Lallemant, la fable trotskiste de la matraque et du corbeau

Ach ! Lallement, gross malheur ! La guerre ! La macronnerie morbide de la fachosphère gauchiste est aux manettes avec la police ! La guerre ! Non ! Nous ne sommes sûrement pas dans le même camp !

Ach ! Lallemant, gross mystificateur ! Quand un corbeau nanti d’une matraque falsifie Trotski !

anti-k.org : Lallement entend jouer un rôle politique indépendant. On s’en doutait et la preuve est faite par Trotski ! Les vœux de Lallement envoyés à toute la maréchaussée parisienne et à tout le monde politique franco-français, sont, soi-disant, une citation de Trotski : “Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables“. (Écrits militaires, 21 avril 1918).

Cette citation est tronquée ! Voici la version véritable traduite depuis l’édition anglaise des Écrits militaires : “Avec une telle différence radicale entre le régime social de la République des Soviets et celui de la monarchie nobiliaire, je suis profondément convaincu que nous établirons l’ordre dont nous avons besoin, avec nos forces combinées, quels que soient les croassements des sombres corbeaux. Vous devez seulement comprendre et garder fermement à l’esprit que hors de cela, la chute et la ruine sont inévitables.”

Seul un corbeau (digne du fascisme rouge) nanti d’un sabre pouvait vider une phrase de Trotski de tout contenu, et n’y arrivant pas, la tronquer ! Mais quel est cet “ordre nécessaire”, non pas de Trotski, mais de (Lallement) le corbeau sabré ? Le sabre, en lui-même, n’a pas de programme. Il est l’instrument de l’ordre. On fait appel à lui pour conserver ce qui existe. S’élevant politiquement au-dessus des classes, (Lallement défend) le gouvernement actuel qui ne peut être rien d’autre que le gouvernement du capital financier qui dirige, inspire et achète les sommets de la bureaucratie, de la police, de l’armée et de la presse. (Bonapartisme et fascisme. Pour une caractérisation de la situation actuelle en Europe. 15 juillet 1934).

Les vœux bolcheviques du préfet Lallement de Paris : Radio Paris ment. Radio Paris est Lallement !

Le Salon beige : “Dans ses vœux pour 2021, le préfet de police de Paris, Lallement, cite une phrase de Léon Trotski : Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables ! Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites.

“Entre un Lallement psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trotski, Lallement fait un double clin d’œil (au fascisme rouge et) à un génie de la répression et à ses auxiliaires les Black blocs. Il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche !”

Christine Tasin : “La préfecture de police a les noms et adresses de 200 Black Blocs qu’elle protège !”

Résistance républicaine : Xavier Raufer, criminologue : “OUI ! Les Black Blocs sont connus, identifiés, repérés ! NON ! Le pouvoir ne veut pas mettre fin à leur exactions ! OUI ! Le pouvoir les protège !”

Xavier Raufer, criminologue : “Le problème des blacks blocs dans les manifestations peut être résolu à la minute” ! “Je témoigne du fait que la direction des renseignements de la Préfecture de Police dispose pour la région parisienne de la liste des 200 individus concernés”. L’impunité totale dont jouissent les milices gauchistes dure depuis des années, nous n’avons de cesse de les dénoncer… en vain ! Antifas et Black Blocs arrêtés sont relâchés illico. Que fait Lallement ? Il obéit aux ordres. Il ferme les yeux ! Il détourne les forces de l’ordre des racailles gauchistes pour qu’elles s’acharnent contre les Gilets jaunes et les patriotes !

Les racailles gauchistes sont les fils des militants gauchos proches du pouvoir et très protégés !

Antifas et Black blocs forment des milices gauchistes proches du pouvoir en place. Ils tiennent la rue et y font régner la terreur, ils y font régner l’ordre stalinien. Ce sont des milices fascistes travaillant main dans la main avec le gouvernement pour terroriser les Français moyens tentés de manifester contre Macron !

Les Blacks Blocs, avec leurs cagoules, leur harnachement noir, leur violence… ça évoque les milices fascistes classées dans l’imaginaire d’extrême-droite. Et ça peut faire peur aux Français tentés de descendre eux aussi pour manifester dans la rue assurés de se retrouver face aux racailles islamisées renforcées des racailles gauchistes, toutes racailles ne respectant ni Dieu ni mère ni la loi, ni la République ni les patriotes.

Lallement, par son style et sa sémantique non dénuée d’arrogance, est devenu le point de fixation de toutes les critiques à l’encontre de l’usage des forces de l’ordre sur le terrain par l’État. Lallement ignore en permanence son devoir de neutralité. Ce manquement aurait déjà dû être sanctionné, il ne l’est pas !

