La Mecque : un déni historique

L’islam, c’est la violence sacralisée.
L’islam, c’est l’ignorance sacralisée.
L’islam, c’est la perfidie sacralisée.
L’islam, c’est le mensonge sacralisé

Allah, le puissant Dieu de la Mecque, a-t-il besoin d’une maison pour se reposer ?
Dans le coran, il y a des dizaines de versets qui rappellent l’importance de la Ka’aba à la Mecque.
« Et rappelle-toi, quand nous fîmes de la Maison un lieu de visite et un asile pour les gens – Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu où Abraham se tint debout – Et Nous confiâmes à Abraham et à Ismaël ceci : « Purifiez Ma Maison pour ceux qui tournent autour, y font retraite pieuse, s’y inclinent et s’y prosternent » ( sourate 2, verset 125).

Dans ce verset, s’agit-il réellement de la Mecque ou de Jérusalem (Yerushalayim) ?
Il y a une confusion flagrante. Un vrai déni historique.
Passons, car le coran n’est pas à une contradiction près.
En effet, dire qu’Ismaël et sa mère Agar – la servante égyptienne de Sarah qui l’a offerte à son époux Abraham – se sont aventurés dans le désert d’Arabie, à près de mille kilomètres de Jérusalem, après avoir été chassés par Abraham, au lieu de retourner en Égypte, est une bizarrerie dogmatique qui ne tient pas la route.

Mais pour les musulmans, ce récit est d’une importance capitale, car selon la tradition islamique, la Mecque est l’œuvre d’Abraham et de son fils Ismaël. Ils ont été missionnés par Allah pour la construire.
« Et quand Abraham et Ismaël élevaient les assises de la Maison : « ô notre Seigneur, accepte ceci de notre part ! Car c’est toi l’Audient, l’Omniscient » (sourate 2, verset 127).
La Mecque est la preuve que l’islam est basé sur des légendes invérifiables. Et quand le mystère devient réalité, bonjour les dégâts dans les cerveaux.

En effet, la tradition islamique a imposé aux mahométans que c’est Abraham et son fils Ismaël – qu’il a eu avec la servante de Sarah, Agar l’égyptienne – qui sont les bâtisseurs de la Ka’aba. En réalité, cette fable fut inventée par les Abbassides après avoir évincé les Omeyades en 750 après J.C, pour effacer toute trace de leur foi chrétienne nestorienne et créer un nouveau lieu de culte qui correspond à leur nouvelle religion : l’islam. Ce site fut choisi pour être à l’écart des lieux de cultes existants. Et la Mecque fut l’endroit idéal pour construire la Ka’aba, la future maison de Dieu dont l’architecture ressemble étrangement à un temple bouddhiste d’Afghanistan, se trouvant dans la ville de Balkh.

Pour l’islam abbasside (du Khorasan), il fallait trouver un lieu de remplacement pour la ville de Jérusalem. C’est cette raison qui a poussé les califes abbassides à remplacer Jérusalem par la Mecque, un lieu inconnu, afin d’en faire un centre religieux de première importance pour la nouvelle religion islamique qu’ils venaient de créer en s’adossant aux croyances moyen-orientales déjà existantes, tels que le judaïsme, le christianisme, le mandéisme, le bouddhisme, le zoroastrisme, le manichéisme, l’hindouisme.

L’islam n’est pas né du néant.
D’ailleurs, le coran y fait référence :
« Et accomplissez pour Allah le pèlerinage (hajj) et l’Umra (petit hajj). Si vous en êtes empêchés, alors faites un sacrifice qui vous soit facile. Et ne rasez pas vos têtes avant que l’offrande (l’animal à sacrifier) n’ait atteint son lieu d’immolation. Si l’un d’entre vous est malade ou souffre d’une affection de la tête (et doit se raser), qu’il rachète alors par un jeûne ou par une aumône ou par un sacrifice. Quand vous retrouvez ensuite la paix, quiconque a joui d’une vie normale après avoir fait l’Umra en attendant le pèlerinage doit faire un sacrifice qui lui soit facile. S’il n’a pas les moyens, qu’il jeûne trois jours pendant le pèlerinage et sept jours une fois rentré chez lui, soit en tout dix jours. Cela est prescrit pour celui dont la famille n’habite pas auprès de la Mosquée sacrée. Et craignez Allah. Et sachez qu’Allah est dur en punition » ( sourate 2, verset 196).
« Le pèlerinage a lieu dans des mois connus. Si l’on se décide de l’accomplir, alors point de rapport sexuel, point de perversité, point de dispute pendant le pèlerinage. Et le bien que vous faites, Allah le sait. Et prenez vos provisions ; mais vraiment la meilleure provision est la piété. Et redoutez-Moi, ô doués d’intelligence » (sourate 2, verset 197).

