Le coup de la colonisation et de la repentance

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« Vous nous avez colonisé alors à présent vous devez nous accueillir » 

C’est une affirmation entendue trop souvent lorsqu’un membre des forces de l’ordre interroge un migrant clandestin arrêté à l’une de nos frontières, et encore tout récemment à Menton (Alpes Maritimes).

Nous payons, et allons payer encore plus cher, les bienfaits de notre colonisation africaine.

Si nous en parlions un peu, de cette colonisation africaine.

Avant 1830 le continent africain avait été tenu à l’écart de toute colonisation, à l’exception des territoires du sud, le Cap de Bonne Espérance en particulier.

Ce sera, en 1830, les territoires du Maghreb qui seront baptisés « Algérie » en 1839.

Les mouvements indépendantistes ont débuté peu après le début du XXe siècle. Ce siècle a donc connu le développement de la colonisation et sa fin, trop souvent dans des conditions dramatiques.

Mais ces quelques décennies ne sont qu’une partie de la longue histoire du continent africain.

Ce que l’on peut affirmer c’est que la colonisation de l’Afrique lui a permis de connaître une progression paisible, la fin des razzias esclavagistes et des guerres tribales.

De vastes territoires n’eurent plus à se protéger des enlèvements de la population sédentaire par les bandes arabo-musulmanes, notamment le Nigéria, le Soudan, le Tchad ou le Sénégal, les plus exposés.

Les populations de ces pays ne se plaignent nullement de l’époque coloniale car ils sont conscients de la paix qu’elle leur a apportée.

En revanche, la mauvaise foi des descendants de ces peuples, pour le plus grand nombre à l’abri hors de l’Afrique, en Europe, aux Amériques ou dans les DOM-TOM, réfutent ce constat évident de vérité et réclament une « repentance » ou des « compensations financières » alors qu’ils n’existeraient plus s’ils étaient restés sur le continent africain. 

L’Afrique sub-saharienne a ainsi connu une période de paix inespérée, avant le constat désespérant de ce qui s’y passe depuis la décolonisation et, surtout, au cours de cette dernière décennie et même actuellement

Toutes ces populations étaient soignées gratuitement, alimentées plus correctement qu’elles ne le sont aujourd’hui et elles pouvaient se déplacer en toute sécurité.

Quelques décennies plus tard la situation est devenue dramatique : la famine, les conflits sanglants, les massacres d’ethnies, le génocide religieux et les épidémies, tout ce dont ils étaient protégés par la colonisation.

Prenons l’exemple de l’Afrique du Sud, ce pays à la pointe du progrès est devenu, en quelques décennies d’une soi-disant liberté, le champion de la criminalité et le constat affligeant de l’échec total du « vivre ensemble ». Dans combien de décennies les « Blancs » l’auront déserté, de gré ou de force ?

L’Afrique subsaharienne et le centre Afrique, avec l’immense Congo, sont livrés à l’appétit des bandes d’égorgeurs qui se le partagent et les groupes islamistes qui les terrorisent. Des guerres d’exterminations ethniques et religieuses s’y déroulent sous l’indifférence impuissante.

Sur ces 52 pays, plus de 40 vivent, si l’on peut appeler cela vivre, grâce à la charité internationale.

La décolonisation trop rapide a profité aux prédateurs corrompus qui se sont enrichis, et continuent à s’enrichir, sur la misère des populations.

Mais cette colonisation, qui a eu des effets salutaires pour l’Afrique, nous présente aujourd’hui une facture à payer pour le bien-être que nous avons apporté et cette facture risque de mettre à mal nos économies, notre stabilité et notre avenir.

En effet, la colonisation en mettant fin aux famines, aux grandes endémies, et en y développant les soins et l’hygiène, a permis à ces populations africaines de se multiplier, avec toutes les conséquences dramatiques pour l’Afrique et pour nous, européens.

Ces simples chiffres font frémir : en 1900 le continent africain comptait 124 millions d’habitants. Ils étaient un milliard trois cent mille en 2018 et seront deux milliards cinq cent mille en 2050.

Les territoires se sont désertifiés et des villes tentaculaires se sont développées.

Nous avons créé des nations sans tenir compte des ethnies et un siècle au moins aurait été nécessaire pour achever cette entreprise colossale de modernisation.

Toute une jeunesse, démunie de tout débouché dans son Afrique, nous promet une migration impossible à maîtriser pacifiquement et qui met en péril notre avenir politique, social et même religieux et cela justifié, paraît-il, au nom d’une soi-disant culpabilité post-coloniale, qui nous dirige inévitablement vers la destruction progressive de nos racines, si nous ne parvenons pas à la régulariser. Ce qui n’a pas été réussi jusqu’à ce jour.

L’avenir de l’Europe est l’enjeu principal de cette invasion non maîtrisée qui, peut-être même, sera sa fin.

N’attendons pas le point de « non- retour « car, alors, il sera sans doute trop tard !

Mais ne l’avons-nous pas atteint ?

