israéliens sont attaqués au-dessus de la méditerranée par 6 avions syriens, et d’autres appareils arabes arrivent pour participer. Damas installe une trentaine de bases de fusées Sam pointées vers Israël. Mais Israël ne croit toujours pas à la guerre et prend les mouvements de troupes égyptiens pour des démonstrations de force. Le 6 octobre au matin, alors que les réservistes israéliens sont chez eux à cause du Kippour, les conseillers soviétiques et leurs familles quittent Égypte et Syrie. Les Syriens envoient un Mig qui lance une fusée chargée de plus d’une demi-tonne d’explosifs sur Tel Aviv, mais un pilote israélien réussit à l’abattre en vol au-dessus de la mer. Et simultanément, Égypte et Syrie attaquent. Israël n’est pas prêt et les premières positions sont enfoncées, les postes frontières pris, l’aviation atteinte par des fusées Sam soviétiques. Au mont Hermon (2800 m), les Syriens ne font aucun prisonnier, et décapitent leurs victimes. Les pertes israéliennes sont énormes, et les Israéliens se battent à un contre 20. Il faut quelques jours aux Israéliens pour se ressaisir.  Les armées arabes sont équipées d’armement ultra moderne et ont été entraînées en URSS. Les Israéliens réagissent, reconquièrent le Golan, détruisent des centaines de chars et des milliers de véhicules syriens. Les États-Unis soutiennent Israël, les Soviétiques soutiennent les Syriens, qui reçoivent aussi des troupes irakiennes et marocaines, et les Égyptiens qui reçoivent des troupes koweitiennes et marocaines.

Les réactions internationales devant l’attaque

– France : Pompidou dit « attendre et voir venir » ; Michel Jobert, ministre des AE pro-arabe : « est-ce que tenter de remettre les pieds chez soi est une agression ? »

– Grande-Bretagne : silence du gouvernement, mais les médias condamnent Égypte et Syrie

– Allemagne : neutralité

– Yougoslavie : condamne Israël

– Pékin : accuse Israël

– les États africains, dans leur ensemble, rompent leurs relations avec Israël. Amin Dada (Ouganda) déclare qu’Hitler a eu raison de tuer 6 millions de juifs.

La défaite arabe

Le 15 octobre, les Israéliens passent le canal de Suez et démantèlent les missiles Sam. Les avions israéliens peuvent alors passer. Le 19 octobre,  Kossyguine se rend au Caire pour obtenir un cessez-le-feu et empêcher une trop forte victoire des Israéliens qui sont à 60 km du Caire. Il obtient une réunion d’urgence du Conseil de sécurité et le 22 octobre, l’Onu demande le cessez-le feu-immédiat. Damas ne se décide que le 24 octobre, Israël ayant détruit les raffineries, centrales électriques, oléoducs, ports, aéroports.  Khadafi refuse tout cessez-le-feu, et les Palestiniens réunis à Beyrouth autour de Arafat refusent toute négociation. Le même jour, la 3e armée égyptienne est encerclée dans le Sinaï.  Des unités soviétiques débarquent au Caire et menacent d’intervenir. Washington met en alerte les forces américaines. Les non alignés proposent la création d’une force internationale à envoyer au Moyen-Orient, ce que le Conseil de sécurité accepte sauf la Chine qui s’abstient. Le 24 octobre, le cessez-le-feu a lieu et les Casques bleus arrivent très rapidement.

À suivre ; Chap 7 : le mur et les plaintes des « Palestiniens »

Rappel des chapitres :

Chap 1 : la population originelle de la Palestine  (publié le 9 février 2019) https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-stop.html

Chap 2 : le nationalisme juif (publié le 10  février 2019) https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-2-le-nationalisme-juif.html

Chap 3 : le mandat britannique et la politique anglaise

https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-3-le-mandat-britannique-et-la-politique-anglaise.html

Chap 4 : le mandat britannique et la politique anglaise  https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-4-le-mandat-britannique-et-la-politique-anglaise-suite.html

