La vraie France, ce sont les GJ chantant la Marseillaise, pas les casseurs téléguidés !

 Un peu moins fringants ce matin, Macron et sa clique, devant les résultats de leur incurie !

Abandonnant rapidement  le territoire français sur une énième affirmation « qu’il garderait le cap et ne reculerait pas », Macron s’était empressé de se rendre au G20 en Argentine, persuadé que son éminente personne était indispensable à ce méga-comité Théodule planétaire, dont le principal « bienfait » pour les peuples, pour ne pas dire l’unique, est le coût prohibitif de ce « pince-fesses géant » s’ajoutant aux autres actions dispendieuses de tous ces traîtres à leur pays, ne se souciant réellement que de leur sort personnel, tout en prétendant le contraire.

Alors, qu’attendre de cette convocation de son staff à une réunion d’urgence si c’est pour persister à rester droit dans ses mocassins Hermès (ou autre) ?

Comme s’il n’était pas évident que leur stratégie, en admettant qu’ils soient capables d’en pondre une, en dehors des poncifs habituels « ultra-droite responsable » – « casseurs pros du chaos laissés envahir l’espace dévolu aux manifestants légitimes »… se résumait à un grand flop, comme il fallait s’y attendre.

« Attendu sur le sol français en fin de matinée en provenance du sommet du G20 en Argentine, le chef de l’État doit retrouver le Premier ministre Édouard Philippe, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et “les services compétents” pour tenter de trouver une réponse à un mouvement qui semble avoir échappé à tout contrôle. »

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/gilets-jaunes-emmanuel-macron-convoque-une-réunion-durgence-à-lelysée-ce-dimanche-matin

Si cet insupportable pédant auto-satisfait était réellement le « superman » qui a été vendu aux électeurs encore assez naïfs pour avoir gobé ses promesses, il saurait prendre les bonnes décisions mais, pour commencer, il n’en serait jamais arrivé là s’il avait réellement l’étoffe d’un gouvernant au lieu de s’être très vite révélé comme le vilain pion de ceux qui œuvrent dans l’ombre, tel son mentor Attali, lui-même créature du milliardaire Soros.

Si seulement il savait s’entourer et écouter (vraiment) et surtout entendre les Éric Zemmour, Michel Onfray… ou encore les Pierre Cassen, Christine Tasin, et tant d’autres, au lieu de se satisfaire de nazes tels que BHL, pour ne nommer que ce minable menteur-manipulateur… il n’en serait pas là, et nous non plus.

Il faut entendre Zemmour batailler avec les chroniqueurs « bien-pensants » de RTL à propos des Gilets jaunes pour constater immédiatement le gouffre qui sépare son analyse, émanant d’un vrai grand cerveau et d’une belle âme… des minables artifices de Macron, se croyant fort « parce qu’il ne cède pas », alors qu’il ne fait qu’obéir aux directives de ses gourous, via l’UE qu’ils ont si bien su embellir et manipuler pour nous l’imposer à l’insu de notre plein gré (Sarkozy, si tu nous lis !!!).

Bienheureux et inattendu sujet de satisfaction, l’intervention de Cynthia Fleury cette nuit au JT de minuit de Soir 3, n’ayant pas fermé mon téléviseur immédiatement après la série policière dont je m’étais régalée.

Curieuse d’entendre les commentaires de ce professeur au Conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire humanités et santé, que j’imaginais « aux normes » du discours officiel puisque dûment invitée à s’exprimer sur un support du politiquement correct, c’est avec un  plaisir infini que j’ai enfin entendu (hélas à une heure de « petite » écoute), qui plus est dans un français correct mais simple et compréhensible par tous, sans redondance ni langue de bois, des arguments semblables à ceux que nous véhiculons, faisant état des réalités, non des fables habituellement diffusées sur les médias du pouvoir. Écoutez-la, c’est un régal.

https://www.france.tv/france-3/soir-3/810997-soir-3.html

Soir 3 – Édition du dimanche 2 décembre 2018 – A partir de 8’40

Parmi tous les Gilets jaunes que j’ai côtoyés ou croisés, jamais aucun d’entre eux n’était cagoulé, et encore moins masqué ; tous les citoyens sensés, sachant trouver les bonnes informations, commencent à bien savoir qui sont ceux qui pratiquent le caillassage systématique des forces de l’ordre et des pompiers et incendient des voitures sans raison ; ce sont les « pros du chaos » dont Castaner a consenti à prononcer le nom… ce qui ne l’empêchera pas d’obéir aux ordres de Macron, dont il est le bras armé, pour « mettre le peuple au pas » !

Il est évident que, même si certains vrais Gilets jaunes excessifs ont pu « péter les plombs » sur les Champs-Élysées ce 1er décembre, le piège qui leur a été tendu est clair : en les enfermant dans un périmètre les empêchant de se rendre où ils le souhaitaient (dans les limites permises) ils étaient aux premières loges pour constater à quel point la réaction des CRS aux ordres différait face aux casseurs affublés de gilets jaunes pour mieux tromper le monde, en intervenant pas ou alors bien plus « mollement » que sur les manifestants légitimes qui, dans leur immense majorité, sont écœurés qu’on puisse les confondre avec les racailles professionnelles.

Des extrêmes chez les G.J. et des zélés parmi les CRS, dûment filmés et commentés en boucle, c’est exactement ce qu’il fallait à ce gouvernement de félons pour discréditer le mouvement recueillant l’approbation des citoyens à plus de 80 %. De là à penser que tout était dûment prévu, il n’y a qu’un pas, aisément franchissable…

Il est donc vital de ne pas confondre quelques centaines d’ordures vraisemblablement aux ordres, avec ce « populo » méprisé, ayant enfin décidé de siffler la fin de la récré pour tous ceux persuadés qu’en étant « du côté du plus fort », en l’occurrence le président, ils seront toujours protégés…

Si l’on ne saurait approuver les intolérables exactions commises hier dans Paris, le fait que les casseurs s’en soient pris aux beaux quartiers, habituellement préservés, semble peut-être apte à faire comprendre enfin à quelques-uns qu’il y a finalement un immense danger à soutenir ceux dont la principale occupation est de semer le vent ; à ce petit jeu, on récolte la tempête et, lorsque celle-ci s’est levée, bien malin qui saura dire quand elle se calmera.

Pas Macron en tout cas, qui se trouve à ce jour devant un choix très simple, dûment expliqué par Pierre Cassen dans sa dernière vidéo : la démission ou la dictature.