Ach ! Lallemant, gross malheur ! La République de Macron aux mains des racailles et des voyous !

Frédéric Lordon : 2020 : Cap au pire ! Comment reprendre ses esprits et se remettre à penser après des atrocités comme la décapitation de Samuel Paty et les assassinats de Nice ? En nommant la cause : une force théologico-politique islamiste violente, stratégique, déterminée à poursuivre un agenda conquérant et impérialiste vers le fascisme islamiste. Nous n’y sommes pas encore, mais tout nous y pousse !

Maxime Tandonnet : 2020, pire année de l’histoire ? Pendant des mois, nous avons été manipulés sur le thème : 2020, pire année de l’histoire, comme l’a certifié le magazine américain Time. Selon ce slogan, on a subi tous les mensonges possibles. Macron a parlé de guerre, on a parlé d’annonces apocalyptiques de 600 000 morts en quelques semaines, puis 400 000 morts, supposés inévitables, quoi que l’on fasse ! Affirmer que 2020 fut la pire année de l’histoire est le signe du triomphe de la lâcheté, du mensonge et de la bêtise !

Maxime Tandonnet : 2020, l’année de la lâcheté, du mensonge et de la bêtise ! La statue de Colbert, l’ancien ministre de Louis XIV, a été taguée à Paris, au nom de la lutte contre le racisme et de la mémoire de l’esclavagisme. Les idéologies totalitaires ne sont pas mortes, elles se métamorphosent et rejaillissent sous d’autres formes. Le niveau scolaire des élèves de cinquième est équivalent à celui du CM2 en 1987 ! De fait, le retour de l’instinct totalitaire (de Macron) se nourrit de la montée de l’ignorance (de Macron).

Lallement, le trotskiste de la honte, place d’Italie, à une manifestante pacifique Gilet jaune :

“Nous ne sommes pas dans le même camp madame !” Ben voyons ! T’as pas honte, Lallement ?

3 avril 2020, le même Lallement, le trotskiste de la honte, porte d’Orléans, sur BFM TV : Ceux qui sont aujourd’hui hospitalisés dans les réanimations sont ceux qui au début du confinement ne l’ont pas respecté.

Blog mediapart : On peut rapprocher ces deux déclarations publiques de Lallement. Elles révèlent le caractère méprisant, rejetant, par un serviteur de l’État. Ici pas de neutralité républicaine, en effet Lallement est au service d’un clan, d’un groupe qui s’est approprié l’État et utilise la police comme son bras armé, pour faire passer ses lois partisanes et essayer d’empêcher l’expression publique de ceux qui s’opposent.

Ici, Lallement utilise un ton menaçant, comme s’il fallait faire du chiffre et verbaliser comme si c’était le seul moyen de lutte contre l’épidémie. Stigmatiser les personnes qui luttent entre la vie et la mort, c’est les accuser d’être responsables de ce qui leur arrive et d’être transmetteurs du virus. Ses déclarations sont bien en cohérence avec la politique du maintien de l’ordre et de l’utilisation de la police dans ce quinquennat.

C’est le reflet d’une pensée scandaleuse, d’un choix politique totalitaire de Macron En Marche !

fr.sputniknews : Lallement est-il dans son bon droit ou a-t-il dépassé les limites ? Des experts juridiques ont donné leur avis. Cette phrase de Lallement, lancé à une femme Gilet jaune : Eh bien, nous ne sommes pas dans le même camp, madame ! a suscité une polémique. Il lui est reproché de ne pas avoir respecté le Code de déontologie de la police nationale, article R. 434-29 – Devoir de réserve : “Le policier est tenu à l’obligation de neutralité”. Nicolas Hervieu, juriste spécialiste du droit public : En dépit du nom de sa fonction et du port de l’uniforme, le préfet de police n’est pas un policier, c’est un préfet. D’après le juriste, Lallement n’a pas à se reprocher quoi que ce soit, bien qu’il ne fût pas très opportun d’intervenir de la sorte.

Lallement appartient au corps préfectoral. Le préfet est la voix de l’État et celle du gouvernement !

Lallement est astreint à un devoir de réserve car il est un représentant de l’État lié à l’usage de la force publique ! Le préfet est très dépendant de l’exécutif et applique la politique qu’il décide ! Quand un préfet s’exprime publiquement, il est la voix de l’État et celle du gouvernement. Le préfet peut s’exprimer librement, dès lors qu’il est sur la ligne politique du gouvernement, même si un préfet “ne devrait pas dire ça“.