Chap 5 : l’État d’Israël et les guerres israélo-arabes  https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-5-letat-disrael-et-les-guerres-israelo-arabes.html

Chap 6 : l’État d’Israël et les guerres israélo-arabes (suite)

Chap 7 : le mur et les plaintes des « Palestiniens »  (prochainement)

Louise Guersan

image_pdfimage_print

15 Commentaires

  1. Plutôt succint cet article !
    on pourrait en dire sur ces 2 guerres ” des 6 jours , et de kippour ”
    ces 2 magnifiques victoires ! Mais bon

    en 6 jours, Israël détruisit les armées arabes. Et le 7ème jour Israël se reposa…
    🙂

  2. BRAVO ET MERCI A LOUISE GUERSAN POUR CE RAPPEL D UN GRAND MORCEAU D HISTOIRE QUE PERSONNE NE DOIT OUBLIER JAMAIS !…POLITIQUEMENT ET MACRONNIQUEMENT INCORRECT MAIS AUTHENTIQUEMENT VRAI !… LA PHILOSOPHIE DE TOUT CA ? QUAND ON DONNE UN DESERT A UN JUIF IL EN FERA UNE OASIS ET BATIRA UNE VILLE . QUAND ON DONNE UNE VILLE ET UNE OASIS A UN MUZZ IL EN FERA UN DESERT !!!…AUCUNE EXCEPTION A CELA ! 57 PAYS MUZZS CHARIATIQUES ET ZERO DEMOCRATIE !…. WHAT ELSE ???? LES PATRIOTES ET SOIT DISANTS PARTISANS DE L EXTREME DROITE EN FRANCE ADMIRENT LE PEUPLE HEBREU ET ISRAELIEN. MAIS PAS LES MUZZS IGNORANTS HAINEUX DOGMATIQUES ET DONC DEGENERES !… ISLAM OUT ET BIENVENUE A L INTELLIGENCE !…

  3. je ne comprends pas pourquoi Israel n’a pas déjà passé ce bout de terre au lance flamme…le peuple plalestinien est une fable, créée de toute piece par des terroristes, et depuis des années, ces consanguins dégénérés incultes, et faineants, trafiquants et magouilleurs, barabres et sales, emmerdent le monde !!!

  4. Les Anglais avaient choisi le camp arabe dont ils soutenaient et encadraient les actions terroristes. C’ est donc la réponse du berger à la bergère.

    • rems,
      Depuis le pharaon d’il y a 3000 ans et puis Nabucco il y a 2800 ans, qui avaient rasé les royaumes de Juda et d’Israël, en y ajoutant les royautés européennes qui ont massacré et exilés “leurs sujets” de confession juive, ils ont en effet aucune raison de se plaindre.
      Les cendres des SIX millions d’hommes et de femmes assassinés par le fascisme nazi ne se plaindront jamais non plus, pensait Hitler. Sauf que des hommes de courage ont su faire connaitre au monde cette monstruosité innommable.

      Que vous ont fait ces hommes et ces femmes, pour que vous les haïssiez tant?

  5. israël voulait récupérer ses territoires occupés depuis la Rome Antique
    jusqu’au Britisch
    vont pas se laisser faire chier par des nuisibles—-une minorité soit mais qui tuent sans vergogne

  6. A cette époque nous étions près a aller nous battre pour les JUIFS et en ce qui me concerne mon état d’esprit est toujours le même
    nos amis Islamites ne veulent rien foutre et bénéficier du boulot des autres
    des cafards et des profiteurs

  7. Je me souviens de cette époque où les journaux et les opinions publiques soutenaient le petit David israélien contre le Goliath arabe et contre les chancelleries vendues aux arabes !
    Et le chant de mort de la star égyptienne oum kalthoum « égorge égorge les juifs « qui excitaient les millions d’arabes fanatisés et notre Johnny national qui était allé à l’ambassade d’Israel pour s’enroler mais la guerre était déjà terminée ! C’est bien que vous rappeliez l’Histoire que la plupart des gens ignorent
    Ou préfèrent occulter pour mieux légitimer leur haine !

Les commentaires sont fermés.