Il est écrit dans le verset 96 de la sourate 3 : « La première Maison qui ait été édifiée pour les gens, c’est celle de Bakka, bénie et une bonne direction pour l’univers ».
Est-ce vraiment la Mecque dont il s’agit dans ce verset ?
Il y a un doute. Ne s’agit-il pas d’une colline située près de Jérusalem ? Abraham n’a-t-il pas érigé le premier lieu de culte dédié au Dieu unique à Jérusalem selon la Torah ?
Certains historiens révisionnistes remettent en cause l’existence de la Mecque pendant la période des Califes Omeyades qui étaient de confession chrétienne unitariste (nestorienne) et qui avaient comme qibla (direction de la prière) Jérusalem. C’est avec l’islam abbasside, à partir du IX siècle, que le nom de la Mecque comme centre religieux commença à émerger pour faire de l’ombre à Jérusalem. Un remplacement en bonne et due forme comme on dit de nos jours.

Selon certains chercheurs révisionnistes et notamment Jawad Ali (ouvrage : l’histoire des Arabes avant l’islam), il est fort possible que les califes abbassides qui sont originaires du Khorasan – des villes de Marw, connue comme la ville du paradis terrestre et de Balkh, la ville circulaire, qui étaient des hauts-lieux du bouddhisme et du zoroastrisme – ont intégré une partie des rituels bouddhistes et zoroastriens dans le nouveau hajj qu’ils ont institué à la Mecque.

La sourate 105 conforte la thèse que la Mecque est de construction récente par rapport à Jérusalem et à Hîrah – actuelle Kouffa en Irak – un autre lieu religieux nestorien, d’une importance capitale, mais aussi Bassorah (Irak).
« N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi envers les gens de l’éléphant ?
N’a-t-il pas rendu leur ruse complètement vaine ?
Et envoyé sur eux des oiseaux par volées
Qui lançaient des pierres d’argile ?
Et Il les a rendus semblables à une paille mâchée ».

Selon la tradition islamique, au VIe siècle, un général éthiopien du nom d’Abraha voulait conquérir la Mecque, à l’aide d’un éléphant, et pour l’arrêter Allah envoya des volées d’oiseaux qui les lapidèrent. Et La Mecque fut sauvée de cette invasion abyssine.
Cette histoire invraisemblable n’a pas pu se dérouler comme indiquée dans le coran, car la Mecque est éloignée (environ mille kilomètres) de Zâfar près de Sanaa au Yémen, la capitale d’Abraha l’abyssin (Abraha Al-Achram).

De plus, pour parcourir cette distance, dans un milieu désertique où il n’y a ni eau en grande quantité, ni herbe en abondance, il faut au minimum un mois de marche forcée, sous un soleil de plomb.
Un éléphant a un besoin journalier de 140 litres d’eau et d’au moins 200 kg de nourriture et comme il est herbivore, il faut de l’herbe et des arbres sur le parcours.
Peut-on trouver facilement une telle quantité d’eau et de fourrage en plein désert ?
Sûrement pas, surtout en ces temps.
Apparemment, cette sourate est puisée du Midrash (exégèse biblique) de la légende des éléphants de Ptolémée.

Il y a tromperie sur l’histoire de l’islam, et pour preuve jusqu’à maintenant, les autorités saoudiennes refusent de délivrer des autorisations aux chercheurs afin d’entamer des prospections archéologiques à la Mecque et à Médine.
L’islam est une doctrine totalitaire basée sur la falsification et la violence sacrée.
Voir les versets coraniques concernant la Mecque et le hajj :
Sourate 2 versets 144,145, 148, 150, 158, 189, 198, 217.
Sourate 3 versets 96, 97.
Sourate 5 versets 2, 95, 97.
Sourate 9 versets 7, 19, 28.
Sourate 17 verset 1.
Sourate 22, versets 25, 26, 29, 33.
Sourate 27 verset 91.
Sourate 48 versets 25, 27.

Il y a lieu aussi de s’intéresser aux études de l’institut de recherche sur l’histoire ancienne de l’islam et du coran (INÂRAH) à Sarrebruck (Allemagne) pour démasquer l’imposture historique de l’islam.

* Ceci est un rajout de dernière minute.
La future loi sur les retraites n’est pas une guillotine qui s’est abattue sur la tête des Français comme le prétend le leader communiste Fabien Roussel mais la vraie guillotine, c’est l’islamisation de la France et sa sortie de l’histoire. Son identité ne préoccupe guère les décideurs qui ne pensent qu’au ventre et au bas-ventre. Triste sort pour un pays jadis admiré.
Actuellement, les mots n’ont aucun sens auprès de l’oligarchie politico-médiatique.

Hamdane Ammar