Le fabuleux destin de Najat Belkacem, parasite incompétent devenu ministre de l’Education nationale…

Il fallait oser ! Mettre Najat Vallaud-Belkacem ministre de l’Education nationale, seuls les duettistes Valls-Hollande pouvaient avoir une telle idée, qui confirmera à quel point ils méprisent l’avenir de nos enfants. Faut-il rappeler que cette obligée du roi du Maroc, double nationalité, s’est distinguée en faisant ouvertement la propagande du mariage homosexuel dans nos écoles ?

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Elle se dit pour l’égalité hommes-femmes, sauf pour les musulmans, puisqu’elle défend le voile, même sur nos plages. Mettre une telle personne, par ailleurs totalement incompétente (lire article ci-dessous, écrit en 2012), à l’Education nationale, est le pire message, avec le maintien de Taubira à la Justice, que les deux duettistes pouvaient envoyer aux Français. Nous vous rappelons cet inoubliable article d’Alain Falento, sur le parcours de cette femme, qui ne doit sa promotion qu’à ses origines, comme l’avait d’ailleurs rappelé Ségolène Royal elle-même.

belkacemvoiléeLe fabuleux destin de Najat Belkacem, parasite incompétent devenu ministre…

Elle donne toujours l’impression d’une étudiante qui arrive en retard en cours, rentrant sur la pointe des pieds, s’excusant presque d’exister. Elle est souriante, rit bien volontiers des différentes bourdes qu’elle enchaîne  les unes après les autres (comme demander à un médecin légiste si le contact avec ses patients est important dans son travail).

Les uns vantent sa fraicheur, sa spontanéité, d’autres son innocence. Elle apprend le métier sur le tas, avec des yeux d’enfant émerveillée comme elle aime à le dire.

Elle ne connaît rien à rien, mais elle travaille ses dossiers jusque tard le soir en lisant les fiches de synthèse élaborées par ses énarques de collaborateurs.

Tout ceci porterait à sourire s’il s’agissait d’une petite stagiaire gaffeuse qui préparerait son rapport de stage mais c’est bien du porte parole du gouvernement de la France dont nous parlons, et accessoirement ministre du grotesque Ministère des Droit des Femmes : Najat Vallaud-Belkacem.

Il fut un temps pas si lointain où ces fonctions étaient réservées à des gens formés à cet exercice. Le poste de porte parole du gouvernement est hautement sensible, il est le tampon entre le gouvernement  et la presse, ce qui nécessite une grande maîtrise de tous les sujets d’actualité (et particulièrement des mécanismes économiques ou financiers par les temps qui courent).

Le porte parole se doit d’être un fin psychologue capable de dire les choses sans les dire, de réparer les déclarations malencontreuses de ses collègues, de démontrer tout et son contraire, bref du cynisme à l’état pur.

Son profil est en général plus proche de Machiavel que de Candy.

Toutes ces qualités, visiblement, Vallaud-Belkacem en est dépourvue.

Sa nomination est donc probablement due à un parcours universitaire ou professionnel montrant une intelligence ou des aptitudes hors du commun.

Titulaire d’un BAC ES obtenu en 1995 (ça commence mal), elle obtient une licence de droit à l’université d’Amiens (je m’abstiendrai de tout commentaire) et enchaîne sur Science Po (école ayant perdu tout prestige depuis bien longtemps, que presque tout le monde peut intégrer, dans laquelle on y apprend à devenir un inutile prétentieux dans la plus pure tradition française).

belkacemVallaud-Belkacem, qui aime à se faire passer pour une sorte de Cosette qui en a bavé pour arriver là où elle est, avoue n’avoir jamais travaillé jusqu’à la fin de sa licence.

Dès son arrivée à Paris elle se voit contrainte de trouver des « jobs étudiants » selon ses termes. On imagine la pauvre Najat trimant au Mc Donald, servant des frites et des hamburgers à un rythme effréné dans une odeur de graillon insupportable.

Il n’en est rien, Najat travaille comme assistante parlementaire, mais comme elle le précise dans un article « il fallait quand même travailler deux jours par semaine ».

À cette époque elle réside à la Cité Universitaire de Citeaux, dans le 12e arrondissement de Paris. Elle y est réputée pour être une capricieuse qui prend systématiquement des taxis, même pour parcourir quelques centaines de mètres (elle aura certainement pris cette habitude auprès d’un de  nos parlementaires qui n’ont aucun respect pour les deniers publics).

Les étudiants en véritable détresse financière apprécieront, j’en suis certain, à leur juste valeur ces précisions.

Mme Vallaud-Belkacem devient ensuite juriste, pendant trois ans, dans un cabinet d’avocat dans lequel sa mission consistait à « vérifier que les décisions rendues par les tribunaux de première instance et de cour d’appel n’étaient pas en contradiction avec la Constitution et d’autres jurisprudences » (tâche sans importance généralement confiée aux stagiaires et autres grouillots dont regorgent les cabinets d’avocats).

Trois années de travail dans le privé auront eu raison de Vallaud-Belkacem.

Le privé c’est sale, ennuyeux  et mal payé  («un travail trop monacal » comme elle dit). Il lui faut du « sociable ».  Elle décide donc de militer au PS et parvient, grâce à Gérard Collomb, maire de Lyon, à quitter l’enfer des salariés qui doivent gagner leur vie.

Collomb a bien perçu en elle la possibilité de capter le vote communautaire musulman.  Il lui créée donc sur mesure, dans la plus pure tradition socialiste, un poste de chargé de mission au sein de son équipe.

Sans vouloir apparaître venimeux  plus que de raison, c’est l’intitulé de presque tous les emplois plus ou moins fictifs.

