Juste avant les fêtes de Noël 1980, le maire communiste de Vitry, Paul Merciaca, fit la “une” de l’actualité en osant, au grand dam de la gauche “Nouvel Obs” et de l’extrême gauche, organiser une action, avec les bulldozers de sa ville, qui rasa un foyer devant accueillir 300 travailleurs maliens. Régis de Castelnau, à l’époque membre du Parti communiste, témoigne sur le contexte de cette affaire.
https://www.causeur.fr/bulldozer-de-vitry-et-si-le-pcf-avait-raison-19545
Certes, il ne faudrait pas exonérer le PCF de sa responsabilité devant la politique migratoire de la France, dans les années 1980, ni être candide sur les dessous des discours de Marchais, de l’affaire de Vitry et de celle où Robert Hue dénonçait les trafiquants de drogue marocains de sa ville, Montigny-le-Bretonneux.
Mais il est cocasse d’écouter, plus de quarante ans après, les propos de Georges Marchais, en se disant que les militants communistes, aujourd’hui, sont passés dans le camp des ennemis de la classe ouvrière, et du peuple français, et qu’ils font partie de ceux qui leur imposent, partout dans les grandes villes, dans les communes moyennes, et à présent dans les campagnes, toujours plus d’immigrés, qu’on appelle maintenant migrants ou réfugiés.
Donc, fin décembre 1980, Paul Merciaca, aujourd’hui âgé de 90 ans, à l’époque maire de Vitry, avait réagi au fait qu’on imposait de nouveau à sa commune d’accueillir 300 Maliens supplémentaires, tout en accusant les communes de droite de refuser de les prendre. Et lui était passé à l’action, avait mis en place les moyens que lui donnait son statut de maire, avait réquisitionné les bulldozers de la ville, et avait réglé le problème.
Il avait bien sûr été lynché médiatiquement par toute la gauche, mais aussi presque toute la droite. Seul le PCF, qui savait défendre ses militants, avait assumé l’action.
Plus de quarante ans plus tard, une telle action serait-elle encore possible ? Il faut savoir que le matériel répressif s’est beaucoup durci, qu’il y a de plus en plus de caméras partout, que les citoyens sont repérables avec leurs portables et leurs GPS, et que mener de telles actions nécessite une prudence et un professionnalisme qui n’étaient pas nécessaires à l’époque.
Pour autant, qui viole la démocratie et les principes républicains dont ils se réclament, aujourd’hui, si ce n’est le pouvoir mondialiste et ses complices immigrationnistes ? Macron a annoncé, devant ses préfets, le 15 septembre, la mise en place de ce qu’il appelle la transition démographique, qui consiste à remplacer les habitants des campagnes françaises par des migrants.
Avec Macron, ne dites pas “Grand Remplacement” mais la “transition démographique est une formidable opportunité pour répartir les #migrants dans les campagnes.” @Reconquete_off sera en 1ère ligne pour s’opposer à cette menace pour la sécurité et la tranquillité de nos campagnes. pic.twitter.com/SC0sUlTsmN
— Marion Maréchal (@MarionMarechal) September 21, 2022
Il a annoncé un projet de loi, qui devra être discuté au printemps, à l’Assemblée nationale. Mais sans attendre ce débat, il demande à ses préfets, que nous appelons les préfets Papon, de passer à l’action au plus vite, et de rendre, dans des dizaines de communes rurales, irréversibles l’implantation de dizaines de foyers d’accueil, avec leurs lots de nouveaux venus.
Le premier bras de fer s’est déroulé à Callac. Ils avaient décidé, sans consultation de la population, d’implanter un village Horizon de 70 familles africaines, situé en plein centre-ville. Des Callacois, soutenus par notre mouvance et bien d’autres mouvements, ont décidé de se mobiliser et de refuser ce projet, qui était présenté comme un laboratoire, devant servir d’exemple à d’autres communes, par le maire, Jean-Yves Rolland, de sensibilité communiste. Devant le refus majoritaire de la population, et les mobilisations qui les soutenaient, le maire a reculé, et abandonné le projet.
Très rancuniers, la gauche journalistique, politique et judiciaire, a décidé de faire payer cher ce camouflet aux principaux animateurs du combat, qui subissent des plaintes et des campagnes de presse haineuses et revanchardes. Pour autant, le régime n’a pas renoncé à ses projets, au contraire, il accélère les choses.
Ainsi, à Saint-Brevin-les-Pins, il entend, avec la complicité du maire, Yannick Morez, et de son équipe, imposer, près d’une école maternelle, dans le quartier de la Pierre Attelée, un centre d’accueil de demandeurs d’asile de 120 personnes. Ce samedi 25 février, le collectif de défense du quartier organisera, devant la mairie, un nouveau rassemblement de protestation, avec les interventions de Gilbert Collard, déjà présent à Callac, et de nombreux porte-paroles nationaux venus soutenir les parents d’élèves, sur place.
