L’ascension de Mahomet au ciel est une supercherie

L’islam, c’est la violence sacralisée.
L’islam, c’est l’ignorance sacralisée.
L’islam, c’est la perfidie sacralisée.
L’islam, c’est le mensonge sacralisé.
L’islam, c’est une idéologie suprémaciste, raciste et misogyne.

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
« Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur (Mohammed), de la Mosquée Al-Haram (à la Mecque) à la mosquée Al-Aqsa (Jérusalem) dont Nous avons béni l’alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C’est lui, vraiment, qui est l’Audient, le Clairvoyent » (sourate 17- Al-Isra- Voyage Nocturne, verset 1).

Selon la tradition islamique, le prophète de l’islam, Mahomet aurait parcouru la distance de la Mecque (mosquée de la Kaba’a) à Jérusalem (Mosquée Al-Aqsa qui n’était pas encore construite, une autre arnaque islamique) sur le dos du Bourâq (monture céleste, sorte de mulet ailé, chevauchant à la vitesse de l’éclair) en une nuit.
Quand on sait que cette distance est d’environ mille trois cents kilomètres ( 1300 km), il y a des questions qui se posent sur la fiabilité de ce récit.
Et à partir de la mosquée d’Al-Aqsa, sur le même Bourâq, Mahomet a fait l’ascension aux sept cieux pour rejoindre le Trône D’Allah, à la limite de l’arbre du Jujubier (sourate 56, verset 28) en compagnie de l’Ange Gabriel (Jibril).
Cette ascension est appelée Lailat al-Miraj-nuit de l’ascension- qui est considérée comme une fête religieuse islamique.

Il a pris comme base de lancement le rocher situé sur le mont Moriah, mont du temple de Salomon ou Dôme du Rocher là où Abraham en se conformant à l’ordre de l’Éternel, avait voulu immoler son fils Isaac selon la tradition hébraïque ou Ismaël selon la tradition islamique. Lorsque Abraham était sur le point d’effectuer le geste fatal, un ange l’arrêta en lui ramenant un bélier.

Il faut savoir que dans la mythologie grecque, Athamas, le roi de la Béotie, quand il avait tendu la main pour immoler son fils Phrixos, Héraclès ( celui qui détourne le mal) envoyé par Zeus lui intima l’ordre d’épargner son fils et un bélier appelé Chrysomallos, était apparu alors.

Aux lecteurs de RL de choisir laquelle des trois histoires est la vraie (grecque, hébraïque ou islamique).
Selon les exégètes musulmans, cette ascension de Mahomet est évoquée aussi dans les versets 1-18 de la sourate 53, « L’Étoile », et les versets 18-25 de la sourate 71 « Noé »…
L’événement est ensuite développé dans tous les grands recueils des hadiths, mais aussi dans les commentaires du Coran comme celui de Tabari, et dans une littérature spécialisée (kutub al-miraj, livres du miraj). Le plus ancien est l’œuvre du chiite Hisham ibn Salim Jawaleqi, disciple des cinquième et sixième imams (Muhammad al-Baqir et Jafar al-Sadiq), et consiste en une compilation de traditions.

La littérature relative au miraj dépasse rapidement le cercle des religieux et des théologiens, et se développe ensuite comme un genre littéraire arabe dont les plus représentatifs sont l’ensemble des récits de l’isra et du miraj qui rapportent une même succession d’événements :
Mahomet, qui dort à la Mecque près de la Ka’bah, est réveillé par l’ange Gabriel.
il accomplit le voyage vers la mosquée la plus éloignée (changée en Jérusalem par une tradition tardive, le nom de Jérusalem n’apparaissait pas dans le Coran) sur le Bourâq, une espèce de mulet surnaturel. En route, Mahomet rencontra des bonnes et mauvaises nouvelles, visita Hébron et Bethléem. Puis, il arriva à Jérusalem où il rencontra les Prophètes Abraham, Moïse et Jésus, et dirigea leur prière.

