En même temps que l’épidémie naissent la suspicion, l’envie, le sentiment d’injustice, l’insécurité, l’intolérance, le besoin de désigner un bouc émissaire.
Historiquement, la découverte par Jenner du principe de la vaccination apporte une réponse satisfaisante pour tous. Dorénavant, du plus pauvre au plus riche, l’ensemble de l’humanité va pouvoir bénéficier d’une protection contre les maladies infectieuses.
Le 14 mai 1796, Jenner, médecin anglais, inocule un enfant de huit ans en bonne santé avec le pus prélevé dans la pustule d’une fermière atteinte du cow-pox, la variole des vaches. L’inoculation s’avère un succès : la maladie vaccinale est bénigne, la protection contre la variole excellente, le risque de propagation nul.
Jenner prophétise la disparition prochaine de la variole, effectivement annoncée par l’OMS en 1980. Jenner croit avoir trouvé une loi de la nature et pose un principe : « les opérations de la nature sont généralement uniformes ». Voici l’erreur grossière. L’exception n’est pas généralisable.
Nous avons peut-être éradiqué la variole grâce au vaccin, mais nous l’avons remplacée par certaines maladies cutanées, comme certains psoriasis qui ressemblent à une variole froide.
Avec la vaccination, on met des organismes sains en contact avec la maladie par inoculation, dans l’espoir de générer une forme bénigne et invisible. Or, la variolisation tue beaucoup : un décès pour 50 à 250 inoculations.
Sur les plans individuel et collectif, nous ne sommes pas en meilleure santé qu’il y a cent ans. La chimiothérapie et la vaccinologie montrent leurs limites, leur impuissance et leur dangerosité. Les infections progressent et deviennent incurables. Les virus tiennent le haut du pavé. Certaines maladies anciennes reviennent en force comme la tuberculose, le choléra ou la peste.
En quelques décennies, nous sommes passés de pathologies aiguës, impliquant les défenses naturelles relayées par une immunité spécifique durable, à des pathologies chroniques caractérisées par une immunodépression généralisée qui apparaît dès le plus jeune âge.
Développement de maladies dégénératives et auto-immunes, « maladies de l’esprit », démences et dépressions, angoisses et névroses, suicides ou crimes d’enfants et d’adolescents, mortalité infantile sont en constante augmentation.
L’effondrement immunitaire, la floraison des maladies virales, anciennes et nouvelles, sont historiquement corrélés et liés à la généralisation progressive des vaccinations infantiles.
La surmédicalisation dès la naissance et jusqu’à la mort, l’absence ou l’insuffisance d’allaitement maternel, les états de stress et de détresse émotionnelle, l’alimentation industrielle, les pollutions, les neuroleptiques, les hormones participent à l’effondrement de la santé mondiale. La politique vaccinale s’inscrit dans un contexte qui a favorisé son émergence et assure sa pérennité.
Pour les uns, il faut poursuivre sur la même trajectoire. La conception de nouveaux vaccins grâce au génie génétique demeure la seule réponse possible à la diversification et à l’extension des pathologies. Pourtant, depuis 10 ans, aucun progrès significatif n’a été enregistré dans ce domaine. Et les effets biologiques immédiats de ces vaccins « trafiqués » sont moins prévisibles que les effets des vaccins classiques.
Pour d’autres, les vaccins sont la cause majeure de cette diversification et de cette extension morbides. Cela ne peut être que pire avec les « bricolages » du génie génétique. Et les vaccins du futur nécessiteront l’utilisation des adjuvants, puissants toxiques nerveux et hépatiques.
La réponse relève entièrement de l’éthique, de la liberté individuelle, et de l’esprit critique face à une information scientifique dénaturée. Des omissions ou contrefaçons, volontaires et orchestrées, soutiennent des intérêts particuliers. Les accidents vaccinaux sont passés sous silence. Les aliments contenant des organismes génétiquement modifiés ne sont pas étiquetés.
Le public, jugé ignare et irresponsable, fait preuve de crédulité, de laxisme, de paresse à rechercher et comparer les diverses « vérités ». Il dénie l’information contraire : si les vaccins étaient dangereux, « ça se saurait ». L’une des clés de la réflexion est de situer l’intérêt.
