La « Rééducation nationale » massacre la jeunesse

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Il est loin le temps où l’école dispensait des savoirs et apprenait aux enfants à lire, écrire et compter.

À cette époque l’école était un lieu «sacré», un sanctuaire dont Jean Zay, ministre de l’Instruction publique du Front populaire, disait :

«Ceux qui voudraient troubler la sérénité n’ont pas leur place dans les écoles qui doivent rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas».

Le pauvre doit se retourner dans sa tombe en constatant ce qu’est devenue l’école et l’enseignement en général.

Où sont-ils passés les « hussards de la République » ?

On ne peut que constater qu’ils ont trahi tous leurs idéaux et sont devenus les serviles et zélés laquais des mondialistes et progressistes bien-pensants.

Les enseignants sont devenus la pire corporation sur ce plan.

Comment en est-on arrivé là ?

Dans mon livre « Déconstruire la woke idéologie » que vous pouvez commander ici (https://synthese-editions.com/produit/deconstruire-la-woke-ideologie/) j’écris à ce sujet :

« En 1945, le rapport Langevin-Wallon (2 communistes) fut publié. Ce fut un tournant historique, au plein sens du terme, qui va se traduire par un changement de paradigme en matière d’éducation.

Auparavant, la conception était le mérite et l’excellence.

Quelle que soit votre origine, si vous obteniez de bons résultats, vous obteniez au final des emplois en relation avec vos compétences. Et cela était bien logique.

Les républicains avaient bien compris que c’est la méritocratie qui avait tué la monarchie, elle qui accordait les postes prestigieux à ceux qui avaient une certaine origine. Les autres étant condamnés aux emplois subalternes, même s’ils avaient de grands mérites.

Il faut également avoir à l’esprit que depuis sa création jusqu’en 1945 le bac n’est obtenu que par 2 à 3% des candidats. C’était donc un diplôme prestigieux.

En 1945 le rapport Langevin-Wallon va changer deux choses :

  • l’instruction publique perd son nom qui va s’appeler « éducation nationale ».
  • la « démocratisation de l’enseignement et la réduction des inégalités » deviennent les principes directeurs de l’école et non plus la transmission du savoir.

Comme d’habitude, les bons sentiments affichés ne font pas une bonne politique.

Tout d’abord avec l’obsession de la réduction de inégalités (l’inclusion aujourd’hui) on a provoqué l’effondrement du niveau scolaire.

Cet effondrement est mauvais pour les bons élèves, mais il est mortel pour les moyens et les faibles qui sont condamnés par ce système.

De plus, il y a de nombreuses années, la « gauche » a inventé la « discrimination positive ».

Des places, hors filière de recrutement normal, sont réservées à la « diversité » par exemple dans les grandes écoles (HEC, Sciences Po, l’ex-ENA, …).

Ce qui pose un sérieux problème.

  • La discrimination, même positive, reste de la discrimination contre laquelle ils prétendent lutter.
  • En favorisant certains, du fait de leurs origines, ils adoptent une position qui est à l’opposé des « valeurs » dont ils se réclament.

Dans le cas d’espèce, il s’agit donc d’une conception authentiquement « anti-républicaine ».

En effet, la discrimination positive accorde des privilèges à des élèves du fait de leurs origines.

Les postes en fonction de l’origine, … vous vous souvenez ? C’était le principe que défendait et pratiquait la monarchie, contre lequel s’étaient élevés les révolutionnaires de 1789.

Aujourd’hui, au nom de la République, on pratique l’inverse d’un de ses principes fondamentaux.

Il y eut ensuite l’inversion du principe de l’enseignement.

Les pédagogistes, et la gauche, décrétèrent qu’il fallait que l’enfant devienne « l’acteur de la construction de son savoir ».

En clair, ce n’est plus le professeur qui dispense un savoir aux élèves, ce sont les élèves qui construisent leur savoir.

Conception insensée de pédagogistes fous.

Pour donner un exemple qui permettra au lecteur de mesurer le degré de folie de ces gens, il faut savoir qu’il y a plus de 20 ans, un ballon était déjà appelé un …  « référentiel bondissant » !

