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La “gauche” zombie zigzague tel un poulet sans tête

Et il court le poulet ! Il court ! Il essaie même de voler en hurlant : “gangrène ! gangrène!” oubliant que c’est lui qui la sème et qu’il n’a plus de tête de toute façon, telle celles de ces maires ou de ces Premiers ministres qui se demandent déjà, comme celui de Nancy, ce qu’ils pourraient faire de plus dans la démesure morbide, sinon geler les comptes bancaires comme l’exige désormais l’apprenti-mort vivant Trudeau.

Car tels ces vieux zombies qui accrochent désespérément leurs chaînes rouillées aux roues de ces convoyeurs de la Liberté tentant encore de nous sortir de la tombe, tous ces débris (souvent jeunes et féminins aussi) cherchent encore à agiter leurs vieilles clochettes de lépreux binaires (moi gentil toi méchant) croyant encore qu’exister ainsi sur les écrans et articles subventionnés suffise.

En cet hiver qui n’en finit décidément pas (peu importe puisque nous sommes morts) l’on voit bien que toutes ces oppositions en carton-pâte s’effacent, ayant pris trop de pluie, de “plâtres”, cela fait un gloubi-boulga peu ragoûtant sur le sol du cimetière, mais pourtant toujours servi en “prime time” sur un ton grand seigneur.

Comment sortir de cette tombe ? D’aucuns parlent de faire sécession, construire une société parallèle, s’enfuir aussi du cimetière au cas où l’une des deux photocopies du zombi Trudeau gagne en France.

Il y a bien sûr les optimistes pour qui “impossible n’est pas français”, au premier tour sans doute, mais pour le second ? Le brouillage neuronal est si important, relayé par toutes ces petites mains empêchant de penser et d’agir qu’il faudra un effort surhumain pour ranimer une scène politique et idéologique non seulement atone, mais morte depuis des lustres malgré les vaines tentatives d’animer le cimetière avec des hologrammes nostalgiques quoique très bien faits.

Mais nous sommes enterrés depuis trop longtemps. Certes, certains docteurs Strange tentent une résurrection désespérée avec beaucoup de souffle. En vain.

Nous le voyons bien malgré ces “convois” : la réalité virtuelle a gagné, le méta-réel a fait des urbains autant de morts vivants qui parlent même à voix haute en attendant de mettre leur casque méta-verse aussitôt rentrés ré-ouvrant uniquement la porte au livreur de nourriture préparée, après moi le déluge.

Certes, les camionneurs canadiens animent désormais le fond d’écran dans une sorte de Noël prolongé et Biden tente désespérément d’inciter Poutine à faire la guerre pour cacher le désormais ClintonGate que le procureur Durham dévoile jour après jour.

Il faudrait un miracle.

Lucien Samir Oulahbib