L’Allemagne découvre les bienfaits de l’islamisation !

« Ici nous sommes sur la ligne de front… nous sommes arabisés ! »

L’Allemagne a aussi beaucoup de souci avec ses immigrés qui refusent de s’intégrer. Un article paru dans Bild Deutschland le 21 novembre 2018 donne un éclairage édifiant sur la vie dans les écoles du quartier Berlinois de Neukölln[1].

Traduction de l’article :

Berlin – Un coup d’œil dans une classe de CP. Pas un seul des enfants assis sur les tabourets en bois ne parle allemand à la maison !

Parmi les enfants de la classe, quinze parlent arabe, deux turc, un espagnol, un croate et un autre thaïlandais. Une exception ? En tout cas pas dans le quartier Neukölln de Berlin (330 000 habitants). Dans ce quartier, le professeur Astrid-Sabine Busse (61 ans) tire la sonnette d’alarme et affirme : « nous sommes arabisés ! »

À la rentrée scolaire, sur les 103 élèves du CP de l’école « Schule an der Köllnischen Heide » seul un enfant avait des parents allemands. Parmi les 109 élèves du cours préparatoire de deux autres écoles du quartier, seuls deux enfants ont l’allemand comme langue maternelle et familiale.

« Ici, nous sommes sur la ligne de front », dit la directrice Busse : « même après la troisième génération, les migrants cherchent toujours leur conjoint dans leur ancien pays d’origine. Encore un parent qui ne parle pas allemand ! »

La structure sociale du quartier ne participe malheureusement pas à l’intégration dans les écoles de Neukölln. Malgré un grand nombre de logements sociaux, une certaine mixité sociale existait dans la population. Mais en raison de la taxe dite « d’occupation irrégulière », les locataires devaient payer une pénalité si leurs revenus devenaient trop élevés pour avoir droit au logement social. La conséquence : ceux qui avaient des revenus plus élevés sont partis, laissant derrière eux des familles d’origine étrangère dans lesquelles souvent plus personne ne travaille.

La directrice Busse trouve la situation totalement intolérable, mais déclare : « Je ne me joins pas au chœur des pleureuses – nous devons nous débrouiller. Le politique n’est responsable que pendant quelques années. « L’école est toujours là et les problèmes sont indéniables. »

Au comptoir du secrétariat, un père fait du tapage. Mme Busse s’avance vers lui et dit : « vous n’avez pas honte, vous ne payez pas la cantine pour votre enfant ? Juste un euro par jour ! » L’homme la menace. S’il le voulait, il pourrait immédiatement mettre 500 euros sur la table.

Des équipes d’enseignants, d’éducateurs et de travailleurs sociaux font des visites dans les familles. Mme Busse raconte : « Beaucoup d’enfants n’ont pas de lit et encore moins un bureau pour travailler. Les grands frères et sœurs jouent sur l’ordinateur, regardent la télé. Un petit enfant a besoin de tranquillité pour assimiler ce qu’il a appris. Il n’y a pas d’organisation, même les repas ne sont pas pris en commun ».

Le registre de scolarisation de Neukölln montre que dans l’environnement de l’école, 88 % des enfants ont fréquenté un jardin d’enfants, néanmoins 70 % ont encore des déficits linguistiques. Finalement, pour l’école d’Astrid-Sabine Busse, la ville finance maintenant 180 heures hebdomadaires supplémentaires de formation linguistique.

Mais les problèmes sont encore beaucoup plus profonds. D’après les observations de Mme Busse, beaucoup d’enfants ne sont pas du tout éduqués. C’est pourquoi les nouveaux élèves s’entraînent d’abord au maniement de l’alphabet ; ensuite, les petits apprennent des choses qu’ils ne connaissaient pas jusqu’ici, par exemple : quand tu rencontres quelqu’un, on dit bonjour.

Article de Hilburg Bruns

Après tout, cette situation ressemble beaucoup à ce qui se passe en France où nos médias et politiques évitent d’en parler pour ne pas stigmatiser une partie de la population et affoler le Français mécréant. Dans notre pays, et en Europe, la situation ne s’améliorera malheureusement pas, car les musulmans feront tout pour ne pas s’intégrer : ils considèrent leur civilisation supérieure à la nôtre.

« Je connais mes sujets, ils ne s’intégreront jamais dans les pays occidentaux qui les accueillent. » (Hassan II — Roi du Maroc)

« C’est parce que Allah nous a demandé de construire des individus musulmans, des familles musulmanes, des sociétés musulmanes, des états islamiques, un califat islamique qui réunit tous les états islamiques ! C’est parce Allah nous a demandé de faire ça qu’on le fait ! » (Tareq Oubrou)

Les musulmans suivront les consignes que leur donneront les imams qui eux-mêmes s’appuieront sur la « Stratégie de l’action islamique culturelle à l’extérieur du monde islamique »[2] qui les « appelle à prendre conscience des fondements de la paix civilisationnelle islamique, à la protection de l’identité de la civilisation du musulman contre les méfaits des courants idéologiques, culturels et politiques qui sont incompatibles avec son identité civilisationnelle » et à militer pour « un enseignement bilingue où l’arabe jouit d’une considération croissante pourrait satisfaire les attentes des parents celles qui concernent la réhabilitation de la culture arabo-islamique originale dans laquelle ils trouvent les sources de l’expression de l’identité à laquelle ils s’attachent. Ce même enseignement serait de nature à favoriser les enfants dans leurs études et leur intégration dans le milieu d’accueil et de vivre dans la symbiose de deux cultures qui s’enrichissent réciproquement ». Mme Najat Vallaud-Belkacem, lors de son passage au ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, a certainement dû s’inspirer très largement de ce document pour la promotion de l’enseignement de l’arabe à l’école.

Notre faiblesse fait la force de l’Islam !

Johan Zweitakter

[1] Neukölln : quartier turc et arabe du sud de Berlin. Environ un habitant sur cinq est au chômage et ce chiffre atteint 30 % lorsqu’il s’agit d’immigrés.

[2] https://www.isesco.org.ma/fr/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/Strategie-action-culturelle-islamique.pdf

https://ripostelaique.com/la-strategie-de-laction-culturelle-islamique-a-lexterieur-du-monde-islamique.html