Mais ces grandes avancées pédagogiques ne se sont pas arrêtées en si bon chemin.

Savez-vous ce qu’est une « évaluation sommative » ? C’est … un contrôle.

Et « l’interface scripturo-multispectrale » ? C’est … le tableau.

Au secours …

Puis, s’ajouta à tout cela le slogan « 80% de réussite au bac », initié par Chevènement, pourcentage qui depuis n’a cessé d’augmenter pour arriver à près de 98% de nos jours, tuant de facto la valeur de ce diplôme qui est le 1er diplôme de l’enseignement supérieur, donnant automatiquement accès à l’université.

Ces pourcentages extravagants étant obtenus à coup de directives ministérielles obligeant les enseignants à surnoter honteusement les copies des candidats.

Enfin, dernière trouvaille du ministre Blanquer : instaurer l’oral au bac … puisque les élèves ne savent plus s’exprimer par écrit. Les premières remontées de cette épreuve ont montré que la plupart des élèves sont incapables de bâtir un raisonnement simple étayé par des connaissances basiques.

Nous sommes donc arrivés à la fin d’un processus de destruction de l’école et de l’enseignement. »

Voilà comment au nom de la lutte contre les discriminations et pour l’égalité des chances, la gauche, et ses lourds bataillons d’enseignants, ont tué l’école dont le niveau actuel est catastrophique.

Mais ce n’est pas tout.

Non contents d’avoir détruit l’école – rappelons pour preuve de cela qu’en 2022, à l’épreuve de français du Bac Technique, 30 % des élèves ont rendu copie blanche car il ne comprenaient pas le mot « ludique » qui était dans le sujet – ces destructeurs s’attaquent maintenant aux élèves.

Il faut, voyez-vous, qu’ils soient préparés à être de bons citoyens. Donc une peu de « rééducation » s’impose car il y a beaucoup de mal-pensants dans les familles.

Donc les associations pro-migrants, les anti-racistes, les LGBT+, etc. ont porte ouverte à l’école ; des matières obligatoires ont même été créées dans ces domaines.

Pour lutter contre les dérives et délires constatées, Reconquête! a créé les « parents vigilants » qui luttent pied à pied sur le terrain, sur la base de signalements faits par des parents d’élèves.

Le journal Causeur a publié le 6 mars 2023 un article énonçant des exemples de cas signalés aux « parents vigilants ».

Et là… accrochez-vous, ça envoie du lourd. Du très très lourd !

En voici quelques exemples :

Je suis enseignant dans un lycée professionnel dans l’Essonne. L’endoctrinement idéologique est permanent : écriture inclusive, dérives LGBT et pressions syndicales. Contredire leurs thèses nous expose à des représailles sournoises comme des poubelles vidées dans nos casiers ou menaces sur nos messageries.

Mon fils est en seconde. Le premier devoir demandé par le professeur d’anglais est le suivant : « Vous raconterez l’arrivée en France de l’un de vos parents immigré. »

Un DM [devoir à la maison] donné par la prof d’histoire-géo de l’établissement catholique privé Saint-Joseph, à Roquebrune-Cap-Martin demande à l’élève de s’imaginer en Africain capturé par des Européens pour être vendu aux Antilles et travailler dans des plantations. La consigne insiste sur la partie « ressenti » du récit.

Je suis en première dans un lycée parisien. En SVT [sciences de la vie et de la Terre], on a parlé de la discrimination de genre pendant deux heures : les moyens de contraception, les types de sport que font les femmes et les hommes, etc. On cherche à nous faire culpabiliser pour ensuite nous déconstruire et nous faire devenir des filles. En Anglais, notre prof nous dit à chaque cours que l’on n’a pas le temps de faire de la grammaire. Les quatre chapitres que nous avons abordés sont : les bienfaits de l’immigration et le multiculturalisme, les gentilles éoliennes et le méchant nucléaire, le genre et les stéréotypes. En histoire-géo, ma prof est islamo-gauchiste. Lorsqu’on a étudié la démographie, elle nous a martelé que sans l’immigration la France serait un pays du tiers-monde et que toutes nos victoires militaires étaient dues aux immigrés. Elle nous explique que le grand remplacement est un fantasme d’extrême droite, que la campagne d’Éric Zemmour est financée par les Russes et que le Z tracé sur les chars russes est le Z de Zemmour. En SES [sciences économiques et sociales], notre professeure a clairement affiché son soutien à Emmanuel Macron. Pour elle, la taxe sur les moteurs thermiques c’est génial, et la fin de ceux-ci c’est formidable. L’Europe est la clé de tous les problèmes et, grâce à elle, l’électricité est peu chère en France.