Il monta ensuite dans les sept cieux à l’aide d’une échelle céleste ou sur le Bourâq. Les avis des exégètes diffèrent. Peut-être aussi à bord de la fusée Ariane ? Qui peut le savoir ? Avec l’islam, on est en pleine confusion et en pleine contradiction.
Il visita les sept cieux. Au ciel inférieur, il rencontre Adam, au second Jésus (‘Issa) et Jean le Baptiste (Yahya), au troisième il vit Joseph fils de Jacob (Yusuf), au quatrième, Hénoch (Idris), au cinquième, Aaron (Haroun), au sixième, Moïse (Moussa) et enfin, au septième ciel, ce fut au tour d’Abraham (Ibrahim). Il atteignit ensuite un lieu où il entendit le bruit des calames qui écrivaient la destinée.

Il rencontra Dieu et discuta avec Lui le nombre de prières quotidiennes. Moïse participa à la discussion et encouragea Mahomet à demander une réduction du nombre de prières de cinquante à cinq. Après plusieurs allers-retours, sans que ces prières perdirent de valeur, un compromis fut trouvé .
Une négociation serrée se déroula entre Allah et Mahomet pour arriver au nombre de cinq prières quotidiennes.
Grâce à cette négociation, les mahométans furent épargnés de prier cinquante fois par jour.

Selon Sahih Muslim, le prophète de l’islam a dit : « On m’a attribué Al-Bourâq ; un grand animal blanc plus gros qu’un âne et plus petit qu’un mulet. Il pouvait placer ses sabots à la limite la plus éloignée de son regard. Je l’ai monté jusqu’à mon arrivée à Bay Al-Maqdis (mont du temple). Puis, je l’ai attaché à l’anneau des Prophètes où l’avaient attaché auparavant (c’est-à-dire le mur d’Al-Bourâq ou le Mur Occidental). Je suis entré dans le sanctuaire d’Al-Masjîd Al-Aqsa où j’ai pris deux rak’as ( verres de lait) ».

D’après la Bible, Hénoc et Élie eux-aussi, sont les deux seules personnes que Dieu a enlevées au ciel sans qu’elles ne meurent. Genèse 5.24 dit : « Hénoc marcha avec Dieu, puis il ne fut plus là, parce que Dieu l’avait pris. » 2 Rois 2.11 dit : « un char et des chevaux de feu les séparèrent l’un de l’autre et Élie monta au ciel dans un tourbillon. » Hénoc est décrit comme un homme qui « marcha avec Dieu » (Genèse 5.24). Élie, lui, était peut-être le prophète le plus puissant de l’Ancien Testament. De plus, des prophéties annoncent son retour (Malachie 4.5-6).

Zoroastre (Zarathoustra) lui-aussi a fait un voyage céleste pour y rencontrer Ahura-Mazda (Dieu unique de la religion zoroastrienne) afin d’obtenir la sagesse et la lumière de la connaissance, selon la tradition zoroastrienne.
Zoroastre est monté au sommet de la montagne Sablan où un ange l’a conduit auprès du Dieu Ahura-Mazda.
Selon cette tradition, le prophète Zarathoustra a reçu de la part du Dieu Ahura-Mazda l’ordre de conduire les peuples des ténèbres à la lumière, de la misère au bonheur et du mal au bien.
Avec l’islam, c’est l’imitation permanente.

Cette ascension prétendue de Mahomet a permis aux musulmans de piquer Jérusalem aux Juifs et aux Chrétiens et d’en faire le troisième lieu saint de l’islam.
Une littérature islamique variée et abondante découle de cette pseudo-ascension qui a permis de faire croire aux musulmans que l’islam est une religion de vérité et que tout ce qui est rapporté dans le coran: c’est Allah qui l’a dit.
Qui parle mieux qu’Allah disent les Mahométans pour noyer le poisson. Cette ascension est une vraie supercherie islamique, comme tous les histoires rapportées par le coran et les hadiths.

Hamdane Ammar