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La pleureuse Benoît Cohen, écrivain à migrants, réécrit l’histoire de Callac

Vous ne connaissez pas ce Monsieur ? J’ai tendance à dire que vous ne perdez pas grand-chose.

Sauf que c’est l’un des fils de madame du même nom, ceux qui ont essayé via leur fondation Merci d’imposer le « village multiculturel » à Callac, avec la complicité du conseil municipal dont le maire est le tristement célèbre homme de « gôche » Jean-Yves Rolland et son âme damnée Laure-Line Inderbitzin.

Ce Benoît Cohen est écrivain de son état, par ailleurs multi-millionnaire.

Et voyez-vous en ce moment il enrage d’avoir vu son projet être rejeté à Callac. Il se répand donc à travers les médias en déclarations, plus venimeuses les unes que les autres, pour dénoncer les responsables de cet échec retentissant.

Il faut dire qu’il a de quoi être fâché.

Callac, c’était le laboratoire de la grande opération « transition démographique » que Macron a annoncée le 15 Septembre 2022 à tous les préfets, réunis à l’Élysée.

Un texte de loi est en préparation qui sera présenté au Parlement d’ici le printemps 2023.

Il imposera à de nombreux maires l’arrivée de migrants dans leurs communes, charge à eux de trouver les solutions pour les recevoir et les « accompagner ».

Donc, vous le comprenez, commencer par un échec monumental, ça la fout mal.

Les autres maires, ainsi que la population, se disent : si les opposants ont gagné à Callac, c’est qu’on peut gagner, nous aussi, si on se mobilise et qu’on se bat.

Que de telles idées puissent se glisser dans la tête de la population et des élus, c’est catastrophique pour ces immigrationnistes qui n’ont de cesse de culpabiliser les Français pour justifier leurs projets.

Pour essayer de contrer, voire d’empêcher la propagation de telles idées contestataires à travers tout le pays, il faut salir la victoire de Callac. Salir la population et ceux qui ont agi jusqu’au retrait du projet Horizon. Salir les raisons du rejet de ce type de projet.

Pour salir, la solution est toute simple : la calomnie.

Beaumarchais disait :

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! »

Et le sieur Benoît Cohen a fait sienne cette citation de Beaumarchais.

Ainsi, sur BFMTV le 12 janvier 2023, il a déclaré pour présenter le projet Horizon :

« Pour Callac, c’était une formidable occasion de revitaliser la ville. L’idée c’était que ces gens qui arrivent, dans une idée de créer quelque chose de gagnant-gagnant, les gens arrivaient et avaient un logement et un travail et qu’ils viennent répondre aux besoins du village et de la région. En gros il manque une boulangerie, une crèche, du personnel en EHPAD, et ces gens on avait fait en sorte qu’ils arrivent et puissent répondre aux besoins. Et le centre qu’on voulait au milieu du village il aurait pu y avoir une maison des associations, on pouvait déplacer et rénover le cinéma, …

Ce projet il avait une vertu, il était d’abord pour les callacois, avant d’être un projet pour les réfugiés. »

Faut être vraiment gonflé pour présenter le projet comme cela.

Reprenons un peu ce qu’il dit :

Tout d’abord … «  dans une idée de créer quelque chose de gagnant-gagnant, les gens arrivaient et avaient un logement et un travail et qu’ils viennent répondre aux besoins du village et de la région »

Donc, il affirme que des logements et des emplois existent.

Ça alors !

D’une part, si c’est le cas, pourquoi Callac subit-elle un exode de sa population ?

D’autre part, si c’est bien le cas, pourquoi ces logements et ces emplois ne sont-ils pas proposés d’abord aux Callacois ?

Enfin, quel besoin y a-t-il d’aller chercher des Africains pour leur en faire profiter ?

Vous en conviendrez, l’argumentation est assez bancale et présenter cela comme une solution « gagnant-gagnant » c’est assez surréaliste. On a du mal à voir où les Callacois y gagnent quelque chose. En réalité, Benoît Cohen nous annonce qu’il y a des moyens pour des gens venant de l’autre bout du monde mais rien pour les Callacois.

