Le calvaire pathétique de l'islamo-collabo Tubiana

Ri7TubianadelateurJe ne vois Tubiana qu’à l’occasion des procès qu’il instruit contre mes amis. Donc, je ne l’aime pas trop, c’est vrai. Mais un phénomène me sidère : à chaque nouvelle rencontre, j’ai l’impression qu’il a pris 20 kg par rapport à la dernière fois, et que, conséquence, se déplacer devient de plus en plus un calvaire pour lui.
Je me souviens de ce procès en appel de Pierre Cassen et Christine Tasin, où il était arrivé en retard. Pierre était à la barre, en train de répondre aux questions du président, quand, sentant qu’il se passait quelque chose derrière lui, il se retourna, et vit arriver l’énorme président de la LDH. Je l’entendais souffler comme un bœuf, peinant à reprendre sa respiration, quand il passa devant moi. Le fondateur de Riposte Laïque ne put s’empêcher, avec son ironie habituelle, de s’exclamer, d’un air avenant : « Tiens, bonjour M. Tubiana », attirant l’attention du public sur celui qui cherchait à passer inaperçu. Je n’oublierai jamais le regard haineux que lança le président d’honneur de la LDH à mon ami, quand quelques rires discrets se firent entendre à son encontre.
Ri7Tubiana sergent Garcia jpegCette fois, histoire de ne pas arriver essoufflé, il était en avance. En l’observant, je fus presque prise de pitié, devant son aspect. Je le trouvais encore plus gros que la dernière fois, et il paraissait vraiment en fort mauvaise santé. Je fus presque apitoyée de le voir ainsi, et j’avoue que je m’interrogeais sur ce qui pouvait encore animer un homme visiblement en si mauvaise santé.
La réponse me vint rapidement, lors de sa première intervention. Se levant très laborieusement (il est obligé de s’appuyer très fortement sur ses mains pour hisser son énorme derrière au-dessus du banc), il éructa qu’il n’était pas normal que Christine Tasin ne donne pas sa véritable adresse, et soit domiciliée chez son avocat. Il tremblait de rage, ne semblant pas tolérer de ne pas connaître ce fait, dont on voit difficilement ce qu’il pouvait apporter à l’audience.
Frédéric Pichon le moucha en douceur, informant la Cour que sa cliente faisait partie des trois personnes que visait le groupe islamiste Forsane Alizza, avant l’arrestation de ses militants, il y a deux ans. Comme la même réponse avait déjà été faite lors du premier procès, j’en conclus forcément que si le président d’honneur de la LDH possédait la véritable adresse de celle qu’il a fait trainer devant les tribunaux, il n’en ferait certainement pas le meilleur usage pour la sécurité de Christine, tant sa haine pathologique pour elle (et pour Pierre) transpire par tous les pores de sa peau.
Ri7Tubiana attaquebisbisIl était tout malheureux, Tubiana, lors de ce procès, qui s’apparentait à un chemin de croix, pour lui. Il était passé pour un imbécile au sein de la LDH, lors du premier procès, puisque sa plainte n’avait pas été instruite. En effet, se pensant au-dessus des lois, il avait oublié ce point de droit, que lui rappela Gilles-William Goldnadel : les statuts de son association n’autorisent pas un simple avocat (lui, Tubiana, un simple avocat, quel affront !), fut-il président d’honneur, de déposer plainte. Retoqué comme un débutant, il vécut ce camouflet comme une humiliation personnelle. On eut l’impression, tout au long de ce procès, qu’il était là non pas pour instruire contre Christine et Dominique Jamet, mais pour se justifier, et expliquer que la 17e Chambre, qu’il qualifia d’intime de la LDH (tiens, tiens…) avait été méchante avec lui.
Le malheureux dut boire le calice jusqu’à la lie. D’abord le Parquet n’avait pas fait appel, le laissant seul à la manoeuvre. Et à chaque fois qu’il avait cherché à provoquer Gilles-William Goldnadel, pour laver l’affront de sa plainte invalidée, il s’était fait ramasser par l’avocat des Grandes Gueules, au mieux de sa forme.
Il fit une plaidoirie à la Tubiana, rien de neuf, on connaît par cœur, le disque est un peu rayé, la fable des paisibles disciples d’Allah, que toutes les religions se valent et le coup des musulmans du 21e siècle, juifs des années 1930, c’est un peu éculé.
Le supplice continua pour lui quand il entendit le Parquet l’abandonner encore davantage, en faisant savoir que le fait que l’article de Christine intervenait au cœur d’un débat devait être pris en compte. Tubiana vacilla quand Madame le procureur expliqua, pour conclure, que le fait que cela soit une fiction rendait difficile d’envisager une condamnation.
Mais il fut achevé quand Gilles-William Goldnadel, encore lui, fit remarquer à Tubiana que Riposte Laïque avec l’islam, c’était la LDH avec le christianisme un siècle plus tôt.
C’était plus qu’il ne pouvait en supporter. A la fin de la plaidoirie de l’avocat de Dominique Jamet, Tubiana, avec toutes les peines du monde, réussit à se lever, et, présentant ses excuses au tribunal, annonça qu’il avait une visite médicale importante à passer, et devait partir. Je me rappelais qu’il avait fait le coup d’un rendez-vous, lors du premier procès de Pascal et Pierre, pour partir avant la fin…
Ri7Tubiana attaque2bisMais quand je le voyais marcher, et quitter très laborieusement la salle, je me dis que cette fois, la version était plausible. Dommage qu’il n’ait pas entendu la plaidoirie de Frédéric Pichon, ni les derniers propos de Christine Tasin et Dominique Jamet, qui n’auraient fait qu’attiser sa haine contre la présidente de RR.
Il n’a même pas eu le courage d’annoncer les sommes exorbitantes qu’il demandait aux deux accusés : 10.000 euros chacun, plus des frais s’élevant au total à 25.000 euros. Pourquoi se gêner ?
Tubiana me parait incarner, dans ses engagements et ses propos, mais aussi dans son obésité, jusqu’à la caricature de la haine de soi.
De culture trotskiste, il rêve, à l’image d’un Plenel ou de Terra Nova, de détruire une France dans laquelle il ne voit que Vichy et l’Algérie, et de remplacer sa population, qu’il méprise, par des nouveaux venus d’Afrique qui changeront notre peuple et sa civilisation. D’où son fanatisme immigrationnisme au service de l’islam.
Il est juif, mais il soutient dans ses engagements ceux qui rêvent de détruire Israël et d’exterminer les Juifs.
Il est né en Algérie, a été viré avec ses parents en 1962, et se comporte en France comme un agent du FLN, passant sa vie à appeler notre pays à la repentance.
Certains de mes amis diraient que cela relève de la psychiatrie. Cet homme, qui n’est habité que par la haine des patriotes, qu’il qualifie de fascistes et de racistes, résistera-t-il à une possible relaxe de Christine et de Dominique Jamet ?
J’espère que oui, mais j’avoue être inquiète…
Martine Chapouton