La description du poste est la suivante : «  mener dans le cadre de la politique municipale des actions pour renforcer la démocratie de proximité, la lutte contre les discriminations, la promotion des droits des citoyens ou leur accès à l’emploi et au logement ».

Pour les lecteurs qui ne sauraient pas encore décrypter la vulgate socialiste, nous traduirons par « distribuer des logements HLM aux racailles et à leurs familles, créer des postes de Grand Frère pour les racailles vieillissantes qui ne seraient pas parvenues à percer dans la criminalité organisée et enfin distribuer des subventions à gogo aux associations afin qu’elles envoient les petites racailles en vacance l’été et ne brûlent pas de voiture à Lyon »

Vallaud-Belkacem vient de rejoindre le sérail. Si elle ne commet pas d’erreur, elle pourra devenir une sorte de Jack Lang (véritable tænia de la vie politique française)  et vivre aux crochets de la société dans l’opacité confortable des collectivités territoriales, des cabinets ministériels, des commissions et autres observatoires, tous plus inutiles les uns que les autres.

Vallaud-Belkacem devient ensuite conseiller régional (grâce au vote communautaire musulman), présidente de la commission en charge de la culture de la région Rhône Alpes.

Le mot « culture » s’entend bien entendu au sens socialiste du terme, à savoir rap, tags, street dance, culture des cités (un autre oxymore courant), pseudo écrivains et intellectuels africains, arts premiers. Pour résumer, tout ce qui de près ou de loin œuvre à la destruction de notre Culture, la vraie.

Comme tous ceux qui ne savent rien faire, n’ont rien à dire mais veulent exister médiatiquement, elle s’engage à cœur perdu sur les thèmes à la mode de la discrimination, du sexisme dans la société et du vivre ensemble, toutes ces balivernes que la droite traditionnelle n’a pas eu le courage de balayer d’un revers de main de peut d’être taxée de racisme.

Elle mise sur le bon cheval avec Ségolène Royal en 2007, mais n’a pas su changer de canasson au bon moment en 2012. Elle fait ainsi parti du « package » que Royal est parvenue à recaser à droite et à gauche afin que son courant ne disparaisse pas totalement de la vie politique.

François Hollande la choisit pour être porte parole de campagne, puis porte parole du gouvernement et ministre.

Elle arrive même première à la course à qui sera le plus pauvre organisée par Hollande , arborant fièrement un patrimoine misérable. Pourtant elle et son mari Boris Vallaud (même profil parasitaire) vivent aux dépens du contribuable depuis plus d’une décennie.

Il est permis de se demander ce qui a motivé le choix d’Hollande. En effet, ce ne sont pas les jeunes énarques socialistes qui manquent et qui auraient parfaitement fait l’affaire, tel Alain FONTANEL, l’adjoint au maire de Strasbourg, qui ronge son frein en silence, en étant même réduit à sautiller et à applaudir frénétiquement derrière Harlem Désir lors des meetings du PS.

Vallaud-Belkacem n’en a pas conscience mais elle est devenue une vache sacrée. Quiconque critique sa bêtise incommensurable ou met en exergue l’absurdité des positions qu’elle défend devient de facto un misogyne, raciste et élitiste.

Sa nullité flagrante permet de détourner l’attention des vrais problèmes de fond (chômage, insécurité, dette). La droite est tombée dans le piège et s’acharne sur le maillon faible du gouvernement, permettant ainsi à la gauche de ramener inexorablement tous les débats vers le sexisme ambiant, le racisme envers les minorités visibles et autres foutaises du même type.

Le parcours de Vallaud-Belkacem est susceptible de donner la nausée à tous ceux qui croyaient encore à la méritocratie dans notre pays (s’il y en a encore), j’en conviens.

Qu’un tel parasite qui n’a aucune compétence puisse se retrouver à ce niveau de l’État ne peut que donner le vertige.

En première analyse, certains se rassureront en pensant que Vallaud-Belkacem n’est qu’une cruche de plus (comme sa collègue Batho, qui n’a même pas terminé ses études et a été formée en politique par tous les repris de justice socialistes Julien Dray, Fodé Sylla et Jean-Philippe « Harlem » Désir) et qui sera éjectée au premier remaniement ministériel dés que les choses sérieuses vont vraiment commencer et que les tauliers du PS seront appelés en renfort.

Tout juste peut-on en conclure que Vallaud-Belkacem aura contribué à abaisser encore un peu plus la fonction de ministre, lui faisant perdre définitivement tout prestige et toute crédibilité puisque n’importe qui peut y accéder pourvu qu’il ait milité dans un syndicat étudiant d’obédience socialiste.

Il ne faut cependant pas sous-estimer les idéologues du PS.

Avec Vallaud-Belkacem ils sont parvenus pour la première fois à créer un Golem faisant la synthèse de l’Islam et des lobbies homosexuels et féministes (on imagine aisément ce que pensent les musulmans des LGBT et autres FEMEN).

Cette alliance contre nature est à n’en pas douter une véritable prouesse d’acrobatie idéologique.

L’ascension fulgurante de Vallaud-Belkacem dans l’organigramme du PS a coupé l’herbe sous le pied à de nombreux énarques qui attendaient leur heure en ronronnant gentiment et il y a fort à parier que les créateurs du Monstre ont été les premiers surpris (Queyranne lui avait d’ailleurs affirmé qu’elle ne serait pas élue).

Le degré de crédulité et de connerie des électeurs est parfois surprenant, même pour les socialistes.

Alain Falento

PS. Le Terminator de première génération Vallaud-Belkacem a montré ses limites, certes, mais d’autres viendront certainement, beaucoup plus brillants et dangereux.

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