Laurent Joffrin-Mouchard : à bas les frontières, mais pas touche à mon digicode !

Incroyable à quel point les auto-proclamées grandes âmes estampillées « de gauche », peuvent accumuler comme arguments à deux balles pour apporter leur précieuse aide à la vaste entreprise de démolition de la France.

Dans les funestes prévisions des mondialistes, celle-ci serait d’ailleurs suivie de peu de celle de l’ensemble des nations, appelées à disparaître pour laisser la place à un immense magma mondial de territoires sans frontières, habités par une masse d’esclaves interchangeables dont on ne dit pas le nom, mais à qui on aura suffisamment lavé le cerveau pendant des décennies, pour les transformer en zombies acceptant de travailler toujours plus pour se payer, avec difficultés, tout ce à quoi on les a rendus accros, dans le but ultime de les rendre dociles.

Les « on » vivant bien évidemment au-dessus de la mêlée, entre gens de biens, dont les immenses qualités innées et l’évidente supériorité sur les populos, leur permettent de se pavaner dans un luxe et une sécurité à jamais inaccessible aux « petites gens » !

Ainsi l’immonde cynisme des dirigeants du groupe Kingfisher, décidant que les employés licenciés devront « former » leurs remplaçants polonais, vraisemblablement moins payés qu’eux, afin de permettre aux actionnaires de se gaver encore et toujours plus !

« L’annonce a créé un vrai choc chez les salariés des enseignes spécialisées dans le bricolage, Castorama et Brico-dépôt. Le groupe Kingfisher, qui possède les deux magasins de bricolage, a confirmé la délocalisation en Pologne de leurs activités comptables, ce qui a pour conséquence la suppression de 450 emplois en France […] Mais la maison-mère a réservé une autre surprise aux salariés, qui doivent déjà digérer la nouvelle de leur futur licenciement : ils devront aussi former leurs remplaçants polonais ».

https://www.capital.fr/votre-carriere/castorama-et-brico-depot-licencies-des-salaries-devront-former-leurs-remplacants-polonais-1274882

C’est donc bien dans ce camp de sournois qu’œuvre le grand Laurent Joffrin, ayant cru bon d’abandonner son vrai patronyme de « Mouchard » qui lui va pourtant si bien…

Actuellement « Directeur de la publication de Libération », celui dont le père était un grand ami de Jean-Marie Le Pen (mais chut il ne faut pas l’ébruiter) n’est jamais en peine de diktats pour imposer sa conception nauséabonde du monde ; celle des faux gauchistes prétendus gens de cœur, alors qu’il y a peu de pire hypocrites et fourbes qu’eux… hormis peut-être les faux jetons qui se font passer pour droitistes et patriotes, tout en s’alliant aux précédents à chaque scrutin, pour mieux « faire barrage à la bête immonde » que serait l’unique parti se souciant réellement du Peuple qui les fait vivre !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Joffrin

Ainsi, la préoccupation actuelle du gaucho Joffrin, n’est pas du tout de se soucier de la montée du chômage (malgré les prétendus « mieux » enregistrés… on sait par quelles manœuvres !), la misère galopante atteignant les couches moyennes, la désespérance de millions de citoyens, juste bons à pressuriser pour le bonheur de la caste au pouvoir.

Pas du tout ; le principal souci du ci-devant Joffrin au grand cœur, c’est l’abolition des frontières, et pour cela il n’hésite pas à pourfendre les affreux nationalistes désirant rester chez eux, en sécurité parmi leurs semblables, et refusant de ce fait de se laisser noyer par les vagues d’illégaux accourus se faire prendre en charge par ceux-là même qu’ils détestent et rêvent d’éliminer !

Goûtez les arguments du bonhomme dans le torchon qu’il dirige, à propos de ce qu’il nomme l’obsession des frontières :

– Lentement mais sûrement, la peste nationaliste continue de produire ses effets délétères.
– Ce protectionnisme agressif risque fort de déboucher sur une guerre commerciale entre les grandes nations industrielles, qui réduira les échanges et augmentera les prix.
– Theresa May tente de s’extraire du piège dans lequel le Brexit a jeté le Royaume-Uni
– La presse populaire déverse un torrent d’insanités sur l’Union européenne
– Jusqu’ici les grandes démocraties avaient choisi la voie de la coopération, en réglant pacifiquement leurs différends. Le populisme les entraîne dans les impasses de l’hostilité permanente.
– Le nationalisme repose sur l’idée que chacun peut se retrancher derrière ses frontières pour défendre ses intérêts. Tout le monde y gagne, disent ses partisans. Il faut craindre, en fait, que tout le monde y perde.

http://www.liberation.fr/politiques/2018/03/02/l-obsession-des-frontieres_1633399

L’ennui, c’est que Joffrin se garde bien de détailler les arguments qui le font arriver à cette conclusion formelle ; et pour cause, cela a toujours été la méthode des idiots utiles au système, que d’affirmer haut et fort, en les martelant à chaque occasion, des slogans tellement percutants, qu’ayant touché les esprits simples et naïfs, point n’est besoin de précisions.

Le pire étant que malgré la manifeste mauvaise foi de tous ces traîtres à la Nation, un trop grand nombre de naïfs croient toujours aux miroirs aux alouettes des campagnes électorales, et retombent encore et encore entre les mêmes mains, pourtant ensanglantées de crimes impunis, bien au chaud derrière les formules « responsables mais pas coupables »… comme c’est commode !

Je suis d’ailleurs prête à parier que malgré toutes ses belles paroles, le bougre ne se retire pas le soir, après le labeur accompli, dans une cité HLM de n’importe quelle banlieue aux mains des racailles, mais dans une résidence hautement sécurisée, dont je serais curieuse de connaître le nombre de digicodes successifs qu’il doit mémoriser afin de ne pas s’exposer aux dangers prétendus inventés, auxquels sont exposés de plus en plus de citoyens lambda, qui n’ont pas eu comme lui, la chance de naître avec un cul bordé de nouilles !

Excusez la vulgarité, mais il faut bien de temps en temps libérer notre légitime colère, autrement qu’en tuant quelqu’un… même si les juges rouges ont d’ores et déjà condamné le droit au blasphème, en punissant bien plus sévèrement ceux qui s’expriment avec des mots, que ceux qui imposent leurs idées par viols, égorgements, attentats meurtriers… toujours excusés par les collabos !

Mais comme je suis compatissante de nature, je soumets à monsieur Joffrin, cette petite méthode offerte par Marc Jolivet, pour l’aider à se souvenir de ses multiples digicodes :

Hormis quelques demoiselles qui auraient peut-être gardé en mémoire les chiffres recommandés par Jolivet, Joffrin pourra continuer à dormir sur ses deux oreilles… de sinistre islamo-collabo de compétition.

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

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