La famille Cohen, une caricature de la pourriture des élites mondialistes

Paris, au pied de la tour Eiffel. La maison, une bâtisse du XVIIIe siècle, est planquée derrière un immeuble haussmannien. Les pièces donnent sur un petit jardin d’herbes folles, c’est la campagne à deux pas des Invalides.

C’est ainsi que dans un article de 2018, le magazine ELLE nous présentait le lieu de résidence parisien de la richissime Marie-France Cohen.

https://www.elle.fr/Societe/News/Un-refugie-dans-ma-chambre-d-ami-3666383

Alors non, pas haussmannien, plutôt restauration. Mais bon, au fond si ça n’est pas une ruse, ça reste une erreur de détail, courante dans le monde inculte du journalisme. Insuffisante toutefois pour dépister un armchair activist un peu tenace.

C’est vrai, la Dame réside à deux pas des Invalides. Si vous voulez faire plaisir à Marie-France Cohen, le fleuriste est juste en face. Le moins qu’on puisse dire c’est que ces gens ont un certain goût pour l’affichage public. Madame s’étale sur tous les magazines, sur toutes les pages google, les vidéos, les télés, les radios. Mais attention, dans ce monde la communication reste maîtrisée et la vie privée ultra préservée. On vous en montre le côté cour, jamais la façade sur rue. Surtout pas de localisation précise. Juste un petit teaser en tête d’article pour vous mettre l’eau à la bouche, pour créer le mystère, et surtout pour bien vous faire comprendre que vous ne faites pas partie des happy fews, de l’upper class. Chacun à sa place, eux bien à l’abri derrière leurs portes cochères, les manants à distance. On vous fait bien comprendre que vous avez juste le droit de subir leur arrogante ostentation ; mais que votre présence n’est pas souhaitée dans leurs lieux clos. Ils veulent un monde sans frontières, mais eux se barricadent derrière des digicodes, et leurs noms ne sont jamais affichés sur les boîtes aux lettres ni dans les halls d’immeubles. On vous exhibe les intérieurs, mais pas question de franchir les barrières. Pas question de s’approcher. Les communicants veillent à tout contrôler. Pas d’images ouvertes, toutes celles que vous pourrez trouver sur le net sont verrouillées. Pas question de les transverser sur des sites non autorisés.

Il n’y a plus de planques secrètes. Eh oui, de nos jours, impossible de ne pas laisser de traces. Tout est enregistré. Tout est consultable. Tout se sait. Ils se croient dans la maîtrise, mais leur toute-puissance n’est pas universelle. Ils croient se protéger en étant mobiles, nomades, jamais là … Ils ont de multiples résidences sur plusieurs continents, des amis partout qui peuvent les héberger. Il se croient hors de portée, mais tôt ou tard ils sont obligés de se poser. Toujours entre deux avions, ils finissent toujours par atterrir. Qu’ils le sachent, jamais ils ne pourront nous faire disparaître. Quoi qu’ils fassent, on sera toujours là, certains à les attendre. Tôt ou tard, la rencontre aura lieu.

Ont-ils seulement conscience de leur fragilité ? Ne sont-ils pas grisés par les lumières toujours braquées sur eux et par tout l’air qu’ils brassent ? Certains réveils risquent de s’avérer douloureux. Ils se pourrait bien qu’à un moment leurs protégés, nos remplaçants dont ils entendent farcir le moindre recoin du pays, ceux qui jusqu’ici les supportent parce qu’ils leur ouvrent la voie ; ceux-là les égorgent en premier. Un par un, comme on le voit déjà. Bientôt par quartiers entiers, comme cela s’est déjà vu dans l’Histoire. À moins qu’avant d’en être là, l’époque extrêmement dangereuse qu’ils nous font vivre ne nous livre des événements historiques qu’ils n’auront pas prévus et que la manoeuvre leur échappe dans un brutal fracas.

Le ”m’as-tu-vu” sur papier glacé. Ce ne sont pas les photo reportages qui manquent. Très chics sur papier glacé, éclairages et poses parfaitement maîtrisés. Madame a de l’argent, il faut que cela se sache. On est riche, on veut que cela soit vu. Tapez juste ”Marie-France Cohen” sur votre moteur de recherche et ouvrez l’onglet image. Vous verrez qu’il faut qu’elle soit vue.

http://vip53.canalblog.com/archives/2017/09/18/35685949.html#&ui-state=dialog

La montreuse d’ours et son toy boy Afghan. Cette vidéo est une synthèse de ce qu’il y a de pire dans l’âme humaine. Elle est une synthèse des turpitudes infectes de la caste des mondialistes woke.

