Le député Chenu veut interdire l’alcool à la buvette : facho !

Les banquets franc-maçons, où on se torche la gueule jusqu’à rouler par terre, font partie des institutions républicaines. Mais jusqu’à présent, on levait le coude discrètement, entre gens du même monde… Désormais, c’est sans complexe, devant les micros et les caméras du « temple de la démocrassie » qu’on se biture, qu’on s’insulte, on se menace et on se cogne dessus comme des soiffards encanaillés dans l’arrière salle d’un bar louche. Quelle déchéance !

Faut pas s’étonner s’ils se foutent sur la gueule

« Dans la buvette et dans les jardins, c’est alcool à gogo jusqu’à 3 heures du matin » dénonce une députée macronarde au « JDD ». La traîtresse. Et elle n’est pas seule à bavocher.

Une autre élue de la macronnerie avoue que certains confrères commencent au pastis tôt dans la matinée et terminent au rhum en fin de journée. Ou du moins tant qu’ils tiennent encore debout. Au nom de la France d’Outre-Mer, je les remercie pour leur abnégation. Le marché du rhum, en carafe depuis le covidus macronibus par manque de touristes, retrouve enfin des couleurs.

Après tout est affaire de classes sociales. Si les députains petits bourges, adeptes de l’éthylisme mondain, vont roupiller dans leur bureau plutôt que de se donner en spectacle… certaines « vedettes » de la NUPES vomissent dans les couloirs quand ils ne se pissent pas dessus. Ils croient que ça fait prolo et les rapproche du peuple. Mais il ne faut pas le dire. Il paraît que cela pourrait alimenter l’anti-parlementarisme pour le plus grand bonheur de la fachosphère.

« Chez nous, on compte le nombre des NUPES à la buvette avant les débats pour savoir comment ça va se passer en séance publique. » ricane un macronard. Pour une fois, force est d’être d’accord avec lui. Quand on voit le comportement délirant, insensé, agressif, parfois impudique, de ces hommes et femmes d’extrême gauche. Qui ont sûrement besoin d’un bon coup dans l’aile pour affermir leur convictions.

Pub gratos pour le Get 27

De nombreux alcools forts, gin, whisky, tequila, vodka (importée de chez Vlad malgré l’embargo !) sont au bord de la rupture de stock à la « buvette » de l’Assemblée. Malgré des approvisionnements constants assurés par les mal nommés « limonadiers », la capacité d’éclusage des députains impressionne.

À la fin de la semaine dernière, une pancarte au bistrot des poivrots de la nation annonçait qu’on ne servait plus de Get 27. Une liqueur à la menthe qui ne titre qu’à 21 degrés comme son nom ne l’indique pas (publicité mensongère ?). Un apéritif de demoiselle, sans connotation sexiste. Sauf si on en boit trop.

Nez en moins, félicitons nos zélus alcoolos de privilégier une boisson française (cocorico !) puisque l’ancien Pippermint de ma jeunesse est fabriqué à Beaucaire dans le Gard depuis 1995. Beurrez-vous la gueule mais beurrez vous français. Le pays n’en attend pas moins de vous. Et roulez bourrés, l’économie du pays réclame votre soutien !

https://www.youtube.com/watch?v=lisaFPBaoms&list=RDlisaFPBaoms&index=1

Tout ça, c’est la faute des retraités !

Selon la version officielle, les députains étaient sobres comme des chameaux avant ce foutu diktat, quand l’État a asséné ses intentions de plumer davantage ceux qui n’ont déjà presque rien,

Tenaillés par des scrupules tout à leur honneur (comme le doigt du même nom) les zélus seraient extrêmement stressés. Surtout à l’idée qu’ils risquent de se faire lyncher en circonscription. Ou pire de perdre leur sinécure à l’avenir.

La lutte acharnée dans un hémicycle un peu moins vide que d’habitude est montée d’un cran à cause de ces salauds de retraités, et l’ambiance est devenue extrêmement éprouvante pour bon nombre de députains. Entre insultes, gestes obscènes, vols de cartables, téléphones piétinés, dossiers jetés aux poubelles, assistantes pincées dans les couloirs, gifles et coups de poing… autant de facéties parlementaires sur lesquelles il est interdit d’insister sous peine de perdre sa carte de presse, dépendant des caprices du sinistre de l’Inférieur.

On comprend que les zélus, ces petits êtres délicats, sensibles et honnêtes, souffrent mille morts. Ils ont besoin de réconfort et le seul moyen d’échapper au stress et aux remords est de noyer leur chagrin dans la dive bouteille. Que celui qui ne s’est jamais cuité leur jette le premier bouchon !

Une réforme de l’Assemblée s’impose

Une révision de la constitution ? Un changement du mode de scrutin ? Des modifications dans l’organisation interne ? Que nenni ! Seulement une réglementation de la consommation d’alcool des zélus. Comme pour les mineurs et les simples d’esprit.