Je suis en terminale dans un lycée agricole du sud de la France. Le jeudi 24 novembre 2022, des membres de SOS Méditerranée sont intervenus dans notre classe. J’ai quitté la salle et attendu que l’association finisse son exposé pour retourner en cours. Informés de mon absence, les professeurs m’ont dénoncé et j’ai pris quatre heures de colle. Le CPE m’a imposé d’écrire une lettre de justification, puis j’ai été convoqué par le proviseur adjoint pour me justifier encore. Après un échange musclé avec ce dernier, qui me reproche un « comportement inadmissible », voire « raciste », les quatre heures m’ont finalement été retirées mais si je « récidive », je serai définitivement exclu du lycée.

Au lycée Montesquieu du Mans, le sujet du devoir de physique est de calculer l’énergie que va avoir une boule de pétanque lancée sur un policier !

Et ce ne sont que quelques exemples. Allez lire les autres, ça vaut le détour.

Une chose ressort de tout cela qui me frappe au plus haut point : comment la quasi totalité d’une profession, je devrais dire toutes les professions de l’Éducation nationale, a-t-elle pu se laisser gangrener à ce point par cette idéologie wokiste et en devenir le servile propagandiste ?

Combien sont-ils encore à résister ?… certainement pas beaucoup.

Le monde de l’enseignement est devenu l’un des plus détestables qui soit.

Ils participent, sans état d’âme, à une décérébration de notre jeunesse et à un endoctrinement de masse. C’est par millions que sortent de l’Éducation nationale des jeunes qui sont incultes et ont subi pendant une quinzaine d’années un bourrage de crâne systématique pour leur inculquer de force les « valeurs de la République » et les notions progressistes et écologistes.

C’est incontestablement le plus grand crime de ces dernières décennies.

La « communauté enseignante », par sa lâcheté et sa complicité, a trahi toutes les valeurs de son métier et est la honte absolue de la nation.

Si demain des enseignants, complices de tout cela, sont victimes d’agressions ou pire, que l’on ne compte pas sur moi pour avoir la moindre compassion pour eux.

Ils seront les seuls responsables de leur triste sort, contrairement à Samuel Paty.

Qui sème le vent récolte la tempête.

Seuls ceux qui résistent et se battent contre le monstre qu’est devenue l’Éducation nationale gardent mon estime et mon respect.

Pour morale de cette sinistre histoire, je rappelle simplement que le responsable de tout cela, le ministre Pap N’Diaye a parfaitement compris que ses enfants ne devaient surtout pas aller à l’Éducation nationale. Ils sont scolarisés à l’École Alsacienne de Paris. Un établissement privé ultra élitiste où l’on n’entre que sur dossier et moyennant quelque menue monnaie.

Lui est sûr qu’ils y apprendront quelque chose, ce qui les aidera à faire partie des élites de demain.

Quant aux autres qui sont à l’Éducation nationale, ils apprendront à être des citoyens bien formatés par les progressistes, obéissants et respectueux de tout ce qui ira dans le sens de la destruction de notre pays, sur la base de leur ignorance crasse et de leur embrigadement.

Peut-être certains de ces jeunes feront-ils partie des élites demain, s’ils arrivent à survivre à cette machine à broyer les intelligences qu’est l’Éducation nationale.

Ce qui ne sera pas le cas de l’immense majorité de leurs petits camarades.

