La rébellion des racailles contre la police est devenue un sport national

Les procédures contre RL ont une certaine importance politique parce que, quand il n’y a pas eu incitation directe et objective à la haine ou à la rébellion contre des agents de la force publique et contre l’autorité de l’État, les articles du Code pénal invoqués sont les seuls que la législation actuelle offre aux autorités en matière de répression de la liberté de la presse et de la liberté d’expression des citoyens.

Chacun sait avec quel privilège le Parquet de Paris poursuit régulièrement Riposte Laïque. Malgré tout son zèle il n’a pas réussi jusqu’à présent à accuser RL d’autres délits que ceux concernant la répression de la liberté de la presse et de la liberté d’expression des citoyens qui serait impossible aux États-Unis.

Dans l’intérêt de la justice, un examen approfondi de la liberté de la presse est nécessaire. Comment peut-on être à la fois un bon procureur de la République et un mauvais représentant de l’État politisé.

Le ministère public semble être peu familier avec l’histoire des luttes pour la liberté de la presse. Sur quoi repose la méfiance des gens à l’égard de la justice soumise à l’exécutif ? Sur le soupçon que l’exécutif peut sacrifier la liberté de la presse et l’intérêt général de la société à l’intérêt du gouvernement en place.

On se souvient des attaques odieuses dirigées contre Giscard dans la presse. Et jamais ces attaques n’ont provoqué d’action judiciaire dans la France de Giscard reconnue comme un État constitutionnel modèle.

On doit se demander si nous n’appartenons pas à un État anticonstitutionnel en ce qui concerne la liberté de la presse et de la liberté d’expression des citoyens, si on se place au point de vue des accusateurs de Riposte Laïque. Il est clair que l’intérêt du gouvernement en place n’est pas de combattre RL sur le propre terrain des arguments politiques, et avec ses propres armes. Le ministère public veut, sur le fondement de la morale socialiste, anéantir la réalité de l’histoire de la liberté de la presse et de la liberté d’expression.

On repousse la grossièreté de l’accusation d’outrage par le seul fait de la liberté d’expression dans la presse d’opposition. Où sont les outrages écrits ou imprimés ? Les soi-disant outrages écrits dans la presse doivent se produire dans des circonstances et des conditions très précises. Il est donc nécessaire de préciser avec exactitude le sens de l’outrage. Il ne sera donc ici question que des seuls outrages qui risqueraient de “compromettre gravement la paix publique“, c’est-à-dire qui sont “susceptibles de faire en sorte que l’ordre public soit gravement offensé” comme lors des attaques contre la police de la gauche extrême à Nantes.

Les attaques scandaleuses et obscènes répétées contre la police de la gauche extrême dans les quartiers islamisés devront être prises en considération car ceux qui se permettent de tels outrages et ces violences envers la police sont aussi coupables que lorsqu’ils outragent les magistrats selon le Code Pénal.

Mais en quoi la liberté de la presse et la liberté d’expression de Riposte Laïque ont-elles compromis et mis en cause l’ordre public et la paix publique ? Quand l’ordre public, la paix publique sont-ils compromis ? Seulement quand on fomente des troubles en vue de refuser les lois de la république ou quand l’application des lois existantes est entravée comme à Nantes, c’est-à-dire quand il y a rébellion contre la police qui a le mandat d’appliquer cette loi, quand la police est interrompue ou empêchée dans l’exercice de sa fonction.

La rébellion violente contre l’ordre public et la paix publique peut aller jusqu’à des voies de fait et à une opposition violente contre la police comme à Nantes. La rébellion et le refus d’obtempérer d’un délinquant multirécidiviste, doté de faux papiers et bien connu de la police, sont la réalisation de l’opposition violente trop longtemps tolérée par la gauche contre la police qui a mandat d’appliquer la loi dans les quartiers islamisés.

C’est le degré le plus bas et le plus odieux de la violence habituelle dans les quartiers islamisés et de l’opposition violente encouragée par les militants et les élus de la gauche extrême comme à Nantes.

Les faits divers de Nantes, après cette rébellion violente contre la police, sont le degré le plus bas de la violence politique des islamo-gauchistes et des activistes violents de la gauche extrême.

Contrairement à la liberté de la presse et à la liberté d’expression des citoyens sur Riposte Laïque, les encouragements à la rébellion contre la loi et à l’opposition violente à l’autorité de l’État sont bien le fait des islamo-gauchistes, des activistes violents qui restent impunis, des militants extrémistes violents et des élus de la gauche extrême comme dernièrement lors des émeutes à Nantes.

C’est pourquoi les voies de fait contre la police sont une circonstance pénale aggravante de l’outrage permanent des islamo-gauchistes, des activistes violents qui restent impunis, des militants extrémistes et des élus de la gauche extrême, dirigé contre les agents de la force publique et contre l’autorité de l’État.

Thierry Michaud-Nérard