Affaire de Carpentras : François Mitterrand et son ministre de l’Intérieur Pierre Joxe sont à la manœuvre. Il s’agissait pour le “Florentin” de scinder la droite en deux familles irréconciliables afin d’assurer la suprématie électorale de la gauche, pourtant sociologiquement minoritaire dans le pays. Le piège fonctionne encore.
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Dans la nuit du 8 au 9 mai 1990, à Carpentras, trente quatre sépultures juives sont profanées. Le cercueil de Félix Germon, décédé quinze jours plus tôt, non encore recouvert de terre, est sorti de sa tombe. Le corps, extrait du cercueil, est posé nu face contre terre sur une tombe voisine. Un mat de parasol (accessoire qui sert à marquer les futures tombes) est retrouvé sous le corps, comme glissé entre ses jambes : on parle d’un « simulacre d’empalement », mais l’examen anal effectué par les deux médecins légistes révèle qu’il ne porte aucune trace du manche de parasol. Le 10 mai, le président de l’Assemblée nationale Laurent Fabius, affirme au journal télévisé de 20 h sur TF1 que le corps de Félix Germon a été sauvagement empalé, « un manche de pelle enfoncé dans l’anus ». De son côté, le ministre de l’Intérieur, Pierre Joxe, stigmatise les « abominations racistes ». Le 11 mai, la profanation de Carpentras fait la une de tous les médias. Sans aucune preuve, le Front National et son président Jean-Marie Le Pen sont montrés du doigt.
L’“affaire de Carpentras” est un cas d’école de mise en résonance hystérique de l’opinion publique. Les mêmes grosses ficelles (“racisme”, “xénophobie”) pourraient être mises en œuvre pour imposer des CADA partout en France aux populations autochtones hostiles à ce bouleversement majeur de leurs habitudes de vie.
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Extraits du livre de Paul-Éric Blanrue, « Jean-Marie, Marine et les juifs », éditions Oser dire, 2014) :
(…) Le 22 mai 1990, le titre de l’émission « La Marche du siècle », présentée en direct sur FR3 par Jean-Marie Cavada (réalisateur : Serge Moati) est « De Nuremberg à Carpentras ». On y projette un extrait d’une trentaine de minutes du film Shoah, ressorti opportunément au cinéma St-Germain-des-Prés le 30 mai. En compagnie de déportés, les invités principaux sont : l’homme qui a rencontré Dieu, André Frossard, celui qui a rencontré Henryk Gawkowski, Claude Lanzmann (en duplex de Tel Aviv), le grand rabbin Sitruk et Bernard-Henri Lévy. Le néo-philosophe, chemise blanche et pantalon noir, entend extirper le discours du FN :
« L’antisémitisme a des racines françaises (…) Le FN est ouvertement antisémite. On ne l’a pas assez dit. (…) Si demain 15% de Français votaient pour Le Pen ce serait un déshonneur. Bravo aux hommes politiques, Chirac, Noir, Giscard, qui ont dit qu’ils ne pactiseraient pas ! »
Sur fond bleu, Claude Lanzmann s’emporte :
« Chacun sait que Le Pen est antisémite, cela n’a pas à être prouvé, cela n’a pas à être établi ! (…) Il y a une mythologie de la puissance juive qui est insupportable et fausse. »
Le 23 mai, Actualité juive interroge Claude Lalloum, directeur de l’Agence juive, à propos des deux mille dossiers d’alyah qui auraient été déposés à son bureau en une semaine depuis la profanation :
« Il faut remonter à la guerre de Kippour ou des Six jours pour assister à un tel phénomène (…). Le Fonds social (juif) a commandé un rapport sur les Juifs de France. Il ressort que 22% d’entre eux pensent en termes d’alyah. Carpentras leur a donné “l’opportunité” de la réaliser. »
La liste des villes refusant les meetings de Le Pen s’allonge : Villeurbanne, Vichy, Angoulême, Lorient, Poitiers – et même La Trinité-sur-Mer. Jean-Christophe Cambadélis lance une pétition « Pas de salle pour le Front national », signée par 250 personnalités dont Maurice Sinet (Siné), Philippe Sollers, Roger Hanin, Serge Gainsbourg, Pierre Arditi, Alain Bashung, Johnny Hallyday.
