La petite clique à migrants de Callac veut nous traîner devant les juges
Nous avons eu droit à l’artillerie lourde de Mediapart, ce matin, avec cet article d’une nommée Nejma Brahim sur la situation de Callac. D’abord, félicitations à Edwy Plenel, un temps brocardé pour avoir oublié la diversité, dans sa rédaction, qu’il entend imposer aux autres.
https://ripostelaique.com/mediapart-plenel-ne-veut-que-des-blancs-pas-de-noirs-et-darabes.html
Edwy a fait des efforts, et nous a envoyé sa journaliste racisée à Callac, après qu’elle a fait un séjour sur l’Ocean Viking. Au moins, avec elle, on aura la ligne directe avec les trafiquants d’être humains, un coup de fil à SOS Méditerranée et les 70 familles africaines pourront débarquer en ligne directe chez nos amis Laure-Line Inderbitzin et Jean-Yves Rolland, sans oublier l’ineffable couple Lagrue.
Il n’en reste pas moins que nous avons droit à un article fleuve, mais sans pouvoir utiliser les images, désolé.
Voilà le résumé de la bouillie de Mediapart :
A cause de l’extrême droite néonazie, les élus de Callac vivent un enfer. Ils seraient harcelés la nuit par des hommes cagoulés, et le maire craindrait de prendre une balle dans la nuque. Bref, les SS sont aux portes de Callac, rien de moins.
Laure-Line Inderbitzin, qui ne dort plus la nuit, en est à douze signalements à la gendarmerie, elle est traumatisée, c’est pour cela qu’elle est en arrêt-maladie, pour son boulot, mais qu’elle peut quand même participer aux réunions du conseil municipal.
Ils reprochent au préfet d’avoir donné l’autorisation de manifester aux organisateurs des rassemblements hostiles au projet Horizon. Ils en sont donc à vouloir remettre en cause le droit démocratique de manifester. De même, cela paraît leur poser un problème que Pierre Cassen fasse des conférences sur la situation de Callac. Vont-il lui envoyer la police ?
Ils paraissent, dans l’esprit du député Louis Boyard, avoir un problème avec la chaîne CNews, accusée de donner la parole à des personnes qui osent prendre leurs distances avec la bien-pensance, notamment sur l’immigration. Veulent-ils faire fermer CNews, et faire condamner par les juges, à l’image de Zemmour hier par la CEDH, quiconque s’inquiète de la venue de migrants africains dans nos campagnes ?
On apprend que le vétérinaire en retraite Denis Lagrue et sa femme sont toujours en première ligne pour faire venir des migrants et ainsi africaniser Callac, et que, quand on les écoute, tout va bien, partout, avec l’invasion africaine de notre pays.
On découvre qu’à une période où il manque d’enseignants dans nos écoles, des organisations syndicales détachent deux professeurs pour observer l’action de “l’extrême droite” à Callac. Bref, deux bureaucrates syndicaux payés à ne rien foutre.
Michel Riou, ancien communiste, s’il prend ses distances avec Catherine Blein, n’y va pas avec le dos de la cuillère contre Laure-Line Inderbitzin, qu’il accuse d’avoir provoqué la situation dans laquelle elle se trouve empêtrée. Il met lui aussi les pieds dans le plat sur la réalité de ce qui se passe dans les villes, et affirme ne pas vouloir de cela à Callac.
Enfin, on apprend que le dentiste de Callac prend sa retraite, et donc, si on écoute la clique immigrationniste, il faut un migrant africain pour le remplacer.
Mais le plus beau se trouve dans ce passage :
Fin novembre le maire de Callac aurait organisé un vote informel pour demander à sa majorité si elle souhaitait poursuivre le projet. « Il y a eu huit “contre”, quatre demandes de suspension et deux “pour” », révèlent plusieurs sources.
Conclusion : le maire Jean-Yves Rolland avoue que 80 % de la population de Callac est contre le projet Horizon. Il organise un vote et il s’avère que seulement deux personnes sont encore favorables au projet Horizon à Callac : probablement Laure-Line Inderbitzin et Patrick Morset. Quatre s’abstiennent et huit sont pour l’abandon. Donc, on a les mêmes chiffres que dans la population.
Autrement dit, il n’y a à Callac que les immigrationnistes fous Inderbitzin, Morset et les Lagrue pour soutenir l’implantation de clandestins, soit 4 personnes. Mais la gauche totalitaire entend rééduquer les Callacois et leur imposer, contre leur avis, la présence de centaines de migrants africains, majoritairement musulmans. Il paraît que cela s’appelle la démocratie, pour ces totalitaires de gauche.
Mais demain matin, la présidente des Amis de Callac et des environs, Catherine Blein, et la vice-présidente, Danielle Le Men, sont convoqués par la gendarmerie, suite aux signalements de la délatrice Laure-Line Inderbitzin.
Si Laure-Line Inderbitzin, le couple Lagrue, Edwy Plenel et Mediapart n’existaient pas, il faudrait les inventer.
Martine Chapouton
ARTICLE DE MEDIAPART
Contre l’accueil de réfugiés, l’extrême droite sème la terreur dans un bourg des Côtes-d’Armor
À Callac, des élus favorables à un projet d’installation de réfugiés, initié par un fonds privé, sont menacés de mort ou de viol. « Ils ne peuvent pas nous comprendre s’ils ne nous connaissent pas… », s’étonne Mariam, originaire du Darfour. « Quand on perdra une classe d’école, ce seront les premiers à râler », s’agace un adjoint au maire.
(…)
L’élue confie ne plus dormir la nuit. « Je suis obligée de vivre comme une recluse alors que je suis victime ». En pointant une pochette posée sur la table, elle lâche : « Voilà le dossier ». Tout y est. Les nombreuses plaintes qu’elle a déposées. Le sticker retrouvé sur sa boîte aux lettres et estampillé Furie française, un groupuscule d’extrême droite. Les commentaires sur le site de Riposte Laïque qui appellent à une « tournante » sur sa personne. Mais Laure-Line Inderbitzin insiste : elle n’a « pas peur » et ne pliera pas face à l’extrême droite. (…)
Quant aux élus faisant l’objet de menaces, « leurs craintes sont prises très au sérieux par les autorités », poursuit la préfecture, qui dénonce une « mise en cause infondée ». « Le préfet et son cabinet ont été et sont en contact régulier avec le maire. Le préfet a exprimé publiquement, à plusieurs reprises, son soutien aux élus callacois. » Le procureur précise de son côté que les infractions dénoncées sont « régulièrement évoquées avec le préfet ». (…)
(…)
Il aurait aimé dire combien ce projet pouvait profiter à « tout le monde » et aider à revitaliser sa commune. « Quand on perdra une classe d’école demain, les opposants à Horizon seront les premiers à râler. » Il y a, songe-t-il, tout ce qu’il faut pour les accueillir. Il suffit de se balader pour constater les commerces fermés et « qui ne demandent qu’à être repris ». « Le dentiste s’en va aussi en fin d’année. »
Bernard Bayle