À Corlay, près de Callac et de Saint-Brieuc, le maire, Olivier Allain, sans informer sa population, a laissé l’association Viltaïs racheter une bâtisse de 600 mètres carrés, et a profité de ses vœux pour prendre de court la population, et annoncer l’installation de cinq familles africaines.
Après Callac Reconquête dit NON à l'installation de 5 familles de migrants à Corlay.
Le Maire l'accepte à l'insu des Corlaysiens pic.twitter.com/DkXrA4ZgLb— Marie-Pierre LECAT (@mplecat22) February 1, 2023
À Beyssenac, petite ville de 357 habitants située dans la Corrèze, le préfet, toujours avec la complicité de Viltaïs, entend imposer l’installation d’un Cada de 40 migrants, qui, par son existence, bouleverserait le mode de vie d’habitants habitués à ne pas fermer leurs portes.
À Bélâbre, dans l’Indre, le conseil municipal a accepté l’installation d’un Cada de 40 migrants, dans une petite ville de moins de mille habitants.
Et il y a sans doute des dizaines de cas que nous ignorons. Nous constatons que les habitants de ces villages, désemparés, se tournent vers ceux qui ont mené la bataille de Callac, que Jean-Yves Le Gallou qualifiait de “mère de toutes les batailles”, et demandent conseil.
C’est partout le même schéma, avec les particularités locales. Les autorités mettent les élus locaux et les habitants devant le fait accompli. Le préfet, payé pour faire appliquer la politique du pouvoir, passe en force, souvent en menaçant maires et citoyens qui voudraient résister. Ils sont soutenus par les associations à migrants de type Merci, Viltaïs ou Equalis, gavées de subventions, dont les responsables touchent des salaires indécents, qui mettent en place le politique d’invasion migratoire des campagnes, en rachetant tout ce qui est possible, avec nos sous. Ils ont, sur le terrain, l’appui des miliciens de gauche, qui viennent intimider, systématiquement, les habitants des villages qui refusent d’être africanisés. Sans oublier les journalistes, locaux ou nationaux, qui font passer pour des racistes les habitants qui veulent que leur village demeure ce qu’il est, et ne ressemble pas aux coupe-gorges urbains.
Que peuvent-ils faire, face à ce rouleau compresseur ? Bien sûr, s’organiser, faire signer des pétitions, demander un référendum, monter des manifestations, mobiliser la population. Mais si, au bout d’un moment, le constat est que la démocratie n’existe plus, que le peuple n’est pas écouté, et qu’une dictature impose aux habitants une invasion migratoire dont ils ne veulent pas ?
Dans ce cas, il leur reste le choix d’accepter la défaite… ou bien de se rappeler qu’il y a 40 ans, à Vitry, un certain Paul Merciaca avait redressé la tête, en utilisant les grands moyens…
Ce qu’ont fait les habitants de Villeron, il y a quelques semaines !
C’est Paul Mercieca et non pas Merciaca.
où sont les cocos aujourd’hui ?
Reconquête devrait laisser tomber ce merdier, à quoi bon aller défendre des abrutis qui ont mi du macron dans leur village, ils devraient être submergés de cpfs,3,4 fois le nombre d’habitants, s’ils aiment tant que ça macron tête de con, eh bien qu’ils en bouffent du macron…
comme vous dites ne soyons pas dupe avec le pcf qui a vite vire sa casaque, Marchais je m en souviens des 1984 hurlait a la tel “les immigres restent” les dirigeants pcf ont prefere tuer le parti plutot que d affronter la doxa mediatique
Il ne faut pas seulement virer les noirs et roms. Seuls ceux qui peuvent justifier d’une présence d’au moins 5 générations devraient avoir le droit de vivre dans un village. Et devraient être chassés des communes environnantes. On ne devrait pas pouvoir déménager à plus de 300m de chez ses parents, grands parents et arrières grands parents. CNEWS comme ça qu’on maintient la pureté d’une race et des traditions bien de chez nous.
comme on voudrait entendre et voir, actuellement, de tels actes et paroles de bon sens ! en 40 ans, comme le communisme a changé ! c’est à peine croyable de voir, aujourd’hui, une telle trahison à la fois du pays et de la classe ouvrière (enfin ce qu’il en reste) ! le discours de G. MARCHAIS recevait déjà l’époque les mêmes invectives que reçoivent à présent les patriotes qui sont sur la même longueur d’onde : les collabos de l’époque eux, par contre n’ont pas changé et se sont multipliés, ils tiennent toujours le même discours de trahison de la france et de condamnation de ceux qui veulent la défendre
Je voudrais bien connaître la motivation profonde de tous ces maires qui acceptent de tels projets. Argent, idéologie, envie d’emmerder le monde ? Ces mecs ne se rendent pas compte qu’ils seront les premières victimes de leurs agissements. Quand vous avez 10% de la population allogène dans un petit village, la situation deviendra catastrophique.
“motivation profonde de tous ces maires”? mais : lâcheté, complicité, corruption, collaboration avec l’ennemi.Au choix!