L’information officielle, notamment dans le domaine médical, est volontairement tronquée, pour maintenir les profits des lobbys industriels dont la seule motivation est l’exploitation d’une humanité fixée en servitude par la peur et une illusion de sécurité. Les programmes sanitaires internationaux perpétuent le plus gigantesque génocide de l’histoire de l’humanité, sous couvert d’humanisme. Le mensonge, la duplicité, l’hypocrisie, servent quotidiennement à imposer des mesures qui créent et entretiennent la très lucrative maladie. Nous sommes bernés et manipulés.
Il y a une énorme collusion entre la recherche et l’économie marchande dans le domaine des biotechnologies, du transgénisme et de la vaccinologie. Alliance d’une science réductrice et de l’industrie multinationale de monopole.
Des scientifiques désignés font partie de l’oligarchie dominante. Ils rendent l’inacceptable acceptable aux yeux de l’opinion publique : des multinationales anonymes contrôlent chaque étape de notre existence, de la conception à la mort, procréation, prévention médicale, alimentation. Dans l’état actuel de nos connaissances, le devenir des gènes manipulés et transférés, leurs effets à moyen et long terme sur l’environnement et la santé sont absolument imprévisibles. Les « experts » sont incapables de mener à bien leur mission : évaluer les risques.
Depuis le XIXe siècle, nous sommes confrontés à une conception matérialiste du monde, conception qui nie la profondeur et la complexité de la relation Humain-Nature. Ce matérialisme pur et dur entend tout connaître et tout contrôler. Il est actuellement l’objet d’une remise en cause radicale. Mais les milieux scientifiques orthodoxes font croire que cette remise en cause émane de groupuscules marginaux et rétrogrades, assimilés à des sectes et accusés de vitalisme. Les conservateurs aux abois s’acharnent contre les contradicteurs, les accusent de complotisme, de charlatanisme ou d’appartenance à une secte déshumanisante, par exemple les Témoins de Jéhovah. Au contraire, des médecins et des chercheurs en biologie restaurent le lien avec la spiritualité, renouent avec l’antique tripartition humaine : corps-âme-esprit.
On retrace généralement l’histoire de la science en énumérant ses triomphes. Mais il est possible de le faire aussi en retraçant ses errances, ses erreurs et ses mystifications.
Les nations modernes ont fait de la Science une religion universelle. Ses promoteurs font triompher certains concepts ou idées par tous les moyens, tirent profit des circonstances sociales, imposent certaines croyances et certaines pratiques. Ainsi, la Science s’empare des inconscients collectifs, sème la confusion. Les scientifiques façonnent le monde au détriment de ses habitants. Des auteurs dénoncent cette mystification en prenant pour exemple type le cas de Louis Pasteur.
Pasteur est l’objet d’un véritable culte, l’une des plus puissantes figures emblématiques du XIXe siècle. Sa figure de savant désintéressé lui vaut le titre de « bienfaiteur de l’humanité ».
Pasteur était-il tellement désintéressé ? Ne fut-il pas plutôt un inventeur ambitieux et parfois dogmatique, intelligent certes, mais beaucoup plus réaliste et beaucoup plus intégré aux pratiques sociales de son temps que ne le racontent certains hagiographes ?
Une image nouvelle de Pasteur et de la révolution pasteurienne prend forme et le mythe du « grand savant » se désagrège de plus en plus. Pasteur est-il de bonne foi lorsqu’il profite de son influence pour ridiculiser ses contradicteurs, piller leurs découvertes pour se les attribuer ?
Tous les apports scientifiques du XIXe siècle ont été complétés et approfondis pour aboutir à nos provisoires conceptions modernes. Mais la théorie de la vaccination est devenue un dogme imposé par la loi du plus fort, toujours vivace malgré les remises en cause de milliers de chercheurs, malgré les gravissimes problèmes de santé qui en découlent.
Pasteur est l’objet de dévotion. Sa légende dorée fut bâtie et entretenue par des disciples devenus les grands prêtres d’une religion scientiste. Les récentes découvertes de la biologie donnent tort aux conceptions du « maître », mais il est difficile d’ébranler le lobby pasteurien. Les idées, hypothèses, expériences et faits ne sont pas présentés et débattus. On empêche par tous les moyens l’action de ceux qui proposent des thérapies alternatives, qui proposent d’essayer autre chose. Certains s’acharnent à imposer des dogmes, souvent par la force. Pourquoi cela ?