Le 24 mai, dans Le Nouvel Observateur, le sociologue de gauche Alain Touraine écrit : « Il faut avant tout dissoudre le Front national. »
Deux pages plus loin, Marguerite Donnadieu dite Duras extravague : « Chaque matin, dans ma tête, je tue Le Pen de toute ma force. Dès que je me réveille je recommence à le tuer. Je n’ai jamais regardé Le Pen sans voir la mort dans les yeux. »
Pendant ce temps, l’enquête sur la profanation piétine :
« Malgré les dizaines d’enquêteurs envoyés sur place, malgré les nombreuses auditions effectuées dans les milieux d’extrême droite, malgré, en fin de compte, tout le poids de l’État qui s’est, au plus haut niveau, associé au choc émotionnel ressenti par les Français, les résultats de l’enquête à ce jour se résument en un mot : rien » (Le Quotidien de Paris du 19 mai).
Seul indice véritable ? Cinq empreintes de chaussures de grandes tailles, dont une de type rangers. Aucun périmètre de sécurité n’a été établi. Le défilé des personnalités, puis les rassemblements, ont rendu toute recherche impossible.
L’hebdomadaire Minute du 22-26 mai informe ses lecteurs que Pierre Joxe « a menti sur la date des faits en prétendant que la profanation était intervenue après “L’Heure de Vérité”. On sait maintenant que c’est dans la nuit qui a précédé l’émission que la profanation a eu lieu. Et qu’elle n’a été découverte qu’avec retard » ! Dans le même hebdomadaire Robert Hemmerdinger fait publier la semaine suivante un encart signé du Comité national des Français juifs : « Récompense 100 000 F – À toute personne fournissant des renseignements susceptibles d’être utilisés par la police pour arrêter les auteurs du forfait de Carpentras. Discrétion assurée. »
L’heure des révisions déchirantes approche. Le 5 juin, Le Monde admet que « l’enquête a dérapé » ; sous la pression de la piste indiquée par Joxe, les policiers ont négligé l’enquête de voisinage, ne recueillant que trois jours plus tard les témoignages des riverains.
Jean-Moïse Braitberg écrit le 7 juin dans Le Quotidien du Paris :
« L’empalement dont avait fait état d’une manière très réaliste Laurent Fabius (…) est un mythe. Un mythe volontairement créé par une partie de la classe politique pour susciter une bien naturelle réaction d’horreur dans l’opinion (…). Il est, en effet, évident que la profanation de Carpentras n’aurait jamais entraîné une telle émotion si la profanation, désignée sans preuve comme antisémite par Pierre Joxe, n’avait revêtu le caractère barbare qu’on lui a prêté ».
Braitberg se demande si, compte tenu de l’instrumentalisation politique qui en est faite, la profanation n’est pas une « manipulation ».
(…)
Le 13 juillet, la loi Gayssot est votée grâce à l’effet Carpentras.
Le Pen se voit retirer l’autorisation de tenir les 14 et 15 septembre à l’hippodrome d’Auteuil la fête traditionnelle des BBR. La stratégie de Mitterrand fonctionne à merveille : un sondage montre que le FN est nanti de 14,5% d’intention de vote, devançant l’UDF de 3 points. La cote personnelle de Le Pen n’a jamais été si haute : 16% ! Les Français sont sortis de leur sidération. L’opposition fait la grimace.
Même le président de la communauté juive d’Avignon se demande dans le Quotidien de Paris du 17 juillet si « nous n’avons pas fait l’objet d’une récupération politique. Beaucoup d’entre nous ont eu le sentiment qu’on s’était joué d’une communauté en exploitant ses peurs. » Quant au grand rabbin de France Sitruk, revenant d’Israël où il avait déclaré que « chaque juif français est un représentant d’Israël », le voilà qui dit durant l’été au Figaro : « Qui sont les responsables ? Ce n’est pas important. » Pas important ?