Il en a été de même dans les syndicats, ces derniers préférant aujourd’hui la diversité à leur peuple . Ils sont tous des traître à la France et aux français. Qui peut être assez CON pour être encarté avec ces enculés aujourd’hui ? D ailleurs ce sont les mêmes qui défilent aujourd’hui contre une réforme qu’ils ont indirectement mis en place , à savoir par les consignes pour le vote du second tour des élections. Le pire encore , c’est des personnes que je connais , friqués et pluri propriétaire qui « veautent « pour ces détritus, l écœurement total , je vous dis .
Robert Hue ne fut pas maire de Montigny-les-Bretonneux mais de Montigny-lès-Cormeilles.
Roussel, coco d’opérette, revendique du “douze degré” pour les pauvres. Que peut faire de plus ce zombie wokisé, sans doctrine, sans boussole nationale, et sans autres idées que “défendre l’étranger islamisé”? Soutenir LFI? C’est déjà fait!
Et puis, sous macron 1er, des centaines de bourgades françaises avaient été gavées de migrants illégaux, sans opposition des populations locales. Les établissements hospitaliers désaffectés, les immeubles ou châteaux inhabités ont été peuplés de migrants, avec l’aval des maires.
Pourquoi les zédiles zécolos gauchistes, élus à la faveur(!) du COVID et de macron, et leurs zélecteurs gauchistes s’opposeraient-ils aujourd’hui?
La nupesse fait le djob, comme macron fait le sien, et les mondialistes avancent leurs pions… et leur grand remplacement.
Rectificatifs :
-Paul Mercieca et non …aca
-Montigny les Cormeilles et non le Bretonneux.
-se disant que LE PEU DE militants QUI SE DISENT communistes, aujourd’hui, sont passés dans le camp des ennemis de la classe ouvrière, et du peuple français.
Les anciens militants (comme moi) écoutent et approuvent :
– Didier Raoult quand il dit qu’il faut que la puissance publique prenne en mains la recherche sur les anciennes molécules
– Florian Philippot quand il appelle à manifester pour la paix et exige avec d’autres le retrait de l’Otan
– Éric zemmour pour la défense de l’identité et tout ce que cela implique
– tous ceux qui défendent le “produisons français ”
– Charles Gave quand il tire à boulets rouges contre le capitalisme de connivence.
– François Asselineau qui dénonce le mille feuilles administratif qui n’a qu’un but casser la nation.
Je m’arrête là
Pas tout à fait exact, camarade Gautier!
La majorité des électeurs du PC-ex-F, pas des militants on vous l’accorde, votent désormais Rassemblement National.
Les ex cocos, en demande de militantisme de terrain, attendent beaucoup de J.Bardella. Il a compris que le pouvoir élitiste de décision doit revenir aux militants et aux adhérents, pas à une oligarchie familiale, et il a entrepris de “former” les nouveaux élus au militantisme. Reste à donner aux électeurs du RN l’envie forte -et le courage, il en faut- de distribuer des tracts sur les marchés, de coller des affiches, de débattre en pblic, contre la meute des nupesse, des macronistes et des LR.
Ça commence! Et les militants de l’ex parti communiste se mobiliseront sur un projet POPULISTE, le vilain mot, un projet POUR le PEUPLE, ce qu’auraient pu et dû faire les cocos!
Une ville de 357 habitants ça s’appelle un village!
Il serait temps de se rappeler la Marseillaise :”Aux armes citoyens..
“I have a dream” : Venus de tous les coins du pays, des millions de Français se dirigent vers Paris jusqu’à que le comique troupier en place se remémore que démos veut dire peuple en grec ancien, qu’il prenne ses cliques, ses claques et sa rombière, et qu’il disparaisse à jamais dans les latrines de l’Histoire.
Mais c’est un rêve..
Un beau rêve.
Sic transit gloria mundi…
Les Corses savent parfaitement résoudre ce genre de problème, toujours dans la douceur et la convivialité (baptêmes para en option), j’espère que les paysans des campagnes frankistanaises sauront faire montre de la même convivialité envers toutes ces CPF qui déboulent, bouches et braguettes ouvertes, prêts à recevoir de la CAF et à donner de leur sperme.
Je compte trop sur eux pour me payer ma retraite !
La droite est toujours à la remorque de la gauche. Manque d’inspiration ou de talent ou de courage.
Le grand remplacement est Le Génocide, génocide promu par kalergi. Espérons que ça changera, il est temps
C est bien que les plus jeunes sachent que l invasion n à pas commencé avec le macron.Avec lui elle est devenue massive mais ça dure depuis 50ans.
Le problème avec la jeunesse autochtone est quelle c’est assimilé , fondue , avec les millions d’allochtones que nos politicards de merde importent depuis des décennies .
Ces allochtones ont migrés , coloniser , imposer leur culture , leur us et coutumes et les anciens autochtones ne s’identifient qu’à travers ce nouveau prisme .
Nous les seniors, nous avons eu la chance d’aller à l’école avec les enfants portugais et autres identités venues chez nous…sans problème.