Si les vaccins sont efficaces et sans danger, pourquoi des médecins et des chercheurs tirent-ils la sonnette d’alarme depuis plus de cent ans ?
Si les vaccins sont inefficaces et dangereux, pourquoi les impose-t-on à tous les peuples du monde, dès la naissance et toute la vie ? Pourquoi en produit-on toujours de nouveaux ?
En 1888, fut créé l’Institut Pasteur, aujourd’hui intégré à une multinationale. Cette multinationale réalise des profits considérables dans un contexte sanitaire mondial de plus en plus dramatique. Les technocrates entretiennent des croyances absurdes, et utilisent l’auréole du « grand homme » pour pérenniser un empire financier sans se soucier de la dégradation de la santé, conséquence de leurs agissements.
L’image d’Épinal du savant infaillible et intègre fut jusqu’ici le moyen de valider notre perception négative du microbe et donc la poursuite de la vaccination à outrance. Cette phase de notre histoire se poursuit, avec l’assentiment des peuples terrorisés.
Depuis 150 ans, nous menons contre les microbes une lutte acharnée et perdue d’avance. Cette version d’un combat sans trêve apparaît de plus en plus puérile, simpliste, périmée.
La vaccinologie, désormais science autonome, nourrit une utopie illusoire. Le doute grandit, mais ses partisans durcissent leur action, imposent par la peur des inoculations inutiles et dangereuses, multiplient les interventions sur les nouveau-nés, persévèrent dans la vaccination généralisée d’un tiers-monde qui souffre de la faim, promettent des vaccins improbables contre des maladies dont l’origine n’est pas infectieuse.
Le temps est venu de remiser les vaccins, avec les clystères et les saignées du temps jadis, mais le public reste subjugué, anesthésié par les discours lénifiants des décideurs.
Pour Pasteur, pour les savants, mécaniciens sans état d’âme, sûrs du diagnostic, inventeurs de drogues, les maladies sont causées uniquement par les microbes, la cause unique est attribuée à un microbe pathogène. La cause des maladies est tout autour de nous, dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons, dans la nourriture que nous absorbons. Et les remèdes standards destinés à des maladies standards sont un moteur important de l’économie, depuis la révolution industrielle. Avec Pasteur, une technique empirique dans une situation épidémiologique unique devient le fondement d’une théorie universelle. Très grave erreur conceptuelle.
Face à la menace épidémique, certains humains deviennent soudain réceptifs, tandis que d’autres demeurent réfractaires. Question de « terrain ». Trois facteurs, omniprésents dans l’histoire humaine, suggèrent une origine anthropique et une fonction régulatrice de l’épidémie : 1- la sous-alimentation, les carences diététiques, les famines, 2- l’instabilité sociale liée à la colonisation et à la guerre, guerre qui aggrave la pénurie, 3- le surpeuplement.
D’après le docteur Éric Ancelet.
Jean Saunier
Excellent article qui résume bien des choses. L’industrie pharmaceutique est là pour le pognon. Ceux qui soignent sont les médecins. Ce sont deux métiers différents mais hélas, les conflits d’intérêt sont de plus en plus omniprésents, au détriment de la vraie science. Confondre l’industrie agro-alimentaire (agro-chimique en un mot) avec le métier d’agriculteur tel qu’il aurait dû rester est une pure connerie. Et bien ici c’est pareil. Les insectes disparaissent à cause des pesticides, mais des “scientifiques” bien payés sortent des études bidon pour démontrer que les insecticides ne sont pas en cause. Mais bien sûr Arthur. Et … les agriculteurs sont piégés tout comme demain (aujourd’hui ?) les médecins. CQFD.
Il y a encore des gens qui refusent la science au nom de la religion ou bien d’Eric Ancelet…
On s’étonnera que le niveau de la population baisse, après.
En fait vous avez tout magnifiquement résumé concernant la “médecine moderne” et son corollaire de crimes contre l’humanité.
Toutes mes excuses Monsieur Saunier j’ai posté avant de terminer votre article (il faudra que je tempère mon bouillant tempérament de bientôt 70 ans sinon celà me jouera des tours lol) et je vous rejoins donc totalement Merci pour cette excellente analyse.
