Le devoir des hommes libres : rejeter la charia

Nous avons comme devoir principal de transmettre à nos enfants un monde libre, régi par des lois humaines et non par un dogme liberticide et génocidaire. Pour cela, nous devons lutter avec toute notre énergie contre l’islam et sa représentation légale, l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI).

La propagation de la Charia est en hausse dans le monde, par les activités néfastes de l’OCI pour imposer ses vues, principalement la Charte de l’OCI et le Processus d‘Istanbul, signés et promus partout par les 57 pays musulmans membres de l‘OCI.

Pour les musulmans, les textes islamiques sont immuables et ne peuvent être remis en cause. Ce qu’a fait ou dit leur prophète est à reproduire indéfiniment pour mériter le paradis d‘Allah.

Les prescription islamiques (coran, mais également hadiths (traditions relatives aux actes et aux paroles de Mahomet) et sira (biographie) et pour certains même les fatawas, sont donc à prendre à la lettre, et le premier enseignement qui en découle est que l’islam est un dogme qui est basé sur la terreur et qui conditionne ses adeptes jusqu’à ne plus penser par eux-mêmes. Ce sont selon moi les premières cause de perpétuation de l’islam à travers le temps.

On peut citer en exemple les châtiments corporels, qui sont toujours en application en terre d’islam, actes qualifiés de moyenâgeux et qui sont bien sûr en opposition totale avec les concepts occidentaux.

Ou encore, quelques «traditions» laissées par Mahomet : maltraitance des femmes, brutalité, misogynie extrême, mutilation génitale féminine, crimes d’honneur, pendaison d’homosexuels, lapidation, flagellation, meurtre d’apostats, blasphémateurs et des consommateurs d’alcool, haine raciale, haine envers les autres religions, persécution des minorités, exécution des dhimmis, esclavage, incitation à la violence, viols d’enfants, et tant d’autres méfaits de l‘islam, en contradiction totale avec les principes adoptés par les Nations-Unies dans la Déclaration Universelle des Droits Humains.

La Charia a déshumanisé les musulmans, tout au moins ceux qui l’appliquent, et ils sont chaque jour plus nombreux.

Les décapitations, les amputations de membres opposés, la crucifixion et le brûlage des corps des victimes sont encore de nos jours des pratiques ordinaires dans certains pays. Les condamnations à mort par pendaison ou part décapitation sont des pratiques courantes dans les pays comme l’Arabie Saoudite ou son ennemi héréditaire, l’Iran. Les exécutions sommaires sont monnaie courante également, comme par exemple dans la Bande de Gaza, au Pakistan, en Afghanistan, en Indonésie, en Égypte, au Soudan ou en Somalie. L’esclavage n’a pas encore été aboli par les Constitutions des pays musulmans et il est encore aujourd’hui très pratiqué, notamment dans tous les pays de la péninsule arabique, au Soudan et en Mauritanie

Aujourd’hui, on assiste à un choc entre non pas de 2 civilisations, mais comme l’a écrit Wafa Sultan, entre la civilisation et la barbarie. On a le choix entre 2 conceptions diamétralement opposées: une société civilisées qui vit suivant les principes de laïcité et de respect des droits d‘autrui, et une société aux valeurs médiévales, dont la tendance actuelle est le RETOUR aux «valeurs fondamentales» et à la «pureté du dogme». Plus que jamais, les portes de l’IJTIHAD (effort de réflexion) restent fermées, seule le TAQLID (l’imitation servile) est de mise. L’obéissance stricte et l’aveuglement sont, selon moi, les deux mamelles de l’islam.

La danger est là, à nos portes: le musulman ne se contente pas d’appliquer ses lois d’un autre âge chez lui, il veut les imposer à l’ensemble de l’humanité. Pour lui, la Charia est d’essence divine, c’est donc à l’ensemble de l’humanité de s’y plier. Cette loi prétendument descendue de dieu est donc supérieure à toutes les lois humaines, en premier lieu aux principes des Droits Humains de l’ONU, que l’OCI tente de remettre en cause.

Le but de l’OCI est de remplacer la Déclaration Universelle des Droits Humains par sa Charte basée sur la Charia. Cette organisation criminelle s’appuis sur l’attitude complaisante de l’ONU, des Etats-Unis et de l’Union Européenne pour avancer petit à petit, de manière sournoise, ses pions sur l’échiquier international. En utilisant également des méthodes mafieuses, qui consistent principalement à acheter les voix des petites Nations lors des votes de l’ONU. Et également en s’associant avec touts sortes de dictatures que compte notre vieille planète: Chine, Cuba, Venezuela, etc, et également le Russie, en fonction des circonstances. Une des premières des manœuvres de l’OCI a été la présentation du Protocole d‘Istanbul, qui a par exemple été accueilli favorablement par Hilary Clinton et par une partie de l‘Union Européenne. Pourtant, il ne s‘agit ni plus ni moins que d‘une tentative de tuer toute liberté de critique, donc d‘une certaine manière ouvrir un brèche dans la Déclaration Universelle des Droits Humains. Car ce que cherchent en premier l’OCI, c’est de CRIMINALISER toute critique des religions. Et bien entendu, dans cette tentative, ils trouveront le soutien indéfectible de leurs ennemis héréditaires: les juifs et les chrétiens. Le boucher qui s’associe avec les moutons de l’Aïd ! Le réveil risquera d’être brutal.

Le rejet et la criminalisation de la Charia par le monde dit libre doit être la première de nos priorité, et en cela, le travail fait par l’International Civil Liberties Alliance (ICLA) est remarquable, mais nous ne devons pas nous relacher une seule seconde. Simplement pour nous protéger et protéger les générations futures de la gangrène islamique.

Le XXème siècle a été le siècle de l’égoïsme le plus total, notre désir inconsidéré de consommation a amené cet «ordre mondial» qui a fait que quelques bédouins dictent leur morale des cavernes au reste du monde, en échange de leur barils de pétrole. Il est temps qu’on se réveille et qu’on assume notre responsabilité, en rejetant et en criminalisant le coran et la charia, en éradiquant l‘islam avant qu‘il ne nous éradique.

C’est bien la moindre des choses que nous devons à nos enfants.

Naït Madjid Aghilès