À la rentrée, le sociologue de gauche Paul Yonnet jette un pavé dans la mare avec un article paru dans la revue dirigée par l’historien Pierre Nora, Le Débat (« La machine Carpentras – Histoire et sociologie d’un syndrome d’épuration », n° 61, Gallimard, septembre-octobre 1990). Il y dresse un réquisitoire terrible contre l’ensemble des médias. Pour lui, « il n’est pas possible de relever la moindre équivoque dans les condamnations spontanées qui s’élèvent des rangs du Front. »
Dans Le Point du 5 novembre, Yonnet explique que l’intervention de Pierre Joxe a été décisive « car elle agrège les éléments du climat et enclenche le mécanisme. Soit il a été mal informé, soit, prisonnier de la machine, il ne pouvait pas dire autre chose, mais, d’après les premières constatations, il n’y avait aucune relation évidente entre la profanation et “L’Heure de vérité” de Le Pen, ni avec d’autres propos antisémites. Pierre Joxe a donc volontairement initié le front anti-Le Pen. » Yonnet ajoute : « Le but de la machine : la fracture irréversible entre le Front national et le reste de la société suivie de sa mise à mort politique ».
À l’occasion du premier anniversaire de la profanation, Jean-Claude Guillebaud écrit avec aplomb dans Le Nouvel Observateur du 23-29 mai 1991 : « Le danger d’une forme de judaïsme, lié à un sionisme inconditionnel et faisant régner une terreur intellectuelle au nom de l’Holocauste, fut dénoncé plusieurs fois ici même. »
En 1993, le FN Guy Macary obtient 21% des suffrages à Carpentras, soit deux points de mieux qu’en 1988.
Les mois et les années filent. Le fausses pistes se multiplient ad libitum. Le 18 septembre 1995, dans l’émission « Témoin n° 1 » (…), Me Gilbert Collard, avocat du cousin de Mme Germon, dénonce à grand fracas le « mensonge d’État » : « On sait aujourd’hui que le Front national n’est pas responsable de cette profanation ». Il provoque une révolution médiatique.
(…)
Le 24 septembre 1995, à la fête des BBR, Le Pen exige les excuses publiques des plus hautes autorités françaises. Le samedi 11 novembre suivant, le Front manifeste à Carpentras, rassemblant quelque dix mille sympathisants. L’état-major du FN est réuni sur un podium portant une vaste inscription « 1990 : Carpentras machination. 1995 : Carpentras réparation. » Le Menhir revendique une « réparation proportionnée à l’offense » et proclame son innocence. Bruno Mégret, délégué général du FN, lance un avertissement : « Le boomerang de cette machination est en train de revenir sur la classe politique ». Joxe, devenu premier président de la Cour des comptes, est l’une des principales cibles de la manifestation. Le Pen s’y défend de « tout antisémitisme, racisme ou xénophobie ». Il affirme que le parti s’adresse « toujours aux Français de toutes races et religions » – osant même : « Nous préférons les juifs français aux juifs étrangers. »
Le lendemain, le président de la LICRA, Pierre Aïdenbaum, tient une conférence de presse. Lui persiste et signe : « Jean-Marie Le Pen est naturellement responsable de la profanation, il y a cinq ans, du cimetière israélite de Carpentras » (AFP, rapporté par Présent, 14 novembre 1995).
