Le dieu Allah dénoncé et matraqué par les siens : 1. Mohamed Rahouma

LE CORAN NUIT A LA SANTE MENTALELe terrorisme islamique constitue un choc intellectuel pour de nombreux musulmans, notamment pour les intellectuels, les universitaires, les écrivains et les journalistes nés ou issus de l’islam. Indignés et offusqués par cette barbarie indicible, leurs consciences se réveillent. Ils expriment leur consternation face aux crimes sauvages perpétrés par leurs coreligionnaires au nom de leur croyance qu’est l’islam, de ses enseignements, et surtout au nom de leur prétendu dieu Allah.

Certains lancent des cris d’alarme, s’expriment sans censure politico-religieuse, crachent sur le politiquement correct des collabos, condamnent les enseignements totalitaires de l’islam qui favorisent une barbarie indicible dans le monde et transforment ses adeptes en bourreaux sauvages.

D’autres s’en prennent directement à cette divinité de l’islam nommée Allah, décortiquent sa conception et ses enseignements. Ils se déchaînent contre la barbarie de ses préceptes et vomissent leur colère contre le mal terrible qu’engendre ce prétendu dieu.

Nous commençons cette série par le Dr. Mohamed Rahouma, un ancien doyen d’une faculté d’études islamiques en Égypte. Cet auteur abandonne l’islam en 2001 et se trouve contraint de fuir son pays pour les États-Unis. Il publie alors ses confessions dans un livre qui fourmille de renseignements sur la corruption en islam, l’étouffement des libertés, le terrorisme islamique. Il stipule que l’islam est loin d’être une religion, mais un totalitarisme politique à connotation religieuse. Il a longtemps cherché au sein de l’islam la sérénité, la joie et le bonheur, mais sans rien trouver. Voici comment il a perçu, à la lumière du Coran, la vision du dieu Allah :

« L’image d’Allah dans l’islam se revêt être le secret de mes tourments comme de ma détresse. C’est un dieu violent et coléreux. En sa présence, les musulmans doivent être craintifs, anxieux, effrayés et même tristes. Le Coran dit : Ne te réjouis pas ! Allah n’aime pas ceux qui se réjouissent. (28, 76). Ce dieu est dur et défie « les créatures faites d’argile ». Il recommande aussi : Ne parcoure pas la terre avec insolence. Tu ne peux ni la déchirer ni atteindre la hauteur des montagnes. (17, 37).

Le Coran précise que ce dieu est très malin : « Ils (les musulmans) rusent. Allah ruse aussi. Et il est le meilleur des rusés. » (3, 45). Parmi les reconnus 99 beaux noms attribués à Allah, on ne trouve pas un seul qui évoque la charité ni l’amour. Comment l’être humain peut se fier à un tel dieu, qui n’aime pas la joie et qui nous rappelle en permanence la mort. Chacun de nous est inévitablement sensé resté à sa merci, car parmi ces prétendus beaux noms figurent le hautain, le meurtrier, l’humiliateur, l’abaisseur, le vengeur, l’hégémonique, le subjugueur, le conquérant, le parcimonieux, le nuisible, etc. Sa menace est effrayante : Si nous l’avions voulu, dit-il, nous aurions donné à chaque homme sa direction. Ma parole, cependant, se réalise : ‘Oui, je remplirai la Géhenne de djinns et d’hommes réunis’ (32, 12).

Voilà un dieu qui peut diriger et libérer tous les hommes, mais il ne veut pas le faire ! Il aime la vengeance et l’effusion de sang. Son appétit est insatiable pour remplir l’enfer de djinns et d’hommes.

Allah en islam est un dieu de haine. Il nous haït quoi qu’on fasse. Le calife Abou Bakr al-Siddiq, beau-père et ami intime de Mahomet, souvent cité dans le Coran, dit : Si l’un de mes pieds est au paradis et l’autre à l’extérieur, je ne me fierai pas aux ruses d’Allah.

C’est la conviction d’Abou Bakr, celui qui n’a pas eu honte de marier sa fille Aïsha (9 ans) au pédophile Mahomet (âgé de 52 ans). Celui-ci disait de son beau-père : Si la foi d’Abou Bakr est mise dans un plateau de la balance et la foi de la communauté dans un autre, la foi du premier l’emportera. Même avec sa foi qui dépasse de loin celle de la communauté de l’islam, Abou Bakr n’espère aucun bien d’Allah et craint ses impostures. Le comble, c’est qu’il a contribué à la construction de l’échafaudage satanique de l’islam.

Personnellement j’ai expérimenté cette rudesse. J’avais besoin d’Allah. Je l’appelais. Je versais des larmes. Il ne m’a jamais écouté. Et lorsque j’ai lancé un cri de détresse sollicitant son aide, il m’a totalement ignoré. Comment peut-on encore accepter cette conception diabolique d’Allah et le considérer comme un dieu ?» (cf. Les mémoires de Mohamed Rahouma, publiées en arabe en 2001, mises à jour et publiées en français sous le titre : Allah cet inconnu. Confessions d’un ancien doyen de faculté d’études islamiques en Égypte. Paris, Editions Qabel, 2013, p. 183-184)

Malek Sibali

 

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