Le 8 mars, on fêtera la dinde woke !

Mercredi, c’est le 8 mars 2023. Et tous les 8 mars c’est la… Journée internationale des femmes ! Mais pas n’importe quelles femmes : exclusivement celles qui haïssent le mâle blanc, creuset de tout le mal féminicide, écocide, fongicide et insecticide ! Étant entendu que l’homme noir – devenu la coqueluche des publicitaires – est un modèle de vertu féministe, comme toutes les femmes le savent. Sauf celles qui ont croisé la route d’un Subsaharien privé de nos codes et qui les a violées par inadvertance culturelle ! Par contre, pour vous les Blancs, gare au viol par le regard ou au compliment forcément harceleur…

Mercredi, donc, seules les femmes capables d’atteindre l’orgasme idéologique d’ultra-gauche seront autorisées à manifester publiquement leur colère, cheveux multicolores au vent et piercing dans le c… où elles veulent en fait ! Avec des voix très éloignées de Maria Callas interprétant Casta Diva –  dans Norma, de Bellini –, elles mugiront leur ras-le-bol de la domination masculine blanche. Sans toutefois écorner les costumes féminins d’appellation halal contrôlée, qui vont si bien à leurs sœurs afghanes et saoudiennes !

Ces dindes wokes traqueront ainsi sans pitié le moindre soupçon de dissonance diversitaire – gare aux Antigones et autres vraies féministes trop attachées à la liberté des femmes ! – qui tenterait une audacieuse incursion dans leurs cortèges où, par contre, les créatures transgenres auront droit de cité. Car le transgenrisme c’est déconstruit comme il faut – particulièrement celui qui, par un coup de baguette magique LGBT, transforme un vilain petit canard mâle blanc en cane, noire de préférence. Pensez donc, un homme qui ne veut plus être un homme, c’est un peu comme si Himmler avait voulu faire sa bar-mitsva !

Ainsi, en ce jour béni du wokisme décomplexé, ces féministes déconstructrices auront la bouche pleine des violences faites aux femmes, strictement estampillées « mâles blancs ». Pas question de causer des prescriptions coraniques concernant les « counasses », bande de racistes rances comme une motte de beurre abandonnée dont ne se serait certainement pas servi Marlon Brando dans Le Dernier Tango à Paris, de Bernardo Bertolucci !

Quant aux excisions – lesquelles relèvent de la tradition exotique et non de la masculinité toxique blanche, hein ?! –, on en parlera avec tout le respect dû à cette « pratique culturelle ». Peu importe que le nombre de femmes excisées augmente furieusement dans notre bon pays et même si cela s’apparente un tout petit peu à de la torture pure et simple. Enfin, ce n’est pas moi qui le dis mais l’Unicef, l’excision reste une « coutume » très suivie (quoique non exclusivement, certes) dans les pays africains, comme le montre la carte qui suit :

Bien entendu, eu égard à leur ignorance crasse, ces grues couronnées de bêtise – dont Sandrine Rousseau est une icône – ne sauraient expliquer pourquoi il est possible de manifester librement sa haine des hommes blancs en Occident et bien moins ailleurs. Précisément parce que c’est chez l’homme blanc que la notion de liberté a germé et essaimé. Dont la liberté de manifester sa haine et sa laideur étudiée, comme si se transformer en épouvantail effrayant et débraillé avait quelque chose à voir avec la défense des femmes.

Ces féministes de carton-pâte, que seule la détestation de l’Occident fait reluire, devraient plutôt méditer cette phrase de Nietzsche : « La sottise chez les femmes, c’est ce qu’il y a de moins féminin. » Mais sont-elles encore des femmes ? N’est-ce pas un début de féminicide que de les désigner comme telles ou, pire, de leur tenir la porte lorsqu’elles ont un bébé dans les bras, au lieu de la leur envoyer dans la tronche en toute égalité ?! Autant de questions auxquelles je ne saurais répondre étant donné qu’avec leurs conneries j’ai essayé de me déconstruire et, depuis, je suis devenu un meuble Ikea à monter soi-même ! Je vous laisse imaginer le bordel…

En conclusion, voici quelques propos misogynes glanés çà et là et qui pourraient avantageusement fleurir les cortèges de ces fausses féministes s’apprêtant à manifester ce 8 mars sans autre considération que leur fanatisme wokiste (s’agissant des authentiques femmes, mes propos ne les concerne absolument pas et elles ont tout mon respect de mâle blanc !) :

« Les femmes sont comme des miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas. » (Arthur Schopenhauer)

« Les femmes sont comme les chevaux, il faut leur parler avant de leur passer la bride. »

(André Maurois)

« Les femmes sont les instruments interchangeables d’un plaisir toujours identique. »

(Marcel Proust)

Allez, bonne bourre, les filles… Euh, pardon, les dindes wokes !

(Pour les autres, à votre bon cœur, messieurs-dames, car, ainsi que l’a expliqué Cyrano dans son dernier édito, le 8 mars prochain ce sera aussi la « fête judiciaire » à Riposte Laïque.)

Charles Demassieux