Bernard GERMAIN

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28 Commentaires

  1. La Rééducation Nationale est aujourd’hui au stade de sa mainmise finale par les anarchos-gauchos-communistes et les laïcards fanatiques, héritiers en droite ligne des psychopates assassins des Clubs des Jacobins et des Cordeliers. Dès l’origine, on a une matrice totalitaire qui remonte à la très sacrée et très intouchable Révolution Française. Déjà, la “Déesse de La Raison” voulait construire un homme nouveau, comme Pol-Pot. De Robespierre à Vincent Peillon, c’est la même idéologie: “Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix.” Le choix du totalitarisme qui s’épanouit à 300% sous le règne de fer du socialisme universel. Il s’agit d’implanter cette idéologie dans tous les jeunes cerveaux. En 1793, les gentils idéaux de liberté et de fraternité sont morts assassinés par les fanatiques. Ils n’ont jamais réapparu depuis.

  2. les témoignages sont hallucinants : à défaut de convaincre les adultes, ces collabos divers et variés de l’éducation nationale s’en prennent aux jeunes plus faciles à manipuler,à formater : c’est la pratique perpétrée par les dictatures, il n’y a qu’à se rappeler les jeunesses hitlero/stalinienne – et plus l’extrême gauche éducative sent son magistère s’ébranler plus elle redouble d’endoctrinement tout azimut et de menaces pour ceux qui ne veulent pas suivre – une nouvelle fois seul Z organise la résistance

  3. Si le peuple est formaté, endoctrine, abruti, avec un intellect pauvre, il est d’autant plus facile de le manipuler. Et de réduire sa capacité à se révolter. Le NOM joue la dessus, et la “gauche” soit disant contre ce système qui monte, ne fait que le servir. D’un côté, les artisans du changement avec leur fric, de l’autre, leurs courroies de transmission, LBGT, cocos, NUPES, médias corrompus, associations de merde qui font le boulot. C’est du grand art. Pour le moment.

  4. Je sais, je vois et j’entend tout cela ; je trouve que c’est d’une tristesse incommensurable pour ceux qui ont bien appris à l’école grâce à des Instituteurs de qualités et des professeurs à l’identique.
    Tous les jours, que ce soient des journaleux, des acteurs ou tout autre personne, mes oreilles me font mal.1) Plus aucunes liaisons alors qu’en parlant, c’est plus joli et cela coule de source ; 2) c’est trop beau ( non c’est très beau, trop est négatif ) ; 3) moi et lui ( niet, c’est l’inverse lui et moi ) ; ” mon meuble à moi” AARRRGGGHHH là j’ai vraiment mal à mes esgourdes !!!
    Ce peuple qui avait (?) la langue la plus riche est complétement à la ramasse et c’est vraiment honteux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  5. MERCI pour ce texte malheureusement vrai! Retraitée, j’aide des élèves à comprendre des cours…. observe des HORREURS “de haut niveau”, constate que des gamins intelligents se croient stupides car ils ne comprennent pas et, surtout, que l’école n’est plus qu’une – mauvaise!! – garderie.

    • Hélas, c’est une réalité. Réalité bien frustrante car dans les années 60-70, nos instituteurs et institutrices ont tout fait pour bien nous apprendre le vocabulaire, les liaisons etc…et cela fonctionnait très bien.
      Tout ça pour voir et entendre que 55 ans plus tard, plus personne ne sait parler et écrire le FRENCH !?
      Dommage pour tout ce travail de l’école qui n’a pas perduré.
      Dommage pour cette pauvre jeunesse actuelle et tous les cons qui ne font point d’efforts pour ces gamins et ces ados.
      J’ai mal aux oreilles mais je suis tout de même fier d’avoir appris un maximum possible ma propre langue car elle m’intéressait.
      Le smart tue l’intelligence, le vécu et l’imagination.

  6. “Racontez l’arrivée en France de l’un de vos parents immigré ” ….J’aurais rèvé d’avoir un tel sujet , moi qui n’ai que l’embarras du choix , entre les cosaques de l’Armée Blanche, les boat people viets, les polonais survivants des camps nazis…J’aurais mis la gomme , le prof en serait tombé sur le cul!

  7. J’ai enseigné 35 ans, j’ai essayé tant que j’ai pu de résister à ce désastre, ça a fini par un burn out et la retraite anticipée.

  8. Ministres de l’Education Nationale, les communistes Langevin & Wallon…
    Comment massacrer plus efficacement un pays qu’en massacrant sa jeunesse ?

