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L’arnaque de la crise du pétrole

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On nous prend vraiment pour des cons !

Si ce n’est pas le cas, j’aimerais bien que l’on m’explique : crise du pétrole, cause, paraît-il, de la guerre en Ukraine, donc le baril de pétrole devrait coûter beaucoup plus cher et, comme il y a crise, personne n’en doute, les sociétés pétrolières devraient sinon perdre une partie importante de leurs bénéfices mais tout au moins ne pas faire plus de profit. Or la société SHELL annonce 40 milliards de dollars de bénéfice en 2022, soit deux fois plus qu’en 2021. Total Energie a vu ses bénéfices doublés sur un an (alors que cette société avait accordé une baisse générale de 0,20 centimes sur le litre) et 6,6 milliards de dollars pour le seul troisième trimestre 2022. Exxon Mobil 5,6 milliards de dollars de bénéfice pour 2022.

Les 5 principales sociétés pétrolières de la planète (les trois précédentes plus Chevron et BP) ont réalisé 62,5 milliards de dollars de bénéfice en 2022 (davantage que le PIB d’un pays comme la Bulgarie).

Bien entendu l’État français, grâce aux taxes prélevées sur les achats à la pompe, s’est enrichi de plusieurs milliards d’euros.

Je ne comprends pas : parce que l’essence avait atteint le prix de 1,50, le pays est descendu dans la rue, les Gilets jaunes occupaient tous les ronds-points. Aujourd’hui le carburant atteint et même dépasse les 2 euros et personne ne bouge : les Français auraient-ils perdu leurs couilles ? Macron les aurait-il castrés ?

Et s’il n’y avait que le prix de l’essence ! Mais tout part en « java » : l’immigration, la sécurité, l’éducation, la santé, la retraite, l’armée, la justice, l’écologie et j’en passe… La France, qui était citée en exemple par le monde entier, est devenue une république bananière.

« Les optimistes disent : bientôt on mangera de la merde ! Non, ce sont les pessimistes qui disent cela. Pas du tout, les pessimistes disent « il n’y en aura pas pour tout le monde ».

Car un tout récent sondage nous annonce que 36 millions de Sub-Sahariens souhaitent émigrer vers la France « pour venir partager notre « merde » !

Manuel Gomez