Ensuite le sieur Cohen indique :

« En gros il manque une boulangerie, une crèche, du personnel en EHPAD, et ces gens on avait fait en sorte qu’ils arrivent et puissent répondre aux besoins. »

Là encore, le Benoît Cohen prend ses désir pour des réalités.

La plupart des gens attendus sont des Africains ne parlant pas français et n’ayant pas les compétences et les formations leur permettant d’occuper ces emplois.

Par contre les Français de Callac, ou venant de la région, pourraient parfaitement assurer ces emplois. Dès lors, pourquoi a-t-on besoin d’aller chercher des Africains ?

Toutes ces affirmations ne tiennent guère la route et en tout cas ne résistent pas à la plus élémentaire critique.

Enfin Benoît Cohen conclut :

« Ce projet il avait une vertu, il était d’abord pour les callacois, avant d’être un projet pour les réfugiés. »

Là il nous prend carrément pour des débiles en affirmant : « Ce projet il était d’abord pour les callacois »

Et d’ajouter :

« Avant d’être un projet pour les réfugiés ».

Pour les réfugiés ?

C’est l’argument massue des immigrationnistes. Ces Africains seraient des « réfugiés ».

Sous-entendu, des gens en danger dans leur pays d’origine que nous devons sauver.

Le coup des « réfugiés » ce n’est plus une ficelle, c’est un câble.

La définition du réfugié se trouve dans la convention de Genève de 1951. Elle concernait des gens comme Soljenitsyne, qui lui était réellement persécuté et en danger.

Aujourd’hui, les avocats des ONG utilisent systématiquement ce terme pour désigner un immigré.

Cela permet de culpabiliser les Français, ces salauds qui rechignent à venir au secours de gens en danger. En réalité c’est une perversion de la définition de la convention de Genève.

D’ailleurs, l’an dernier, rien qu’en France il y a eu 123 000 demandes de « réfugiés ».

C’est plus fort que la multiplication des pains !

Désolé, mais nous on n’en mange pas de ce pain et on ne se laisse pas avoir par de tels arguments.

Bruce Toussaint qui l’interroge demande alors à Benoît Cohen :

« Le rejet de ce projet, est-ce que c’est de la xénophobie ? »

Et notre Benoît de répondre :

« C’est pire que ça. C’est du racisme et de l’anti-sémitisme, on en a été victime au niveau du fond de dotation, et au niveau de la mairie d’une violence incroyable. On n’est plus du tout en démocratie. On est sur des méthodes mafieuses. Il y a eu des menaces de mort, des menaces de viols, il y a eu des menaces de brûler les maisons des élus locaux -des élus démocratiquement élus-. On aurait été dans un débat démocratique, politique et on aurait perdu cette bataille sur ce terrain là je m’inclinerais. Le problème c’est qu’aujourd’hui la raison pour laquelle le maire et ses élus arrêtent le projet, c’est qu’ils ont peur, ils ne dorment plus la nuit, ils ont mis des caméras dans leur jardin, il y a des gens qui viennent les intimider physiquement. »

Là le Benoît, il se prend pour un illusionniste qui s’imagine pouvoir rouler son monde avec des arguments qui sont des mensonges énormes. Un vrai joueur de bonneteau.

Je passe sur le « racisme et l’antisémitisme », c’est la tarte à la crème qu’on nous sert régulièrement et généreusement dès qu’on s’oppose à un projet immigrationniste ou bien-pensant.

Donc, commençons par un point essentiel :

« des élus locaux -des élus démocratiquement élus-. On aurait été dans un débat démocratique, politique et on aurait perdu cette bataille sur ce terrain là je m’inclinerais. »

Certes les élus l’ont été démocratiquement.

Mais Benoît Cohen oublie un petit détail : le projet Horizon n’était nullement dans le programme du maire.