Selon « le Journal du Dimanche », la question de la sur-alcoolisation au sein du Palais Bourbon on the rocks est revenue, encore une fois, au bureau de l’Assemblée. Du coup, la question des comportements insultants et agressifs, inscrite à l’ordre du jour par la cheffesse des députois Renaissance, Aurore Bergé, est passée au second plan. Comme si ces deux dérives n’étaient pas liées.

Le 8 février lors d’une réunion rassemblant la présidente, les vice-présidents, les questeurs, les secrétaires et les présidents des groupes parlementaires, a été rejetée une proposition faite par le RN Sébastien Chenu d’une interdiction totale de consommation d’alcool à la buvette de l’hémicycle. Non mais des fois, on ne va pas laisser les fachos faire la loi !

Si l’alcool est interdit au volant et au travail, et limité sur la voie publique et dans les stades, il est hors de question de retirer aux députains un de leurs précieux passe-droits. La démocrassouille serait menacée. Même si parfois on ramasse des zélus ivre-morts dans les couloirs pour les porter discrètement dans leurs bureaux, leur travail législatif n’en serait pas affecté.

Finalement, comme dans toute « commission républicaine » qui se respecte, on a décidé de ne rien décider et de se retrouver un de ces jours, pour en reparler. Et en attendant, on va réfléchir à la question. Mais pas trop vite. Une idée en passant : Pourquoi pas des cellules de dégrisement à l’Assemblée comme dans les commissariats ?

Que faire des mahométans alcoolos ?

C’est un sujet primordial qui nous tracasse tous. Comment réagir avec les élus mahométans, de plus en plus nombreux, qui lèvent le coude comme les autres. Preuve d’une intégration réussie. Les contrôler serait du racisme. Leur interdire de boire serait reconnaître implicitement à la charia valeur de loi de la ripouxblique. Et pourquoi ne pas les empêcher aussi de savourer en cachette un sandwich au jambon de Bayonne, tant qu’on y est ? Quel affreux et cruel dilemme !

La première questeure Marie Guévenoux (Renaissance), chargée de la tempérance et des bonnes manières, a ordonné à ses limiers de comparer la consommation d’alcool de cette mandature avec celle des précédentes. Les résultats devraient être dévoilés lors de la prochaine réunion du bureau le 7 avril, mais il est peu probable qu’ils soient rendus publics sans être « arrangés ». Une tricherie légitime pour une noble cause : ne rien faire qui puisse renforcer la fachosphère.

Mais dès à présent, la présidente de l’Assemblée anti-nationale, Yaël Braun-Pivet, a pris une décision qui passera à la postérité : elle a demandé à chaque président de groupe de gérer le comportement de ses membres. Et de signaler les « écarts » aux huissiers. On reconnaît là la culture de la délation, qui gangrène la France depuis Pétain.

On souhaite bien du courage aux « pions » de Madame la proviseure. Ils ne sont pas OPJ et seront aussi efficaces que les « appariteurs musclés » à la fac. Surtout quand on sait qu’à l’extrême gauche, où évolueraient un ou deux dealers notoires, certains vont griller un joint ou sniffer un rail dans les toilettes pendant les sessions… Les pochetrons pourraient les imiter. On ne va tout de même pas les fouiller, pour trouver les produits illicites ou leur flasque de bibine. Ce serait illégal ! Sans oublier ceux qui boivent et se défoncent « en même temps». L’hédonisme n’est pas un vain mot chez les désintéressés serviteurs du peuple.

Dire que ces individus sont supposés représenter la France…

Représentation toute théorique puisque, jusqu’à Macronecu, ils ne servaient pas à grand-chose. Et depuis 2017 ils n’ont plus aucune utilité. Le gouvernement agit par voie de décrets dans le domaine législatif, dont relèvent l’ordre public et les mesures sanitaires. Et zappe le Parlement pour faire la guerre à la Russie.

D’ailleurs, en 2022 imitant en cela une pratique de son ami et modèle Zygomyr, le conducator avait fait signer à tous les candidats LREM souhaitant renouveler leur bail, une déclaration selon laquelle ils seraient toujours d’accord avec lui. C’est illégal et anticonstitutionnel en France, mais le despote qui n’a cessé de conchier la Constitution depuis son élection n’en a rien à cirer.

Ceci dit, quitte à me répéter, les vrais responsables et coupables de cette pétaudière sont nos chers compatriotes, lobotomisés par les merdias, qui ont remis les clés de la citadelle à une bande de barjots, comme ils avaient offert celles du donjon à un paltoquet caractériel, psychopathe immature. Mais bon, quand on bourre les urnes, on peut bien se bourrer la gueule aussi !

Christian Navis

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