La France est constituée en deux camps, et il faut choisir le sien

Madame Zelensky, j’ai lu votre article sur Sybil Vergnes avec intérêt.

Le problème, à mon avis, c’est que vous devrez tôt ou tard choisir votre camp. Car dans une guerre, il n’y a pas 15 camps, il y en a que deux.

Vous dites à juste titre: Oui, je défends Sybil Vergnes, sans souci de son appartenance. Je ne confonds pas le bébé et l’eau du bain.

Ce n’est pas le cas du camp adverse, comme vous le mentionnez d’ailleurs dans votre article… Le simple étiquettage d’un individu lui suffit amplement pour qu’il le désigne comme étant à abattre, ou à anéantir par tous les moyens possibles et inimaginables.

Tout comme la couleur de peau, ou l’appartenance raciale est une condition plus que suffisante pour ces racailles immigrées ou d’origine immigrée qui massacrent du Blanc à 15 contre 1. Cela arrive à chaque jour en France.

De façon évidente, la France est actuellement constituée de 2 camps:

– ceux et celles qui veulent préserver son peuple, sa culture, ses traditions, son patrimoine et son héritage historique,

– ceux et celles qui jugent tout cela rance, moisi, arriéré, ringard, nazi, faciste, xénophobe et qui veulent remplacer tout cela par autre chose.

Ce dernier camp est le plus radical et le plus extrémiste des deux.

En tant que membre ou même simple électeur du Front National, vous êtes considéré AU MIEUX par toute la classe politique, les médias et les journalistes comme un MALADE MENTAL.

Dans les cas intermédiaires, vous avez droit comme Sybil Vergnes à des agressions gratuites, à vous faire pourrir et détruire votre vie sans que la simagrée de “justice” de ce pays ne lève le petit doigt pour vous protéger. C’est normal, car vous n’êtes plus un citoyen, vous n’êtes même plus un animal (au moins Brigitte Bardot vous défendrait), vous n’êtes plus rien.

Dans les cas extrêmes, vous avez droit à vous faire lyncher gratuitement, pour un simple regard, une cigarette, un prétexte futile, ou pour vous êtes trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, par 15 ou 20 racailles immigrées et à finir vos jours soit gravement handicapé à vie, soit dans un cercueil, ce qui est encore préférable.

J’ai choisi mon camp depuis longtemps, mais je n’en parle à personne. J’ai déjà eu suffisamment d’ennuis les rares fois où je me suis un peu échappé.

Cordialement

Jean Descarte

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