(…)
Dans son livre Je ne sais rien… mais je dirai (presque) tout (Plon, 2007) Yves Bertrand, directeur des Renseignements généraux de 1992 à 2004, s’interroge à son tour sur cette déconcertante affaire : « François Mitterrand (…) tenait là l’occasion qu’il cherchait pour diaboliser le Front national après avoir puissamment contribué à son émergence. La phase A de son plan étant accomplie – un FN à 15% privant la droite parlementaire de plusieurs millions de voix –, il fallait passer à la phase B : rendre définitivement impossible toute alliance, même locale, entre cette même droite et les lepénistes. Le fait est que le piège a parfaitement fonctionné : après Carpentras et l’imputation de ce crime à Le Pen, les rares élus de droite qui ont osé nouer le moindre accord électoral avec son parti ont été frappés du sceau d’infamie ! (…) En quelques jours, le piège tendu par Mitterrand s’était refermé. Le Pen étant assimilé à un nazi, la droite se voyait imposer une alternative : ou se déshonorer, en comptant, pour gagner, sur les voix d’un émule de Hitler ; ou sauver son honneur, en acceptant un front républicain autour du gouvernement… En se privant, donc, des voix lepénistes nécessaires pour battre le Parti socialiste ! (…) Comme tous les services de police, nous étions mobilisés jour et nuit. Du côté du Front national, bien sûr, comme on nous y avait fortement incités, mais de tous les autres aussi. Nous avons cherché des fils de famille de la région connus pour leur goût des jeux de rôle, et dont certains avaient l’habitude de se réunir dans les cimetières ; nous n’avons pas non plus négligé les milieux islamistes professant ouvertement des thèses antisémites… Mais rien de rien. Jusqu’à ce jour de 1996 où un ancien skinhead qui, lors de l’enquête, avait attiré l’attention d’un inspecteur des RG, est venu se confier à lui, six ans après les faits, hanté par le remords. D’extrême droite, il l’était assurément ! (…) Ils venaient bien d’une extrême droite ultra-radicale, mais en aucun cas du Front national. Même si l’on déteste Le Pen, on n’avait pas le droit de lui faire porter le chapeau d’un acte aussi ignoble que la profanation de Carpentras. »
(…)
Cette fois, l’objectif de la manipulation a été triple : empêcher le FN de poursuivre sa progression fulgurante ; rendre incompatibles le FN et la droite parlementaire ; faire passer la loi Gayssot pour diaboliser Le Pen plus encore. La gauche a instrumentalisé la communauté juive, avec l’appui de ses représentants sionistes, CRIF en tête, trop heureux de cette « divine surprise » leur permettant d’accabler le FN et son président.
L’affaire Carpentras a été une machination politico-médiatique d’une envergure rarement atteinte, ouvrant le règne de la pensée politique obligatoire. Désigné à la vindicte publique, Le Pen dut attendre, pour être blanchi, que l’affaire se délite d’elle-même, jusqu’au résultat final, accablant pour les autorités. Mais comme on le sait, une information chasse l’autre et l’opinion publique n’en tire guère de morale durable.
La veuve de Félix Germon est décédée le 7 juin 1999, à l’âge de 89 ans. Dix-neuf personnes seulement ont assisté à ses obsèques, dont une élue locale de FN, Nadine Ephrem-Bellier. Le 8 mai 1993, la malheureuse dame avait déclaré à France-Soir qu’elle s’était entretenue avec Jean-Marie Le Pen, convaincue de son innocence. Dans National-Hebdo du 12-18 octobre 1995, elle avait tenu à ajouter : « J’aime bien Le Pen. C’est un homme bien, pas raciste. J’aurais aimé qu’il passe à Carpentras, pour nettoyer tout ça. »
Des la 1 ère année il y a eu un défilé annuel ou venait se montrer derrière les banderoles du mensonge toute la classe et la future classe mediatico-politique ( sauf RN) – Ils savaient tous que c’était faux: d’où le calibre de nos mierdias et politiques, par contre ils ont tous prospéré sur ce mensonge prenant les plus belles places…Il faut se rendre compte que c’est Sarkozy qui une fois élu ( donc des années plus tard) a dit stop à un énième défilé annuel. Les gars se sont rendus aux RG de leurs villes ( moi je voudrai me rendre aux RG, je ne sais pas où ils sont ! )
Absolument !
Ils veulent arrêter la grosse locomotive de DROITE qui est lancée contre les CADA… Ils n’ont pas peur de se la prendre dans la tronche : çà va faire mal, très mal à ces idiots !
Mise au point étayée, capitale: excellent.
