(Poème inspiré par la chanson d’Yves Duteil « La langue de chez nous »).
Notre langue était belle avec des mots superbes,
Qui portaient son histoire à travers ses accents,
Ça sentait la province et le parfum des herbes,
Le fromage de chèvre et le pain de froment.
Et du moindre village à nos grandes cités,
En écoutant parler les gens de ce pays,
En les regardant vivre, s’exprimer en français,
On y voyait un peuple vivant en harmonie.
On parlait notre langue à l’autre bout du monde,
Car la France était grande, admirée, respectée,
Elle n’était pas facile et pourtant si féconde,
Etait-ce une raison pour vouloir la tuer ?
Or cette langue belle, ciment de la nation,
La langue de Ronsard, de Hugo, de Zola,
Celle encore de Céline, Raspail ou Simenon,
Des tas de gens, hélas, ne la supportait pas.
Elle sentait trop la gouaille et l’esprit franchouillard,
Qui a travers les siècles et les générations,
De Villon, Rabelais, à Blondin ou Audiard,
Tissait un lien solide au sein de la nation.
Le mal nous est venu de partout à la fois,
Nous avons accepté des gens venus d’ailleurs
N’ayant nulle intention de respecter nos lois,
Et qui entendaient bien nous imposer les leurs.
On veut nous faire parler cet immonde jargon,
Cher aux Européistes, leurs suppôts, leurs amis ;
Ces tristes fossoyeurs, dont la seule intention
Et de faire de l’Europe d’autres États-Unis.
Mais notre langue est belle, il faut sans compromis,
Refuser le « franglais » qu’entend nous imposer
La caste de voyous qui voudrait à tout prix
Que, dans notre pays, nous soyons étrangers.
N’acceptons pas non plus le verbiage « inclusif »
Ce charabia débile qui plait aux « non-genrés »,
A quelques abrutis ou harpies féministes,
Tristes hermaphrodites, ou malades asexués.
Oui il nous faut sauver notre langue si belle
Elle porte notre histoire, notre glorieux passé.
Si notre langue meurt, nous mourrons avec elle,
Il m’est pas tolérable d’en accepter l’idée.
Cédric de Valfrancisque
Je connais quelques bobos au petit pied, et j’aime bien leur parler en patoisant du genre: le temps s’abernaudit les poules s’accroupiotent et il va nous en venir une r’nappée.
De quoi nous plaignons-nous .Notre langue est si riche que son ex-prof de français a réussi à faire traduire” chienlit” par “désocialisation” à son président de mari.
Lorsque l’on parle un français pur, on nous fait répéter! Certains mots sont totalement oubliés. Cela fait beaucoup de bien de passer quelques heures dans un autre monde avec Maupassant, Balzac…Relisons vite les Dix petits nègres avant qu’il disparaisse!
Déjà, ils sont plus nombreux et il n’y a aucune chance qu’ils disparaissent….
même sur cnews, ils ne peuvent s’empêcher angliciser le français
Pour écrire une ode à l’intolérance, laissez Yves Duteil loin de tout ça. S’il a chanté la langue française il a aussi chanté le respect et la tolérance.
Où voyez -vous irrespect et intolérance ?
La tolérance pour qui?
Très bien dit Monsieur De vALFRANCISQUE A croire que les français ont honte de leur langue,de leur histoire,quand est ce qu’ils vont ouvrir les yeux et cesser d’écouter tous ces journaleux et politiques qui tous les jours crachent sur les vraies valeurs qui ont forgé l’esprit FRANÇAIS .s’ils dénigrent tant le pays qui les a élevés et nourris ,qu’ils aillent donc voir ailleurs si l’herbe est plus verte . (USA Iran chine Arabie Algérie etc..)