La France s’islamise plus vite qu’on ne le pense

Après chaque attentat islamique qui endeuille l’humanité, les musulmans chantent en chœur que l’islam n’est pas responsable des atrocités commises au nom d’Allah et de son Envoyé. Alors, leurs coreligionnaires qui assassinent des innocents en se faisant exploser avec la ferme conviction de tuer le maximum de mécréants avant de rejoindre illico-presto le paradis comme le leur recommande le Coran où les attendent les 72 vierges ( les houris) pour services rendus à la cause de l’islam, sont-ils des martiens envoyés par Allah ? Ne se réclament-ils pas de l’islam ? Ne crient-ils pas “Allah Akbar !” après avoir envoyé en Enfer des infidèles ?

Hélas, trois fois hélas, la perfidie et la fourberie musulmanes sont au rendez-vous chaque fois qu’un attentat est commis par un islamiste. Et à leur tour, les bisounours occidentaux montent au créneau en criant : “Pas d’amalgame, l’islam n’est pas coupable !”

Après l’attaque meurtrière islamique contre des ‘mécréants’ (c’est-à-dire des kouffars selon la terminologie de l’islam) à Barcelone, des voix se sont fait entendre pour dédouaner la belle religion de paix et d’amour. Le premier qui a ouvert un tir-barrage, afin de faire diversion, fut l’imam de Bordeaux, le sieur Tariq Oubrou, un discipline de Hassan Al-Banna, le fondateur de la secte des Frères musulmans qui veut imposer par la ruse et les armes un califat mondial où la charia sera l’unique source de lois sur terre, a qualifié cet horrible attentat à la voiture-bélier, qui a fait seize morts et des dizaines de blessés, d’acte dirigé contre les musulmans qui sont installés en Occident. Il faut avoir un sacré culot d’indignité pour avancer un tel bobard, de surcroît cynique et hypocrite. Sans la gravité de la situation, on aurait pris l’imam pour un plaisantin. Mais avouons-le, c’est un peu gros comme plaisanterie car son mensonge n’a pas bien été tricoté. Mais il ne faut pas oublier que l’imam de Bordeaux a la cote auprès des médias français et de ce fait, il peut se permettre de dire une chose et son contraire sans qu’il soit désavoué. En clair, il fait partie de la caste des menteurs qui gouverne la France.
Grâce à la bien-pensance parisienne, le ‘grand théologien islamique’ Tariq Oubrou impose sa vision falsifiée et mensongère de l’islam aux Français pour les berner (les entuber).

Comme dit un adage populaire magrébin, “Laab H’mida et raacham H’mida”, ce qui veut dire: “Le joueur, c’est H’mida et l’arbitre, c’est H’mida.”
Le grand imam sans peur et sans reproche de Bordeaux a le droit, par la volonté des élites françaises de gauche comme de droite et notamment les islamo-gauchistes et les islamo-compatibles (les libéraux), de mentir à la vitesse de la lumière sans qu’aucun des journalistes moralisateurs ne puisse lui apporter la contradiction.
Comme l’islam est basé sur la takkya, il en abuse à outrance, jusqu’à étouffement. Et rien ne l’en empêche, puisque il a la bénédiction des puissants de ce pays qui ne ratent pas une occasion de l’encenser.

Alors, pour lui, les terroristes islamiques sont des victimes et tous les morts assassinés au nom de l’islam, à travers le monde, sont des coupables parce qu’ils n’arrivent pas à comprendre le désarroi de leurs bourreaux.
Après la notion de radicalisation pour éviter de désigner les islamistes, les élites de France et de Navarre ont inventé le terme de déséquilibré mental afin de disculper l’islam djihadiste. Et pour la bonne cause, la désinformation et l’enfumage inondent les médias.

Si, de temps à autre, on pouvait convoquer l’histoire, on éviterait toute confusion et puis les fatwas judiciaires n’auraient pas lieu d’exister.
Hélas, celui qui ignore la géographie et l’histoire ne peut en aucun cas parler de politique ou de géopolitique et c’est là où le bât blesse en France et ailleurs en Occident, où on a mis sous le tapis la dangerosité de l’islam avant de s’agenouiller devant les parrains de l’islamo-faschisme.
Par leur lâcheté et leurs compromissions, les élites occidentales ont permis à d’obscurs imams à la science douteuse de s’exprimer en toute liberté en déversant leur haine contre les non-musulmans sans qu’ils en soient inquiétés, au nom de la liberté d’expression, au pays des droits de l’homme.
Si au moins ces élites avaient étudié sérieusement les fondamentaux de l’islam, peut-être qu’ils auraient pu tenir un discours de vérité au lieu de tomber dans la politique de l’excuse et de la diversion.