Mais « L’homme est de glace aux vérités / Il est de feu pour les mensonges » La Fontaine.
Les médias de grand chemin ne font rien pour corriger ce terrible défaut, au contraire!
Je me souviens parfaitement de cette affaire de Carpentras déjà à l’époque la collusion entre la vermine socialiste et le RPR était évidente,ces pourritures voulaient interdire le FN !
il est bien évident que cette cabale contre le FN était montée de toutes pièces et malheureusement a porté ses fruits – la même chose est à craindre avec les CADA : la même clique ressort les mêmes procédés, et sans aucune preuve, commence à distiller partout le poison du mensonge, en argumentant que les exactions commises auprès du fameux maire viennent de l’extrême droite – à noter que concernant les incendies l’extrême gauche est maitre en la matière, on l’a vu encore récemment
Déjà qu’avec l’attentat de l’Observatoire, le séjour à Vichy, le copain Bousquet, ça laisse bien augurer de l’honnêteté de cet individu.
Rétrospectivement on ne peut plus exclure que les auteurs soient des policiers ou des agents de nos services dits secrets qui ont exécuté une opération de désinformation avec la complicité de toute la doxa politico-médiatique. Rappelons que les policiers en 1942 n’ont pas hésité à rafler des milliers de juifs pour les conduire aux allemands, ils sont donc capables de tout par obéissance.
Vous faites là une remarque très pertinente, Jean d’Acre ! Si ce sont des policiers qu’on a “mis dans le coup” pour faire le coup, cela expliquerait qu’aucune investigation effectuée par la suite n’ait pu découvrir quoi que ce soit. Comme vous le faites remarquer par ailleurs, leur obéissance servile rend cette forfaiture parfaitement plausible et possible. J’ajouterais pour ma part qu’en plus de cette obéissance servile, beaucoup de flics, à cette époque déjà (aujourd’hui c’est encore pire !) étaient acquis aux idées de la gauche et du PS, et hostiles au Front National.
@ Acre : C’EST FAUX ce ne sont pas des policiers français qui ont fait le coup c’est IMPOSSIBLE .. c’est juste faire ton raccourci perfide de 1942 et continuer dans la propagande de ceux qui ont commandité l’opération de CARPENTRAS que tout le monde connait et que personne n’ose nommer … Ceux qui ont commis la profanation sont des hommes de main des Kapos du PS que tout le mode connait et que vous voulez escamotez .. Même dans l’affaire de CARENTARS vous osez faire la récupération et inverser l’Histoire
C’est quoi ce fifrelin qui s’abluffe d’un pseudo impliquant Jean d’Acre pour lui apporter une contradiction étayée par rien du tout ! Procédé digne de la gestapo!
Des habitants de Carpentras m ont dit que ce cimetière prive était devenu monument historique entretenu au frais de l Etat, je ne sais pas si c est vrai…
Au lieu de s’occuper de la France et des français, voilà à quoi passent leur temps les hiérarques socialistes, écolos et gauchos.
Si cette sidération nationale doublée d’une sidération collective masochiste morbide se poursuit, la France ne sera plus qu’un souvenir pourrissant dans les greniers, qui s’estompera peu à peu sous des océans de sable comme dans la Vallée des Rois.
Et “en même temps” ce sont les anti nazi qui soutiennent l’Ukraine nazie.
“l’Ukraine nazie.”….piège sémantique destiné aux benêts…
… dont vous faites apparemment partie ?
Vous comprenez que cette communaute de cette gauche inspiré le d’égout… De même que Macron le peuple se revotera et ils seront tous responsables et devront quitter le pays. On en sera débarrasse une fois pour toute
Ils s’exileront comme les aristocrates au début de la révolution et les biens qu’ils ne pourront pas emporter avec eux seront confisqués. Comme eichmann, ils seront ramenés par la peau du cul pour être jugés dans une cage en verre. Souvent l’Histoire bégaye.
Espérons-le ! Le mieux serait peut-être de devancer leur fuite en les arrêtant tout-de-suite.