    • Francis, pour rajouter à tes postes précédents : mondialisme et communisme c’est kif-kif. Et on est en plein dedans. Comme l’a exprimé Alexandre que tu mentionnes, dans son discours de 1978 à Havard ” le déclin du courage”

  9. Ce que ne comprennent pas vraiment les phénoménologues contemporains, et il est utile pour cela d’avoir lu Soljenitsyne, c’est que le communisme est un système élitiste dédié exclusivement à une nomenklatura d’Etat (15% de la population), et qui fait peu (très peu) de cas de broyer le reste de la population qui devient alors son cheptel naturel d’esclaves (salaire journalier d’1 Euro), des paillassons, « du matériel » (sexuel), du ballast d’os pour les tarmacs ou des voies de chemin de fer. Tous ces faits criminels ont été authentifiés en URSS… et récemment chez les élites du FMI.

    • C’est le système que veullent nous imposer le NWO et le nazi SCHWAB.

  10. Mais il n’y a là encore aucune surprise pour celui qui a lu « La littérature oubliée du socialisme, essai sur une mémoire refoulée » de George Watson (1999), qui met à jour les écrits de Marx et Engels (publiés dès 1848) où la liste des peuples européens à exterminer est dûment établie par ces deux amis « philosophes », « parce qu’ils sont des peuples trop arriérés pour constituer le Nouvel Homme ».

  11. Les Français réfractaires (tous gilets-jaunisés) de 2023 ?
    Compte tenu de l’abomination politique En Marche sous nos yeux, on est légitimement en droit de s’interroger sur la nature de l’environnement idéologique auquel notre époque est soumise…

    Alors, il est facile de comprendre que de proche en proche, le Français soit devenu un peuple inutile dans le projet de créolisation du monde (qui passe par la France, peuple idéologisé jusqu’à la folie). Car la mondialisation a toujours un été un objectif communiste, jamais capitaliste, la droite et l’économie aimant particulièrement les frontières nationales qui sont autant de marchés protégés – c’est la nature idéologique de la droite de protéger les bastions, les territoires, les Etats et leurs frontières, les structures familliales base du capitalisme, etc.

  12. La gauche voulant toujours mélanger pour faire advenir un peuple nouveau et unique de zombies informes et incultes, faciles à diriger, l’anonymat permettant d’éliminer facilement les surplus. Malthus, ce pitoyable économiste rousseauiste, n’aura rien, STRICTEMENT RIEN, anticipé en 1800 (année de la parution de son célèbre livre) de la révolution industrielle et de ses économies d’échelle, qui vont voir se multiplier, et l’espérance de vie à la naissance par 2,5 en 200 ans, et les ressources capitalistes par 100 : salubrité, transports, égouts, mécanisme, économies d’énergie, métallurgie, industrie, santé, médicaments, vaccins, etc.

    Le capitalisme est consubstantiel du progrès humain.

  13. Quand les malthusiens auront alors de leur côté enfanté les eugénistes (comment réduire les surplus de population face aux pénuries ?) qui s’incarneront naturellement dans les communistes, les socialistes, les nazis, puis pour finir depuis les années 1970 dans les écologistes tel l’abominable Paul R. Ehrlich, auteur de La Bombe P… Et la suite de leurs projets, c’est quoi, Soleil Vert, les camps de la mort ? Oui, oui, oui, comme toujours… Goebbels et Trotski, à la suite de Robespierre, avaient entamé leur programme d’ingénierie sociale dans les écoles.

  14. Plus près de nous, en 2020, un écologiste de renom, ancien Ministre français de l’Ecologie (socialiste), nous dit sur une chaîne nationale à une heure de grande écoute, que « compte tenu des ressources terrestres, l’étiage naturel pour la population mondiale serait de 700 millions d’habitants »… Il ne nous dit pas comment faire, mais le Covid-19 et la vaccination Pfizer monopolistique (leurs dizaines de millions morts et d’effets secondaires) arrivent sur ces entrefaites. Pur hasard ? Non, évidemment.