Ont-ils lu la biographie de Mahomet ?
Le doute est permis, à moins qu’ils ne soient atteints de la maladie incurable de déni de vérité.
Si on doit se fier à leur parole, il n’y aura plus de place aux boulevards des allongés (les cimetières), car selon leur logique bancale, les actes terroristes, dans la plupart des cas, sont perpétrés par des déséquilibrés mentaux. Dans ce cas, comme il y a des millions de malades atteints de troubles psychiatriques à travers le monde, les attentats par voiture-bélier seraient impressionnants et les morts se compteraient par milliers.
Savent-ils au moins que l’islam, c’est le règne d’une profonde schizophrénie ?
Ignorent-ils que la mort est le fonds de commerce de l’islam mais aussi le culte de la victimisation permanente ?

S’ils commençaient à s’intéresser à la vie du fondateur de l’islam, peut-être que l’angélisme qui les tourmente, s’évaporerait, mais comme ils sont dans un profond déni de réalité, le sursaut ne sera pas pour bientôt.
L’Occident, et notamment la France, sont à un tournant de leur existence. Ils sont dans la même situation qui prévalait à Médine, en 622 de l’ère chrétienne, lorsque Mahomet y débarqua. Les attentats quasi-quotidiens qui s’y déroulent sont identiques à ceux ordonnés par Mahomet à Médine. Ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Une telle similitude ne doit pas passer inaperçue. Normalement !

En effet, après la bataille de Badr, en 624, Mahomet, se sentant de plus en plus fort, ordonna une série d’assassinats contre ses ennemis politiques qui gênaient ses desseins de pouvoir.
La première victime de ces assassinats politiques fut le poète Al-Nader, car il racontait de belles histoires et il s’était moqué de Mahomet à La Mecque. Avant son exécution, il avait demandé à l’Envoyé d’Allah : « Qui va s’occuper de ma petite-fille ? » Mahomet lui répondit : « Les feux de l’Enfer ! »

Puis vint le tour de la poétesse Asma Bent Marwa, mère de plusieurs enfants, dont le dernier était encore un bébé. Elle avait une aversion pour l’islam et composait des poèmes virulents à l’encontre du prophète de la religion de paix et d’amour qui lança, pour se venger d’elle, à l’intérieur de sa mosquée (la maison d’Allah), à ses adeptes, après la prière du soir : « N’y aura-t-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ? » Comme les zélés ne manquaient pas, un musulman du nom de Umayr ibn Adi assassina Asma dans son sommeil au milieu de ses enfants. Le matin, Mahomet, qui connaissait le projet de l’assassinat de la poétesse, demanda à l’assassin : « As-tu tué la fille de Marwan ? » ; « Oui répondit Umayr, mais dis-moi, doit-on craindre quelque chose ? » ; « Rien, dit Mahomet, en ajoutant : deux chèvres ne se disputeraient même pas pour ça. » Puis, il le loua devant les musulmans rassemblés dans la mosquée, pour services rendus à Allah et son Apôtre.
Peu après cet assassinat, le prophète de l’islam décida de se débarrasser d’un autre poète du nom d’Abu Afak, que l’on disait âgé de plus de cent ans. Parce qu’il critiquait publiquement l’émissaire d’Allah sur terre, comme Asma, il fut décapité dans son sommeil.

Puis vint le tour des trois tribus juives de Médine, à savoir : les Banu Qaynuqa, les Banu Nadir et les Banu Qurayza.
Les Banu Qaynuqa et les Banu Nadir furent bannis de Médine et leurs biens confisqués par Allah et son Apôtre. Quant aux Banu Qurayza, en 627, ils furent massacrés en une journée (environ 900 hommes). Les femmes et les enfants des Banu Qurayza devinrent des esclaves, conformément aux enseignements coraniques. Quant à Mahomet, il devint immensément riche par le miracle d’Allah. Qui dit mieux ?

Après chaque assassinat politique, Mahomet se cachait derrière Allah.
Par la terreur et le djihad, l’islam s’est imposé aux peuples qu’il a conquis, et c’est par des attentats qu’il espère soumettre l’Europe.
Et on prétend à Paris, à Barcelone et à Londres que l’islam est une religion de paix et d’amour et qu’on doit lui offrir des bouquets de roses après chaque attentat.
En attendant l’heure de la soumission totale, l’oligarchie occidentale est en train de préparer la mort programmée de l’Europe comme le fut jadis Médine. Quant au Pape François, sans gêne et toute honte bue, il appelle carrément à l’islamisation de la vieille Europe, au nom du Christ, mais par dhimmitude affirmée, il s’abstient de défendre les chrétiens qui sont persécutés en terre d’islam. Et pourtant, il a été installé à Rome par ses pairs, pour la défense de la chrétienté.
A bon entendeur, salut !

Hamdane Ammar