La FNAC confirme son ralliement à l’islamo-gauchisme : ça sera donc sans moi…

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Rétropédalage de l’enseigne FNAC. Après avoir retiré le « jeu Antifa » de son site Internet, et à la suite d’un examen minutieux de plusieurs « experts » , la FNAC a finalement décidé de le remettre en vente, au nom de la
pluralité des opinions. Elle affirme par ailleurs que le jeu ne contient aucune trace de violence. Si les créateurs du jeu ont été prudents, n’utilisant pas les slogans antifas traditionnels appelant au meurtre tels que « Un flic, une balle. Un facho, une rafale », il faut être de mauvaise foi ou bien aveugle pour ne pas voir une apologie évidente du trouble à l’ordre public.

A
insi que le montre sur Twitter le journaliste CNews Amaury Bucco qui s’est procuré le jeu, une carte donne au joueur la recette de fabrication du « cacatov », un « cocktail molotov soft » qui est comme son nom l’indique à base d’excréments, et que le joueur est invité à lancer avec des élastiques (« pour en augmenter la portée »). Sur qui ? Pour le savoir, il faut prendre connaissance des autres cartes. On y appelle à perturber le meeting d’une femme politique « héritière du parti fondé par son père ». Il s’agit évidemment d’une référence à Marine Le Pen qui n’est pas directement mentionnée pour éviter de tomber sous le coup de la loi. On parle donc de perturber une réunion tout à fait légale.

Les jo
ueurs sont également invités à venir empêcher la séance de dédicace d’un « polémiste islamophobe ». Le jeu ne donne pas la définition du terme « islamophobie ». Sans doute revientil, selon la doctrine wokiste, aux « oppressé.e.s » de décider ce qui est « oppressif » ou non. Mais à priori, si une personne est « islamophobe », il est légitime selon les créateurs du jeu de s’en prendre à elle.

Les autres cartes sont du même tonneau
: « manif homophobe » qu’il faut empêcher, vilains fachos infiltrés dans les luttes sociales et qu’il faut expulser de la manifestationIl est vrai que les antifas sont habitués à bien pire. Par exemple, tenter de brûler des policiers dans leur voiture en 2016. Même le journal bienpensant Le Parisien avait été obligé d’évoquer une « dérive anti-flic des antifas ». L’extrême brutalité de cette mouvance anarchiste, qui revendique la destruction totale de notre société, n’est pas retranscrite dans ce jeu qui a des airs de mauvaise parodie.

Cependant, nous retiendrons que la FNAC ne trouve rien à redire à un jeu qui fait l’apologie, en particulier auprès des jeunes générations, de comportements plus que répréhensibles : perturber violemment un meeting politique, asperger des gens avec des excréments et, plus grave encore, s’en prendre à un écrivain sous prétexte d’islamophobie. Ce qui revient à donner un permis de tuer. Nous n’oublions pas que c’est en effet la même accusation d’islamophobie qui a conduit au meurtre atroce de Samuel Paty.

Dan
s de nombreux pays, le blasphème est aujourd’hui encore puni de mort. Cette vision rigoriste de l’Islam, par le jeu des flux migratoires, est désormais bien implantée en France, en Europe, dans tous les pays ouverts aux « richesses » du multiculturalisme. Certains musulmans estiment que quiconque s’en prend au dogme islamique doit en subir les conséquences. Une jeune femme, Mila, est ainsi constamment en danger pour avoir « blasphémé ». Salman Rushdie, sous le coup d’une fatwa, a encore assez récemment été victime d’une tentative d’assassinat à New York. Nous pourrions multiplier les exemples.

L
a dénonciation de l’islamophobie, concept volontairement opaque incluant toute critique de l’Islam, donne une légitimité nouvelle à ces islamistes. Au lieu de dire « sale kouffar, tu vas mourir », on dit « sale islamophobe ». Cela passe tout de suite mieux, c’est plus neutre comme terminologie. Estce un hasard si « La journée de lutte contre l’islamophobie » a été instaurée par l’ONU à l’initiative du Pakistan, cet Etat qui punit de mort le blasphème et qui figure en 8e place dans l’index des pays où les chrétiens sont les plus persécutés ?

La notion d’islamophobie arme le bras qui frappe mortellement des mécréants. Utiliser ce terme, c’est se rendre le complice de la guerre de civilisation qui nous est menée. Pour cette raison, je ne peux plus en conscience donner de l’argent à la FNAC, qui a choisi d’encourager des racailles, ennemis de notre identité et de notre liberté.

Je préfère me tourner ve
rs des commerces qui, eux, ont encore une éthique. La FNAC, ce sera sans moi désormais.

MarieAude Beautard