Bravo Monsieur Dubosc! Enfin, un article intelligent et courageux! Nous sommes enfin au coeur du problème. La manipulation psychologique, commencée en 1945, a continué avec Carpentras. Même façon de faire, en douce, “en faux cul”. C’est leur signature. Enfin, la réalité remonte vers la surface mais que vont ils trouver encore pour se faire passer pour des victimes? En 1920-24, beaucoup de gens avaient écrit sur ces mensonges mais tout est retombé dans le silence. On a remis la muselière (le masque) à la population.
De toutes façons, des CADA,il y en aura partout. Ça continue d arriver en France donc c est inévitable ,purement mathématique. Voilà pourquoi la solution n est pas le refus ici ou là mais c est l interdiction d entrer en France et renvoi direct de ceux qui n ont rien à y faire.
meloni s’en charge, on peut lui faire confiance
mouSSa renfoce le dispositif
papa diae supervise le tout
1,5 milliards de candidats potentiels, pour un seul continent, va en falloir des cada…
Ho les manips pas mortes : elles sont renouvelées chaque jour par la lucarne que vous regardez… et vous regardez…
Pas moi, j ai pas la TV…
Bon rappel, surtout pour les ersatz qui découvrent aujourd’hui l’exactitude des prévisions de JMLP et singent celui pour qui ils n’ont jamais voté…
Ou même qui avaient invité à voter contre……suivez mon regard.
Nos regards pointent dans la même direction…
Ce matin la ‘formidable Marion’ face à l’ignoble petit Duhamel taillait des shorts aux lr avec qui elle prétendait faire le rassemblement impossible des droites.
Etonnant cette découverte de l’eau tiède d’une aussi fine politicienne alors que ces salopards collaborent depuis quarante ans dans la lutte générale menée contre sa famille politique.
Personnellement, j’avais vu dans Marion la plus capable, et j’avais cru que son idée “d’union des droites” serait une union entre Marine, Asselineau, etc. (bref entre les courants de la droite nationale, autrement dit de la seule vraie droite), mais quand j’ai compris qu’elle voulait chercher l’alliance impossible avec ces immondes pourris de LR, j’ai compris aussi qu’il n’y avait rien à attendre d’elle. D’ailleurs, elle a tombé le masque en rejoignant Zemmour contre un gros chèque.
J”en arrive à me dire qu’il ne faut plus de femmes en politique : quand on voit la Meloni, notre Marine nationale et maintenant Marion…
excellente idée de ressortir ce piège .
le problème est que RL marche à fond en permanence dans ce piège et ressasse le nazisme en permanence, comme une laisse autour du cou. Rarement un argument rationnel, très souvent le recours à l’émotionnel nazillo-antinazisme. Il serait interressant d’analyser les articles proposés depuis un an et noter combien de fois les auteurs ont recours à tel ou tel mot du narratif. Un petit tableau Excel les auteurs, les différents mots, le recours au narratif de la SGM, etc. Je me demande si il n’y a pas un coté ambigu du recours à ce type de narratif, une fascination malsaine et refoulée. SAUF POUR LES BENEFICIAIRES ET ENCORE.
A examiner rationnellement
moralité les habitants qui sont révulsés doivent faire comme à callac, occuper la rue pour se faire respecter
Le rôle de l’affaire de Carpentras dans la fracturation de la droite est très exagéré.
Le Pen avait été copieusement diabolisé et antisémitisé tout au long des années 80. Ce n’était qu’un épisode supplémentaire.
De plus, les incertitudes autour des circonstances exactes étaient déja soulignées par les grands médias dans les 15 jours suivants.
Certes les socialistes hurlaient au loup. Certes la loi Gayssot a été favorisée par ce contexte.
Mais l’opinion publique n’était pas sous la coupe de la pensée unique, comme c’etait le cas très récemment pour le covid, le vaccin, ou le réchauffement.
Il faut voir Carpentras comme une récupération médiocre et dans le désordre par une gauche aux abois en raison de sa situation politique catastrophique. Diviser la droite oui, mais surtout se refaire sur “la bête”.