Nicolas Bastuck, Le Point : Lallement : la rodomontade de trop ! C’était le 17 mars : Nous contrôlons la situation. Pour être en règle, c’est très simple, il faut remplir ce formulaire. Vous devez l’avoir avec vous. N’oubliez pas vos papiers, également, Mesdames, Messieurs. Voilà, c’est de la pédagogie, vous connaissez les consignes. Et vous me connaissez, je vais les faire comprendre assez vite, si les explications pourtant parfaitement claires du gouvernement n’étaient pas arrivées aux oreilles de tous ! Lallement faisait la leçon aux Parisiens : Vous me connaissez ! avec la jubilation sinistre de celui à qui l’on a confié les pleins pouvoirs.

Lallement, un ayatollah trotskiste pour remettre de l’ordre dans Paris ! Comprenez : Je ne donnerai pas longtemps dans la pédagogie. Bon allez, circulez, ça suffit ! Dès demain, j’enfilerai mon costume de Père Fouettard, toujours prompt à dégainer matraque, amendes et grenades de désencerclement.

Lallement en guerre face à l’épidémie sur BFM TV : “Ceux qui sont hospitalisés, ceux qu’on trouve dans les réanimations, désormais, ce sont ceux qui, au début du confinement, ne l’ont pas respecté.

Voilà, ça c’est de la pédagogie : “C’est très simple, il y a une corrélation très simple. Ça n’est pas un jeu vidéo ! Tout ça, c’est une réalité.” C’est le mépris du préfet Lallement et sa manière dédaigneuse d’insulter les Français à la façon de Macron ! Eh bien nous ne sommes pas dans le même camp que toi !

Louis Nadau, Marianne : Lallement a signé une nouvelle provocation en dégotant une citation de Trotski en guise de vœux pour la nouvelle année. Une sortie agrémentée d’une citation de Léon Trotski le fondateur de l’Armée rouge qui prend place dans une collection (de conneries) déjà bien fournie.

Rappelons l’époque où Trotski écrit ces lignes, la Russie est en pleine révolution bolchevique et vient de basculer dans la guerre civile et la terreur rouge, dont le prophète armé fut l’un des principaux artisans. Le (style) du leader communiste ne semble pas rebuter Lallement que cette conception de la répression (de la terreur rouge) inspire manifestement (pas éloignée de l’ultra-gauche et des Black Blocks impunis). Lallement a laissé penser que sa conception du maintien de l’ordre n’était pas si éloignée que ça de la guerre civile !

Place d’Italie, une femme interpelle Lallement : “Comment ça se fait que vous arrivez pas à les arrêter, les Black Blocs ?” “On les a arrêtés”, réplique alors Lallement ! L’objectif : “faire comprendre assez vite” les consignes ! Lesquelles ? “Qui peut être surpris que l’ordre soit le contraire du désordre ?” Et on allait voir ce qu’on allait voir. Déplorant des “endroits de Paris où les consignes ne sont pas comprises”, Lallement était prêt à mettre au pas les réfractaires : “Vous me connaissez, je vais les faire comprendre assez vite si jamais les explications pourtant parfaitement claires du gouvernement n’étaient pas arrivées aux oreilles de tous” !

“On nous a expliqué que les manifestations étaient très compliquées, on nous a expliqué que toute une série de choses étaient épouvantables. Mon travail n’est pas de lister les problèmes, mon travail est de trouver des solutions. Je vais les trouver.” Et on attend encore…

Il est nécessaire de revenir sur le scénario pour disqualifier le mouvement des Gilets jaunes : Laisser casser pour effrayer le bourgeois et disqualifier un mouvement, c’est une très vieille histoire qui peut aller jusqu’à faire prendre par des policiers masqués et des nervis vêtus de noir la mission des casseurs.

Des témoins oculaires dignes de confiance comme le député Jean Lassalle en ont personnellement fait la cruelle expérience au moment des Gilets jaunes ! Se pose alors la question de l’utilisation dans les manifestations de policiers appartenant aux Brigades anti-criminalité (BAC), fonctionnaires sans uniforme, dont le maintien de l’ordre n’est pas le métier et qui adoptent systématiquement des comportements suspects.

N’oublions pas ce qu’a révélé l’épisode Benalla et la présence dans les manifestations de civils armés avec des signes d’appartenance à la police. Le scénario de la place d’Italie est suffisamment suspect pour envisager une provocation destinée à disqualifier et criminaliser le mouvement des Gilets jaunes. Ce ne serait pas la première fois. Cela justifie un travail d’enquête sérieux pour reconstituer la réalité de ce qui s’est passé.

Moralité : Ach ! Lallemant, gross malheur ! La guerre ! On ne va pas hésiter ! Loin de la neutralité républicaine, Lallemant reprend les phrases de la guerre civile de Trotski. Il est fidèle à Macron qui a désigné ses ennemis : La foule haineuse ! et dit sa conviction du nécessaire affrontement avec le peuple français.

Thierry Michaud-Nérard