Manuel Gomez

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15 Commentaires

  1. Puisque l’on s.offusque delà comparaison d’Adolf à Macron, on devrait admettre pour une fois que comparaison vaut bien raison .Macron offre à lAlgerie un  « lebensraum »( espace vital) la France ,qui entretient ses ressortissants dans la fraude, la flemme et l.insouciance . Ilsdeviennent ainsi des représentants de « la heeren une meister Rasse »( race des seigneurs et des maîtres )ce qui correspond d’.ailleurs au but avoue du Djihad..ceux qui sont devenus nos amis – l’esBoches – sont remplacés…mais il est exclu qu.ils ne restent que cinq ans. Et les rues sont encore moins sûres.

  2. j’étais petit à ce moment là en primaire et je me souviens que l’Algérie faisait parti d’un département Français. De surcroît, le livre de géographie affichait cette filiation. Quelqu’un pour infirmer mes propos ?
    Je pense plutôt que les Algériens auraient bien voulu que la France reste, mais qui nous a savonné la planche ?

  3. La colonisation a bon dos ! Les suédois n’ont jamais colonisé personne et les revendications, je dirais même les exigences des arabo-afro-maghrébins… sont les mêmes que chez nous. La seule explication c’est que, comme chez nous, ils ont été trompés. Sous prétexte d’humanitarisme, d’ouverture à l’autre, de grandeur d’âme, ils ont laissé entrer chez eux une hydre à mille têtes qu’ils vont maintenant devoir assumer ad vitam aeternam. Leur douceur de vivre, leur train de vie admiré du monde entier : ADIOS !

    • Installes chez nous,ils ne feront rien, sinon pointer aux guichets, violer les femmes suivant le critère -tintin (de 7 à 77 ans),squatter les maisons, piller, tuer …Le musée des arts primitifs installé en Life f le plus petit village

  4. En Afrique les colons sont les Arabo-musulmans.14 siècles de racisme systémique contre les non-musulmans, d’apartheid sexuel aussi.

  5. La dette coloniale est inverse : les ex-colonises sont incapables de dire merci.Il est vrai que le racisme européen s’est aussi inversé : la monopole du mal au lieu du monopole du bien.

  6. “Vous vous êtes décolonisés, alors maintenant vous restez chez vous !”

  7. Ils nous ont foutu dehors :
    Burkina Faso : une vingtaine de civils tués dans deux attaques attribuées à des jihadistes
    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/burkina-faso/burkina-faso-une-vingtaine-de-civils-tues-par-des-jihadistes-presumes-dans-deux-attaques_5836664.html
    Ils nous ont foutu dehors :
    Mali : l’armée et des combattants “étrangers” auraient exécuté 500 personnes lors d’une opération antijihadiste en 2022, selon l’ONU
    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/mali/mali-l-armee-et-des-combattants-etrangers-auraient-execute-500-personnes-lors-d-une-operation-antijihadiste-en-2022-selon-l-onu_5821835.html
    Le mieux, c’est de ne pas nous en mêler et de laisser faire la nature, ce qu’on aurait du faire il y a 2 siècles.

  8. La colonisation a aussi permis de faire connaître la religion chrétienne à l’Afrique. Avec un succès tout relatif j’en conviens, mais maintenant aucun Africain ne peut dire qu’il n’a jamais entendu parler de Jésus.
    Or pour la Bible c’est une des conditions préalables à la fin des temps…
    Le compte a rebours a commencé !

  9. merci monsieur Gomez de rétablir l’Histoire
    un algérien m’a parlé des horreurs absolues du coran. Cela dépasse l’entendement. Les trois cents appels au meurtre ne sont qu’un amuse gueule, il y a le reste. Y a t’il quelqu’un qui connait bien ce coran?

  10. c’est vrai que la colonisation a été une horreur, combien de travailleurs ont succombé aux fièvres pour développer ces pays? quel avantage financier? quelle perte d’argent public aussi

  11. Manuel, le futur du pays France va passer par 2 étapes, en termes d’invasion :

    1 – Mayotte
    2 – Haïti

    Notre “chance”, si je puis l’écrire ainsi, est qu’ils ne peuvent pas se saquer entre eux, les muzzs !!

    Et toutes les racailles muzzs de cités ne voient surement pas d’un bon oeil l’arrivée de leur coreligionnaires …

    Parce que si, pour le moment, les caïds se servent du muzz importé, l’importé en question va vite comprendre qu’il y a du fric à faire, en…faisant du trafic, de drogues, ou de la prostitution, ou encore de la vente d’armes à feu …

    Combien de temps avant que nous ne commencions à voir apparaître des bandes, et surtout des règlements de comptes entre racailles muzzs ?

    En sus des fusillades que nous voyons déjà, et qui augmentent en nombre chaque jour qui passe …

    • vous avez oublié la guyane, qui compte plus d’immigrés que de guyanais de souche, autrafois c’étaient des brésiliens puis des sudaméricains, enfin de haitiens, aujourd’hui les syriens débarquent à rio puis prennent le car et demandent l’adile, un logement et des allocations (qu’ils reçoiven

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