Mon cher Tom vous vous trompez lourdement dans votre analyse en estimant que ‘l opinion publique n était pas sous la coupe de la pensée unique ‘. L article lui même, éclairant à maints égards, omet de me.tionner l atmosphère d hystérie collective déclenchée par cette affaire et relayée, amplifiée par tous les canaux possibles, ainsi que l opprobre qui s est aussitôt abattu sur le FN. Le point d orgue de cette hystérie fut une manifestation anti le Pen de 200 000 personnes quieut lieu à Paris le 14 mai 1990 où Mitterrand lui-même vint faire une apparition. Après cette affaire, l image luciferienne de le Pen était définitivement ancrée dans l imaginaire collectif des Français.
200000 gauchistes convoqués par le PS ce n’est rien du tout.
Je maintiens que l’opinion publique était bien moins formatée qu’aujourd’hui. La preuve puisque les scores du FN ont augmenté juste après.
A comparer avec avril 2002 où là l’hystérie collective a été 100 fois plus marquée.
Carpentras ,des le départ 80% de la population avaient crie à l antisémitisme. Déjà à cette époque. Par contre les 20% restants n étaient pas diabolises comme le furent les anti covidistes.
Oui, Tom, mais tout cela pour le bénéfice de qui? Pour Mitterrand en (petite) partie,certes, mais surtout pour qui? Vous n’allez pas jusqu’au bout de votre raisonnement. On ne parle que des Politiques mais ceux ci ne sont que des pantins, et Mitterrand le reconnaissait lui même, ils font le boulot qu’on leur a demandé de faire et aujourd’hui c’est tellement flagrant.
Entre ça et l’observatoire, notre médaillé de la francisque avait tout compris en politique.. au détriment, évidemment, du c.b.on peuple franconnais.
Et c’est ce b.c.on peuple franconnais (dont je rappelle que pas mal de contributeurs et lecteurs de RL avaient plébiscité la MITE !) qui a mis ses clones (pour ne pas dire ses clowns) au pouvoir pour les diriger à coup de vaxxin et en leur disant que c’est pour “leur bien”.
Mais bon, tant que ça marche il n’y a aucune raison pour qu’ils ne continuent pas leur macabre besogne… SOUS NOS APPLAUDISSEMENTS !!
Omicronescul est en passe d’être le personnage le plus haï du MONDE, et voyez-vous, il n’y a RIEN QUEDALLE NIENTE QUEDALLE comme réplique.. peuple franconnais vous méritez votre sort… Maintenant crevez puisque vous avez décidé de le faire.
carpentras,le pass sanitaire,meme combat,soumettre les francais a devenir un peuple de moutons,faites vous vaccine,vous serez protegez,vous et votre famille,sinon,pas de boulot,pas de sortie,pas de chomage,80% des moutons se sont faient vaccines,les laboratoires,des milliards de benefice avec un vaccin qui n’etait pas un vaccin,vaccine ou pas vous pouvez attraper le covid et le transmettre,les soignants vaccines,pouvait donc transmette le covid aux hospitalises,commbien de morts a cause de se vaccin?le saura t’on un jour
On n’a jamais su la vérité , jeunesse doree de Carpentras , messe noire qui a mal tourné ,des skinshead ont été aptenhendes mais deux d’entre eux ont étés assassinés peu de temps après , bien sûr l’histoire du parasol qui a sérvi a empaler un des morts fut totalement inventé par Laurent Fabius qui transforma ce piquet de parasol en manche de pioche !!
Très drôle un manche de pioche dans la rondelle , pourquoi pas une tige de tournebroche de barbecue suite de la fête du cochon organisée par nos amis muzz.
Je m en souviens. A l époque on aurait pu croire qu il y avait participé…..on avait alors parlé d une “tentative d empalement” comme si le cadavre avait pu parler.
carpentras,une diabolisation du FN,monter par un decorer de la francisque,plus haute decoration de vichy et FABIUS,le sang contaminer;qui a tuer des centaines de francais,n’oublions pas JOXE,le pire des ordures de gauche