  15. Les socialo communistes mutés en écologistes, grands rhétoriciens théoriciens à jamais incapables d’induire un environnement stable et favorable à la Richesse des Nations, car ils changent d’idées comme de chemise en surfant sur les modes du moment, deviennent alors à terme les employés naturels des ogres que sont les fonds de pension. Le mécanisme est assez facile à comprendre : un couple endetté à mort va se diriger vers le Crédit à la Consommation pour survivre, et bientôt, réduit à la punition de la Banque de France, se verra spolié de ses propriétés qu’il sera obligé d’abandonner à la banque à vil prix.

  16. Le piège tendu par les banquiers est admirable d’efficacité, que le banquier soit local ou mondial. Le mécanisme fonctionne de manière équivalente au niveau des Etats et des Grands Comptes que sont les entreprises nationales, sauf que la banque est le FMI, lui même abondé par les fonds de pension. Le mécanisme désormais bien établi, il n’y a pas de discussion théorique possible sur le fond.

  17. Dans les faits économiques historiques référencés, les Révolutions d’Octobre comme l’avènement des nazis, et l’écologie punitive d’aujourd’hui, sont devenus les instruments naturels de spoliation des tyrannosaures de la finance débarquant sur un macrocosme économique en liquéfaction, la France hollando-macronienne comme exemple, qui favorisera le clientélisme et la corruption endémiques à la gauche (ses paradis fiscaux comme des éternels sauve-qui-peut). La plus belle expression contemporaine de ce phénomène est la Commission Européenne, une aristocratie de Hauts Fonctionnaires de gauche qui se goberge sur le dos des peuples et nous vend « la liberté, l’équité et l’égalité sur le continent européen » quand le système n’est ni plus ni moins qu’une prolongation évidente de l’URSS, aujourd’hui encore sans camps de concentration ; mais le Covid-19 et la vaccination Pfizer ont démontré que la limite était proche d’être franchie .

  18. Nous sommes donc de fait revenus à un Ancien Régime.
    La gauche a bouclé la boucle : des Les « colonnes infernales » de Turreau à la créolisation forcée de Jean-Luc Mélenchon, la filiation est désormais évidente. Et ça passe par l’effondrement de l’école par la soumission de l’Education Nationale aux normes africaines.

  19. Merci pour cet article. Connaissant très bien l’enseignement privé sous contrat catholique, je peux témoigner et dire que celui ci est devenu semblable à l’éducation nationale. Des établissements isolés ou règne l’entre soi (comme dans l’école Alsacienne)sont encore protégés. Je citerai pour Paris Stanislas, Franklin (ou Madame Macron sévissait) … Misère !

  20. Les petits enfants de Pap n’dyae sont bien noir? Je le pense vu la couleur de leur papa ministre.Mais c’est que ce dernier qui a fait quoi comme étude pour arriver au poste de ministre de l’éducation nationale , est peut être je dis bien peut être une exception , car la majorité des noirs c’est lunettes rayban made in china, smartphone made in china,cocotiers et plume au c…. c’est tout ce qu’ils veulent, le reste leur importe peu .Alors les enfants du ministre , ils sont comment ????

    • pape n’diaye , ne l’oublions pas est beauceron, on le reconnait à sa “bouche ” en cul de poule !

  21. rééducation à la mode laogaî ou goulag, lire (pourquoi faire puisque les zélites pensent pour nous) écrire (pourquoi faire puisque les zélites nous disent quoi penser) compter (pourquoi faire puisque les salaires ou retraites seront de plus en plus riquiqui)

  22. Ouais.
    Dans le dernier journal de l’apel (qui représente le privé catho), une interview en exclu du bienveillant Attali et ce qu’il voit pour l’éducation.
    Ah oui, et aussi une mise en parallèle de ce qu’est l’Espoir vu par le prisme biblique, mais aussi dans un haddith coranique bah oui. Rien sur la vision que peuvent avoir les juifs ou les bouddhistes tant qu’on y est? Non, c’est pas bancable ça. Merci le journal de l’apel, pour vos articles surtout pas orientés.

    • La fusion des trois religions ” abrahamiques ” est l’objectif majeur du faux papa françois , et du NOM, donc pas étonnant que le président ATTALI( il entame bientot sa 43ème année de président de la république ) soit sur la mème ligne

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