Lorsqu’il a sorti de son chapeau le projet Horizon, le maire a rapidement annulé la réunion publique qu’il avait convoquée le 23 Septembre pour informer la population, vu la mobilisation qui était déjà en route. Le 17 septembre notamment il venait de se dérouler une manifestation d’environ 500 personnes devant sa mairie.

La revendication des manifestants était : « Retrait du projet qui n’était pas dans le programme du maire, sinon référendum pour que la population donne son avis sur le projet Horizon ».

Dire cela, n’est-ce pas demander « un débat démocratique, politique » ?

À cette demande des plus logiques, le Maire a répondu le 5 octobre, sur le marché devant de nombreux témoins :

« Je ne ferai pas de référendum, car je sais que 80 % de la population est contre ! »

Monsieur Benoît Cohen, est-ce « démocratique » de répondre cela à la population ?

Est-ce « démocratique » de se faire élire et ensuite de prétendre mettre en place un projet non prévu qui va bouleverser la vie du village, tout en refusant de demander leur avis aux habitants ?

La bataille a été menée par les opposants au projet Horizon, à visage découvert et à la loyale.

Vous avez perdu cette bataille qui a été « un débat démocratique » dont l’issue a été une défaite pour vous. Mais vous refusez de reconnaître votre défaite. Vous refusez d’accepter que la population ait rejeté votre projet. Et contrairement à ce que vous affirmez, vous refusez de vous incliner devant la volonté populaire.

En réalité, vous et vos semblables êtes les vrais ennemis de la démocratie.

Vous prétendez faire le bonheur des gens contre leur volonté, parce que vous pensez être un sachant et prenez les citoyens pour des imbéciles incapables d’avoir une opinion et de décider.

À Callac, le peuple – la populace pour ce monsieur – vient de lui donner une bonne leçon.

Qu’il n’oublie pas cette leçon !

Mais comme Benoît Cohen est un bobo à migrants détestant la populace, il n’accepte pas de reconnaître que le peuple a le droit de rejeter son projet et lui de devoir « s’incliner ».

Alors il passe à la calomnie pour salir notre victoire.

Ainsi il affirme :

«la raison pour laquelle le maire et ses élus arrêtent le projet, c’est qu’ils ont peur, ils ne dorment plus la nuit, ils ont mis des caméras dans leur jardin, il y a des gens qui viennent les intimider physiquement.»

N’en déplaise à ce bobo à migrants, la seule violence, constatée par tous, a été celle des antifas (chauffés par des élus, notamment Laure-Line) pour interdire aux opposants de manifester pacifiquement devant la mairie à deux reprises.

Et Benoît Cohen n’a d’ailleurs nullement condamné ces violences des antifas.

Par contre il dénonce des violences imaginaires contre les élus.

La vérité est pourtant beaucoup plus simple.

Devant la mobilisation contre le projet et l’obstination du maire, la 1ère adjointe a démissionné assez rapidement. Départ habillé par le maire en « problèmes de santé ».

Le temps passant, le conseil municipal a continué à se fissurer. Il y avait en son sein de plus en plus d’opposants au projet Horizon, du fait de la mobilisation qui s’amplifiait.

Le 21 décembre, au cours d’une réunion secrète du conseil municipal, le maire effrayé par la menace d’une démission de son conseil – obligeant à de nouvelles élections – a organisé un vote.

Les partisans du projet Horizon étant très minoritaires, le maire a décidé l’arrêt du projet.

Sinon son conseil éclatait.

Elle est là, la vérité, et cette décision n’est nullement le fait des menaces imaginaires qui pesaient sur l’équipe municipale.

Le maire et les immigrationnistes de son équipe ont voulu imposer de force un projet à la population.

Ils se sont opposés frontalement aux habitants.

Et ils ont perdu.

Ceux qui ne veulent pas reconnaître cela sont ceux qui refusent au peuple le droit de décider.

Bernard GERMAIN