La variole (ainsi que n’importe quelle autre maladie) n’a jamais été éradiquée par la vaccination ceci ayant été reconnu par l’OMS elle même dans les années 70 époque où cette organisation faisait encore son métier. Quant à la vaccination en général il y a suffisamment d’articles publiés par d’éminents professeurs, dont des prix Nobel, qui expliquent à la fois son inutilité et les mensonges de Pasteur. Lisez entre autres le merveilleux Michel Georget hélas décédé il y a 3 ans, ses explications sont lumineuses de simplicité et d’humilité.
Excellent article. Dans le prochain, ne pas hésiter à rappeler l’usage que la famille Rockefeller a fait de sa fortune pour diaboliser toute thérapeutique non chimique, non brevetable, obligeant l’enseignement médical à s’aligner sur cette imposture, et pas seulement aux Etats-U nis …si l’on a de bons yeux.
La campagne d’intoxication vaccinale COVID et la vaccination HPV avec le Gardasil 9 au collège en 5ème en sont des preuves évidentes. Parents protégez vos enfants : refusez cette corruption généralisée et rejetez les discours alarmistes de Diafoirus perclus de conflits d’intérêts ou soumis au Conseil de l’ordre ! Ils s’enrichissent sur vos peurs infondées.
La vaccination systématique au Gardasil est une excellente chose.
Renseignez-vous sur les excellents résultats obtenus par l’Australie avec une politique comparable au lieu de répéter les idioties des ignorants.
Vous êtes forcément un agent de Big Pharma pour débiter de telles inepties et pour pratiquer à ce point l’inversion scientifique, donc continuez à vous faire injecter tous les poisons vaccinaux vous le méritez bien car se permettre de traiter d’ignorants les sommités scientifiques (dont des prix Nobel) qui dénoncent à juste titre l’ignominie vaccinale il faut être soit agent corrompu de Big Pharma soit être supérieurs à tous ces véritables scientifiques, je me permettrai donc d’opter pour la première hypothèse et me permettrai au passage de vous demander votre niveau d’études …
Il y a d’ailleurs un article ce jour sur les excellents résultats de l’Australie concernant ce merveilleux Gardasil, votre ignorance et vos affirmations font frémir, je ne puis m’empêcher de penser à ce très grand Michel Audiard.
Mais puisqu’on vous certifie que le recul sur le gardasil est là avec preuves australiennes à l’appui : plus de cancer de l’utérus chez les femmes de…quel âge au fait ? 50 ans ? 60 ? 70 ? 80 ? Excellent.
Vieux jo j’espère que vous ne vous adressez pas à moi. Ca montrerait que mon ton ironique n’a pas été bien amené. Car bien évidemment que je n’y crois pas une seconde à leur daube. Les cancers de l’utérus n’ont pas disparu d’Australie et bien évidemment le recul est absent puisqu’il faudrait au moins que ces femmes vaccinées atteignent allez…50 ou 60 ans pour juger. Les jeunes ont tout de même peu de chances d’avoir un cancer de l’utérus donc rien n’est démontré. Mon commentaire s’adressait au “sachant” qu’on lit souvent sur RL.
Cher Chris 44 je m’adressais à Sardanapale rassurez vous et merci pour vos commentaires
Je me doutais Vieux Jo mais parfois je peux mal m’exprimer. Ce n’est pas toujours évident sans l’interlocuteur en face et sans inscrire la mention “à un tel”. Bonne journée a vous.
A vous aussi Chris44 et à bientôt, je vous rassure vous êtes très clair dans vos commentaires
Je sais pourquoi ces cons ne guérissent pas ma sclérose en plaques: ça ne leur rapporte pas assez vu qu’il n’y a que 130 000 français atteints et à peine 1 millions et demi dans le monde! ils en ont rien à foutre de nos terrifiantes douleurs!!! Le plus beau, c’est qu’ils disent que la SEP ne fait pas mal: ta gueule, toi qui ne saura jamais ce que nous endurons! je te souhaite la même…
pourquoi la frnce a t-elle délocalisé ses usines pharmaceutiques (comme les autres usines)?
Parce qu’il n’y avait plus de réelle politique industrielle dans notre pays depuis bien longtemps et ça, c’est le vrai problème, c’est grave.
Jean Yanne avait son avis sur Pasteur :
https://youtu.be/kS7BfWoOFmw?si=XHSX2Wrt-57x3hv8