Marie-France Cohen, une âme infecte. Les premières secondes sont absolument révélatrices de la mentalité écoeurante de cette femme, de son arrogance et de son absence totale de respect humain. On ne commentera pas ici le sort de Mohamad Ewaz. On observera seulement qu’il n’est que le jouet de cette femme de pouvoir qui l’affiche et en use de la manière la plus avilissante qui soit. Comment peut-on oser déguiser un homme de son âge et sans doute fier comme tous ceux de sa race, comme elle le fait ? Comme si elle jouait avec Joko le singe savant. Le bleu-blanc-rouge sur les joues, le T-shirt ”merde – putain – fait chier” de très bon goût, puis le béret, et avec sa voie nasillarde : ”mets le béret … le français c’est le béret … ”, puis pour finir la baguette. Bref la pire caricature du beauf, du franchouillard que par ailleurs elle abhorre. Et l’autre horriblement gêné, humilié dans sa fierté, obligé de prendre la pose… Une mise en scène malsaine, perverse au dernier degré, insupportable à regarder, révélatrice de la monstrueuse indignité de cette femme.

Mohamad, fais le beau. Mais comment peut-on imposer une telle mise en scène, un tel numéro de cirque à un être humain (tout de même en position de faiblesse, au moins par la différence de condition), comme s’il s’agissait d’un chien savant ? Comment les soi-disant ligues anti-racistes font-elles pour supporter un tel comportement alors qu’elles traquent sans répit les black faces. Que doivent en penser certains musulmans particulièrement ombrageux, par ailleurs les protégés de la Dame ?

Confusion mentale absolue dans ces esprits détraqués. L’image détestée du franchouillard bleu-blanc-rouge dont on affuble l’étranger qu’on prétend célébrer, en fait l’homme objet qu’on affiche comme support de la cause, infect racisme sous-jacent, mépris total de la personne humaine. Cette courte séquence révèle tout le mépris profond de la caste des mondialistes woke pour la personne humaine, quelle qu’elle soit, quelles que soient ses origines ou sa religion. D’où qu’elle vienne, la matière humaine indifférenciée leur appartient, ils en disposent, usus et abusus.

Non seulement cette horrible femme nous méprise, mais elle méprise tout autant ceux par qui elle veut nous remplacer. En cela elle est une synthèse de la caste woke, comme Schwab, comme l’immonde Harari, l’homme qui nous fait savoir que nous sommes inutiles et que donc il va falloir que nous disparaissions.

Le fils aîné, ”ça veut rien dire les Français, les Français c’est que des étrangers en fait”. À partir de 10’28 sur la vidéo : ”L’arrivée de Mohamad m’a fait comprendre encore mieux tout ce système, tout ce mouvement, c’est-à-dire comment le mouvement, le monde dans lequel on vit, et je fais partie de ce mouvement aujourd’hui, est un monde de mouvement… et ça sert à rien de lutter contre ça, on a tous ces gens qui se referment sur eux-mêmes, on va pas rester dans la France, avec les Français… ça veut rien dire les Français, les Français c’est que des étrangers en fait …

Dégage tête de noeud, retourne vite à Brooklyn à jouer les chauffeurs de taxi. Ici un énervé pourrait te reconnaître et tu pourrais te faire emplafonner dans un coin de rue.

https://www.grazia.fr/lifestyle/voyages/le-realisateur-benoit-cohen-nous-fait-visiter-son-brooklyn-167745.html#item=1

Le Grand Remplacement et la destruction de la vieille race Française sont parfaitement assumés par les Cohen, comme par Macron et comme par toutes les élites de pouvoir.

Nous sommes à la croisée des chemins.

En France, il faut les arrêter maintenant, en commençant par Callac.

Ceux qui se disent patriotes doivent enfin comprendre que la solution n’est définitivement plus dans les urnes. 

Elle n’est plus que dans la lutte. C’est-à-dire, pour les plus déterminés, dans la prise de risques personnels.

Martin Moisan